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Apparitions de Jésus et Marie à l'Escorial
Juillet à Décembre 1984
7 juillet 1984

La Sainte Vierge: Que personne, Ma fille, ne t'enlève la paix; personne. Pense que ton chemin est court; mais durant ce court trajet qu'il te reste à parcourir, tu dois aider au salut de beaucoup  d'âmes. Les mondains te haïssent, Ma fille, parce que tu n'es pas du monde. ils haïssaient Mon Fils parce qu'il annonçait la Doctrine du Christ. Ils te haïssent, Ma fille, parce qu'ils mènent le monde et s'introduisent dans les plaisirs du monde pour en profiter.
ils pensent aussi que tu ne peux pas avoir été choisie par le Christ. Si le Christ t'a choisie parmi eux, ce n'est pas pour ta sainteté ou ta bonté, Ma fille ; mais parce que tu étais une grande pécheresse, car les grands saints furent de grands pécheurs, Ma fille. ils te persécutent, Ma fille parce que les choses du Christ déplaisent beaucoup à l'Humanité.
Tu dois 'être humble, Ma fille, et accepter tout ce que Je t'enver- rai. Heureux ceux qui sont calomniés au nom du Christ, Ma fille. On aura beau te calomnier et te traiter de sorcière, toi, tu dois garder le silence, Ma fille. Toi qui as vu la Passion du Christ pas à pas, à aucun moment tu n'as vu le Christ desserrer ses lèvres pour protester; il a seulement ouvert sa bouche pour demander au Père Eternel de leur pardonner. Heureux ceux qui seront calomniés à cause de Nos Noms car ils entreront dans le Royaume des Cieux. Pense que Mon Fils a été calomnié et le serviteur n'est pas au- dessus du maître. C'est avec le sacrifice et l'humilité que tu vaincras l'Ennemi. L'Ennemi veut t'enlever la Paix afin de détruire l'Oeuvre de Dieu. Prie, Ma fille, prie... (mots dans une langue étrange) car là est ton épreuve, dans ta propre. . " (de nouveau, on entend une langue
étrange) .

Tu sais combien il est méritoire d'aimer ses ennemis, Ma fille, mais que personne ne s'interpose sur ton chemin, t'empêchant de sauver une âme. Va de l'avant, Ma fille, va de l'avant avec la Croix. La Croix du Christ est très pesante; mais c'est l'unique manière de pouvoir parvenir à la Gloire. Celui qui prend la Croix et suit le Christ, peut atteindre la Gloire. Et bienheureux ceux qui sont calomniés car ils gagnent un degré supplémentaire dans leur marche vers le ciel. Combien, combien parmi ceux qui sont ici présents, n'ont pas récité un seul Ave Maria au cours de leur vie, Ma fille ! Prie pour eux ; prie pour qu'ils se convertissent. Qu'ils pensent qu'ils ont une âme et que leur corps ne servira pas même de fumier. Et toi, Ma fille, avec le silence... le silence est très grand; -- c'est une grande vertu que de pouvoir se taire quand on te calnie. ils traitaient Mon Fils de "possédé du démon ", de " vagabond ",
parce qu'il allait de village en village annoncer l'Evangile. Les hommes sont cruels, Ma fille ; ils se disent humains, mais ils le sont très peu, Ma fille.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les péchés du monde. .. Pour tous les pécheurs du monde, Ma fille. Prie pour ces âmes qui repoussent Mes grâces. Pauvres âmes! Elles pensent qu'il reste encore beaucoup de temps; le temps approche et elles ne changent pas. Je ne veux pas effrayer l'Humanité, Je l'avertis seule- ment pour qu'elle se convertisse. Mes enfants: sacrifice et pénitence. Tu vas baiser le sol pour les âmes consacrées; mais auparavant, Ma fille, tu vas boire quelques gouttes du calice de douleur... C'est très amer, Ma fille. Voilà ce qu'il reste du calice de douleur; il ne r~ste que quelques gouttes, Ma fille. Soyez prêts, Mes enfants, car lorsque ce calice sera vide, on se lèvera nation contre nation et de grands châtiments fouetteront l'Humanité. Soyez sur vos gardes, Mes enfants; ne croyez pas que votre Mère veut vous faire peur ; Je vous avertis pour que vous vous convertissiez, Mes enfants. Et Toi, Ma fille, sois humble, car le chemin est court pour parvenir au Ciel, si tu es forte pour pouvoir parcourir ce bout de chemin.
 Amparo: Ah! si peu!
/

 La Sainte Vierge: Vois comme on arrive toujours à la fin, Ma fille! il ne te manque plus que cette distance. Si tu la parcours, Ma fille, tu obtiendras la gloire éternelle, pour toute 1'éternité ; de même la damnation est éternelle.
Confessez vos fautes, Mes enfants; mettez-vous en grâce avec
Dieu, car le temps approche et vos âmes sont en état de péché. Toi, Ma fille, continue à faire pénitence et sacrifices. ( Amparo gémit quelques instants). Ce sera terrible, Ma fille ; des engins ato- {miques tomberont sur la terre. Prie beaucoup, Ma fille, pour que beaucoup d'âmes se convertissent, afin qu'elles soient à la droite du Père quand ce moment arrivera. Dieu est miséricordieux et plein d'amour; mais pensez qu'il est Juge et tous les juges annonceront leur sentence au coupable. Mais ce Juge est très sévère. Toi, Ma fille, prends la croix et suis le Christ, mais soigne ce chemin qu'il te reste [à parcourir] ; il est court mais rempli d'épines, Ma fille.
Vous tous qui jouissez des plaisirs du monde, Mes enfants, ne croyez pas que vous allez réussir à monter au Ciel pour jouir aussi de la Gloire. Pour parvenir au ciel, il faut imiter le Christ et obser- ver 1'Evangile, Ses Saints Evangiles.
Que celui qui a deux tuniques, en donne une à son frère, Mes enfants, car le Christ allait de village en village sans avoir de tunique de rechange. .
 Amparo: Ah ! Ah ! Ah!... (Elle se plaint avec une peine pro-
fonde. Mots incompréhensibles).
La Sainte Vierge: C'est ce tourment qu'éprouveront les corps en ce jour si terrible.
 Amparo: Ah ! Mon Dieu, pardonne-leur, même s'ils rient, mais ne les Les pauvres! Ma Mère, Toi qui es si bonne, par- donne-leur à tous.
La Sainte Vierge: Tous ceux qui observeront les dix Commandements de la Loi de Dieu, se sauveront, Ma fille.
 Amparo: Ah ! Mais il y en a beaucoup qui ne les connais- sent pas.
La Sainte Vierge: Je ne condamne pas les ignorants, Ma fille, mais ceux qui Me connaissent et Me méprisent.
 Amparo: Pardonne-leur! Si Tu le veux, pendant le temps qu'il me reste, je ferai tout; mais Toi, pardonne à tous ceux qui sont ici aujourd'hui. Donne-leur la grâce pour qu'ils se confessent.
La Sainte Vierge: Beaucoup repoussent Ma grâce, Ma fille.
 Amparo: Mais, les pauvres !... (Mot incompréhensible). Marque-les tous du sceau et, ainsi, Tu leur donnes la grâce.
Allons! Marque du sceau ceux qui ne l'ont pas. Allons, Ma Mère! Fais-le, Toi qui es si bonne, marque-les. Ah ! Voici l'Ange avec le sceau. Il va tous les marquer... Ah !
La Sainte Vierge: Beaucoup sentiront le sceau sur leur front.
 Amparo: Ah... ! Ah, quelle joie! Marque du sceau celui qui est au milieu. Ah ! Ah, merci, Mère, merci! Et celui qui ne voudra pas se sauver... ; mais Toi Tu les as tous marqués du sceau. Ah, quelle joie! Ah. .. ! Je vais baiser le sol parce que je ressens une très grande joie... Ah ! 11ère r Comme je suis heureuse! Quand bien même ils ne voudraient pas recevoir Ta grâce, ils sont mar- qués.
Oh ! Merci! Ma Mère, merci! J'ai vu aussi'ceux qui sont der- rière. Ah ! Quelle joie! Mère, aide-nous à être bons. Car Toi Tu ne sais pas combien il est dur d'être ici. Quand bien même on voudrait l'être, il est impossible d'être bon! Ah, Mère! Permets-moi de te toucher le pied. Oh ! Un peu seulement. Ah ! Merci, merci, ma Mère. Quant à ceux qui se moquent, eh bien! Pardonne-leur aussi. Je esatmetous. La Sainte Vierge: Ma fille, le fait de parler du Christ. .. ; il Y a beaucoup d'ennemis...

 Amparo: Bon; mais peu m'importe. Moi, je les aime tous. Ah ! Toi aussi... Vas-Tu bénir les objets?...
La Sainte Vierge: Levez tous les objets... lis ont tous été bénits.
, ~a fille : sois humble et Je te demande le silence. Le silence est
ltres lmportant.
 Amparo: Eh bien, je vais me taire pour tout. Ah ! Donne- nous la bénédiction.
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants, au revoir...
 

MENSAJE DEL DÍA 7 DE JULIO DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Que nadie, hija mía, te quite la paz; nadie. Piensa que tu camino es corto; pero este poco camino que te queda tienes que ayudar a salvar muchas almas. Te aborrecen los del mundo, hija mía, porque no eres del mundo. A mi Hijo le aborrecían por ir publicando la doctrina de Cristo. Por eso te aborrecen, hija mía, los del mundo; lo llevan ellos mismos y se meten en los placeres del mundo para disfrutarlos.

     Piensan también que tú no puedes escogerse por Cristo[1]. Si Cristo te ha escogido entre ellos, no es ni por santa ni por buena, hija mía; fue por gran pecadora, porque los grandes santos fueron los grandes pecadores, hija mía. Por eso te persiguen, hija mía, porque las cosas de Cristo hacen mucho “mal” a la Humanidad[2].

     Tienes que ser humilde, hija mía, y aceptar todo lo que yo te mande. Dichosos aquéllos que son calumniados por el nombre de Cristo, hija mía. Tú, hija mía, tienes que guardar silencio, aunque te calumnien y aunque te llamen bruja, hija mía. Tú que has visto, de paso en paso, la Pasión de Cristo y has visto que en ningún momento sus labios se abrieron para protestar; sólo se abrieron, hija mía, para pedir perdón al Padre Eterno por ellos. Dichoso aquél que sea calumniado por nuestros nombres, hija mía, porque ellos entrarán en el Reino del Cielo. Piensa que a mi Hijo le calumniaron y no es más el siervo que el Maestro. Con sacrificio, hija mía, y con humildad vencerás al enemigo. El enemigo quiere quitarte la paz, para destruir la Obra de Dios. Pide, hija mía, pide... (palabras en lengua extraña), porque ahí tienes tu prueba, hija mía, en tu propia... (de nuevo habla en lengua extraña).

     Ya sabes que amar a tus enemigos es muy grande, hija mía, pero que nadie se interponga en tu camino para salvar un alma. Sigue adelante, hija mía, sigue adelante con la Cruz. Es muy pesada la Cruz de Cristo, hija mía; pero es de la única forma en que se puede conseguir la Gloria. El que coge la cruz y sigue a Cristo, ése puede alcanzar la Gloria. ¡Y bienaventurados los que son calumniados, porque ellos tendrán un eslabón más para subir al Cielo! ¡Cuántos, cuántos, hija mía, cuántos hay aquí presentes que en su vida han rezado ni un avemaría, hija mía! Pide por ellos; pide que se conviertan. Que piensen que tienen un alma y que el cuerpo no les va a servir ni para estiércol. Y tú, hija mía, con el silencio..., el silencio es muy grande; tiene una gran virtud el poderse callar cuando te calumnian. Porque a mi Hijo le llamaban “el endemoniado”, “el vagabundo”, porque iba de pueblo en pueblo publicando el Evangelio.

     Los humanos son crueles, hija mía; se llaman humanos, pero son muy poco humanos, hija mía.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecados del mundo... Por todos los pecadores del mundo, hija mía. Pide por esas almas que rechazan mis gracias —¡pobres almas!—; piensan que el tiempo está lejos; y el tiempo se aproxima y no cambian, hija mía. No asusto a la Humanidad, sólo aviso para que se conviertan. Hijos míos: sacrificio y penitencia. Vas a besar el suelo por las almas consagradas; pero antes, hija mía, vas a beber unas gotas del cáliz del dolor... Está muy amargo, hija mía. Es lo último que queda del cáliz del dolor; sólo quedan unas gotas, hija mía. Estad preparados, hijos míos, que cuando el cáliz se acabe, se levantará nación contra nación y habrá grandes castigos que azotarán a la Humanidad. Estad alerta, hijos míos; no creáis que vuestra Madre os quiere asustar; os doy avisos para que os convirtáis, hijos míos. Y tú, hija mía, sé humilde, que el camino está corto para llegar al Cielo, si eres fuerte para poder llegar este trozo de camino.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay...! ¡Ay, qué poco!
 
 

     LA VIRGEN:

     ¿Ves cómo siempre se llega al final, hija mía? Sólo te falta este trecho. Si lo pasas, hija mía, conseguirás recibir la gloria eterna para toda la eternidad; como la condenación es para toda la eternidad.

     Confesad vuestras culpas, hijos míos; poneos a bien con Dios, que el tiempo se aproxima y vuestras almas están en pecado. Tú, hija mía, sigue haciendo sacrificio y penitencia...

     (Luz Amparo se lamenta durante unos instantes entre lágrimas).

     Esto será terrible, hija mía; serán derrumbados por artefactos atómicos. Pide mucho, hija mía, para que se conviertan muchas almas para, cuando llegue este momento, estén a la derecha del Padre. Dios es misericordioso y lleno de amor; pero pensad que es juez y todos los jueces darán su sentencia al reo. Pero este juez es muy severo. Tú, hija mía, coge la cruz y sigue a Cristo, pero cuida este camino que te queda; es poco, hija mía, pero muy lleno de espinas.

     No creáis, hijos míos, que todos los que estáis disfrutando de los placeres del mundo vais a conseguir subir al Cielo a disfrutar también de la Gloria. Hay que imitar a Cristo para llegar al Cielo, y seguir los Evangelios, sus Santos Evangelios.

     Y todos aquéllos que tengáis dos túnicas: repartid una a vuestro hermano, hijos míos; que Cristo iba de pueblo en pueblo sin túnica de repuesto.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, ay...! (Se queja con profunda pena. Palabras ininteligibles). ¡Ay...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Este tormento es el que sentirán los cuerpos ese día tan terrible.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay..., Dios mío, perdónalos!; aunque se rían, pero no los... ¡pobrecitos! Madre mía, Tú que eres tan buena, perdónalos a todos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Todos aquéllos que cumplan con los diez mandamientos de la Ley de Dios, se salvarán, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! Pero muchos es que no lo saben.
 
 

     LA VIRGEN:

     No condeno a los ignorantes, hija mía, sino a los que me conocen y me desprecian.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Perdónalos! ¡Ay!, yo, si quieres, el tiempo que me queda, hago lo que sea; pero Tú perdona a todos los que hay aquí, ¿eh? Dales una gracia para que se confiesen.
 
 

     LA VIRGEN:

     Muchos rechazan mi gracia; hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero, ¡pobrecitos!... (Palabra ininteligible). Séllalos a todos y, así, les das la gracia. ¡Anda! Sella a los que no están sellados. ¡Anda, Madre mía! Hazlo, Tú que eres tan buena, séllalos. ¡Ay, ay, ay!, está el ángel con el sello, ¡ay! Los va a sellar a todos... ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Muchos sentirán en su frente la marca.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay...! ¡Ay, ay, qué alegría! ¡Ay! ¡Ay, sella a éste que está en medio!... ¡Ah...! ¡Ay, gracias, Madre, gracias! Y al que no quiera salvarse...; pero Tú los has sellado a todos. ¡Ay, qué alegría! ¡Ay...! Voy a besar el suelo, porque de la alegría que me da... ¡Ay, Madre!... ¡Ah, qué feliz soy! ¡Ay!, aunque no quieran recibir tu gracia, pero están sellados.

     ¡Ay! ¡Ay! Gracias, Madre mía. ¡Gracias! A los de detrás también los he visto. ¡Ay, qué alegría! ¡Ay, Madre!, ayúdanos a ser buenos. ¡Ay!, porque Tú no sabes lo duro que es estar aquí. Aunque quiera ser buena, no puede ser. ¡Ay, Madre! ¡Ay! Déjame que te toque el pie; ¡ay!, sólo un poquito. ¡Ay...! ¡Ay, gracias, gracias, Madre mía! Y los que se ríen, pues perdónalos también. ¡Ay!, yo los quiero a todos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, el hablar de Cristo...; hay muchos enemigos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Bueno, pero no importa; yo los quiero a todos. ¡Ay!, Tú también. ¡Ay!, ¿vas a bendecir los objetos? ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos.

     Hija mía: sé humilde, y silencio te pido, hija mía. El silencio es muy importante.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, pues ya me voy a callar para todo. ¡Ah...! ¡Ay!, danos la bendición.
 
 

     LA VIRGEN:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Expresión confusa; es como decir: “Piensan también que tú no puedes ser escogida por Cristo”.

[2] En el sentido de que Cristo es signo de contradicción y su doctrina pone en evidencia los pecados de la Humanidad.
 

8 juillet 1984

 Amparo: (Une fois tombée en extase, elle récite lentement le Rosaire jusqu'à ce qu'elle entame un dialogue avec la Vierge).
Ah ! Tu aimes le " Sainte Marie ", le "Je vous salue Marie". . .
A chaque mystère, on baisera le sol. Ah, quelle joie! Ah ! Je vais te prier pour tous les gens. Ah ! On ne dit pas" les gens". Comment dit-on?
,
La Sainte Vierge: Pour tous les hommes.
 Amparo: Eh bien, pour tous les hommes. Je vais Te demander - car il reste bien peu de temps, de leur pardonner. Mais vas-Tu, leur pardonner à tous? Ah ! Moi je Te le dis, mais personne n'est au courant. Si Toi Tu le dis Mais moi je ne le dirai à per- sonne... Bon, si Tu leur pardonnes, mais qu'ils se convertissent; parce que si Tu ne leur pardonnes pas, ils vont continuer à pécher. Si Tu leur pardonnes, c'est pour suivre le Christ. Hein? Ah! Si Tu es si grande, ma Mère, imprime le sceau à ceux à qui Tu ne l'as pas fait, parce que si c'est urgent, qu'ils soient marqués du sceau, même s'ils ne croient pas; ensuite... Tu leur donnes une lumière pour
/
qu'ils croient. Ah ! Je Te prie pour eux. Ah ! Voilà le sceau? Vas-Tu me marquer ?..
Ah ! Que Tu es grande! Que Tu es grande, Ma Mère! Et qu'ils puissent se moquer de Toi.. .avec toutes les grâces que Tu accordes. Moi je voudrais qu'ils se convertissent tous... et qu'ils ne se moquent pas de Toi. Ah ! Mais il y en a beaucoup, beaucoup qui n'en veulent pas. Hein? Ah! Moi j'ai beaucoup de peine pour leurs âmes.
La Sainte Vierge: Beaucoup d'hommes sont cruels et méprisent la grâce divine du Christ.
 Amparo: Cependant, Toi, aide-les, car Tu le peux. Moi je Te l'ai demandé tant de fois... Et je Te prie aussi pour toute ma maison, pour tous mes enfants... Pour tous. Ah ! Mère! Pour le " petit" aussi, Tu sais? Quelle joie, d'avoir un chrétien de plus dans toute l'Humanité. Car je Te promets que je le dirai à mes enfants: qu'ils l'élèvent dans la sainte crainte de Dieu, si moi je n'étais pas vivante. Mais je leur dirai de l'élever, de croire en Toi et en Ton Fils. Et, si Toi Tu me prends avant, tu me laisseras intercéder pour eux, .n'est-ce pas? Pour tous. Parce qu'il y en a un qui refuse. Le petit, c'est lui qui ne veut pas savoir Moi, je T'offre ma vie pour lui. Accorde-le moi, Ma Mère! Et qu'il se convertisse.
Il est bon, Tu sais? Mais il ne veut rien savoir de Toi. .. Et il est très bon, je Te le demande, Ma Mère, pour mes enfants, pour tous. Et si Tu me prends avant, permets-moi de prier pour eux là où je me trouverai; mais il faut que Tu me conduises à un bon endroit, car, comme Tu dis que je ne sais pas encore si je suis sauvée; emmène-moi là où je pourrai prier pour eux. Pour tous! Pour tous ceux de ma maison, mais je Te prie surtout pour celui-la. Tu sais bien l'âge qu'il a, n'est-ce pas? Et Tu sais aussi de qui il s'agit: Jésus, comme Ton Fils; il porte le même nom que Ton Fils, mais il ne Lui ressemble en rien. Moi, je Te donne ma vie pour que Tu le conver- tisses. Je ne veux pas qu'il se damne. Toi, qui es Mère, Tu le sais, ma
1. Mère; Tu le sais, Toi qui es Mère du Christ et qui as beaucoup souffert pour Lui aussi; non point qu'il fût mauvais, mais combien Tu as souffert pour Ton Fils! Eh bien, je suis mère et je Te le demande. Fais ce que Tu voudras de moi, mais lui, convertis-le. Emmène-moi sans délai, si tu veux ma vie en échange de la sienne. Ma Mère, je Te le demande! Moi je sais que je suis une grande pécheresse; mais je veux Te donner ma vie pour celle de mon fils. Accorde-moi ce que je Te demande, Mère. Je ne veux pas qu'il se condamne.
Moi, je suis prête à être emportée par Toi, quand Tu le voudras. Et si de là-haut où de là où Tu me conduiras, je peux prier pour lui. . . Je laisse cette affaire entre Tes mains, ma Mère; et Toi, qui es Mère, exauce-moi.
J'avais tant de choses à Te demander, ma Mère! Mais je T'en parlerai, lorsque nous serons seules, en l'absence de ceux-là.
La Sainte Vierge: Ce sont des esprits célestes.
 Amparo: Alors Tu peux... Fais-le devant eux. Je ne Te demande pas de me le promettre, parce que je suis très orgueilleuse. Je Te demande de me promettre de m'emmener en échange de la conversion de mon fils. Promets-le moi. Je Te le demande aussi devant les anges. Je ne sais si ces derniers pourront faire quelque chose, mais je le leur demande à eux aussi pour qu'ils intercèdent auprès de Ton Fils.
"
Ici, on est très bien ici. Ne crois pas que c'est parce qu'on est bien, que je veux échanger ma vie contre la conversion de mon fils ; ce n'est pas pour cela; c'est parce que je veux qu'il soit bon... Tous sont bons, tu sais? Mais ce pauvret... L'ennemi est si mauvais... fi est en t;rain de se servir de lui pour me faire souffrir. Et Tu ne sais pas combien je souffre. Toi, Tu as souffert pour Ton Fils ; mais moi je souffre beaucoup. Si Tu me le laisses pour souffrir, que Ta Volonté soit faite; mais je ne veux pas qu'il se damne. Ah ! Ma Mère! Pardonne-moi d'être aussi égoïste. Que je suis orgueilleuse! Mais Tu dis que lorsqu'une Mère est bonne, quand elle voit son fils dans Je précipice, elle l'avertit pour ne pas qu'il tombe; aussi je Te prie pour lui ; Mère qu'il ne tombe pas dans le précipice. Je Te le
redis encore: je troque ma vie contre sa conversion. Quand Tu voudras, je T'attends, ma Mère, pour que Tu fasses l'échange.
La Sainte Vierge: Demande cela à Sainte Monique. Ce qu'elle a souffert pour son fils ! Et c'est un grand saint du Ciel. Un grand saint, Ma fille.
 Amparo: Mais moi, je ne suis pas Sainte Monique.
La Sainte Vierge: Elle pleura tellement pour son fils que ses yeux s'enfoncèrent!
 Amparo: Moi aussi, je pleure beaucoup pour lui ; cepen- dant, rien! Il ne fait pas cas de mes pleurs. Détache-le de ces ami- tiés, ma Mère! Moi je Te prie aussi pour les autres; mais je ne veux pas qu'il les fréquente. Je Te prie aussi pour eux, les pauvres! Ma Mère, que Tu es grande! Ah ! Quand pourrais-je parvenir ici?
La Sainte Vierge: Je t'ai dit que ton chemin était très court; mais ton parcours est rempli de ronces et d'épines.
 Amparo: Bon, mais si Tu m'aides... c'est pour lui. Prends- moi de suite. Ah ! Mère. Combien je T'aime, ma Mère! Et Ton Fils aussi. Oh ! Je Vous ai connus très tard. Je Vous aime tant "'.
La Sainte Vierge: Nous aussi, Nous t'aimons, Ma fille. \
Réfugie-toi dans Nos C~urs ~uand la tristesse t'env~t; car No~s, (Nous n'allons pas te decevolt, Ma fille. Tous les etres huma.tns déçoivent; mais Nous, Nous ne décevrons pas.
 Amparo: Ah ! Moi non plus, je ne veux pas Te décevoir non plus. Aide-moi. Et en outre, je Te demande aussi pourquoi Tu viens tant de fois et pourquoi Tu descends sur terre?
La Sainte Vierge: Parce que Je veux sauver les âmes, Ma fille ; mais les âmes ne veulent pas se sauver.
 Amparo: Bien, alors entre Toi, moi et Ton Fils, nous allons les sauver, n'est-ce pas vrai? Nous allons en sauver beau
coup. Donne-moi plus, plus de sacrifices et je Te promets de T'aider à les sauver, bien qu'il y en a beaucoup qui croient que vous n'existez pas; mais, Toi, Tu dois les aider.
Oh, ma Mère. Mon Cœur... Ah ! Ce qu'il ressent. Ah ! Donne- moi ton pied à baiser; le doigt seulement. .. Ah ! Ma Mère, Ah ! Tu les as tous marqués du sceau, n'est-ce pas? Ah! Merci, merci, Ma
, Mère! Tu ne sais pas combien je T'aime. Tu m'envoies en bas. Là-
bas, il n'y a que souffrance. Tu ne sais pas ce qu'il y a là, en bas.
La Sainte Vierge: La sanctification, Ma fille. C'est avec les (hommes que l'on se sanctifie.
 Amparo: Bien, comme Tu voudras. Ah ! Ma Mère. Bon, aujourd'hui Tu vas nous bénir. Comme Tu es vite arrivée. Ah, Mère !
La Sainte Vierge: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père :~ ' vous bénit, par l'intermédiaire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants, au revoir.
 

MENSAJE DEL DÍA 8 DE JULIO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LUZ AMPARO:

     (Una vez que parece entrar en éxtasis, recita pausadamente el Rosario hasta que entabla el siguiente diálogo con la Virgen).

     ¡Ay!, te gusta la “Santa María”, la “Dios te salve, María”... (Sigue rezando).

     Por cada misterio se besará el suelo. ¡Ay, qué alegría! ¡Ay!, voy a pedirte por toda la gente. ¡Ah!, ¿no se dice “gente”? ¿Cómo se dice?
 
 

     LA VIRGEN:

     Por todos los humanos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pues, por todos los humanos. Voy a pedirte, que ya falta poquito, ¿eh?, para que los perdones. ¿Los vas a perdonar a todos? ¡Ay!, yo te lo digo, pero no se entera ninguno. Si Tú lo dices..., pero yo no lo diré a nadie... Bueno, si los perdonas, pero que ellos se conviertan, porque no los vas a perdonar y van a seguir pecando. Si los perdonas, es para seguir a Cristo, ¿eh? ¡Ay!, si eres tan grande, Madre mía, ponles el sello a los que no se lo has puesto, porque si corre prisa que estén sellados, aunque no crean, luego Tú les das una luz para que crean, ¿eh? ¡Ay! ¡Ay!, te pido por ellos. ¡Ay, ay!, ¿ése es el sello? ¿Ya me vas a sellar?...

     ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay, qué grande, Madre mía! Y que se rían de Ti... con todas las gracias que estás dando. Yo quisiera que todos se convirtieran..., y que no se rieran de Ti. ¡Ay!, pero muchos, muchos no quieren, ¿eh? ¡Ay! A mí me da mucha pena de sus almas. ¡Ay...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Porque muchos de los humanos son crueles y desprecian la gracia divina de Cristo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero, ayúdales Tú, que Tú puedes. Yo te lo he pedido tantas veces. Y te pido por toda mi casa también, por todos mis hijos... Por todos. ¡Ay, Madre!, hasta por el pequeño también, ¿sabes? Porque ¡qué alegría!, tener un cristiano más entre toda la Humanidad. Porque te prometo que se lo dejaré dicho a mis hijos: que lo críen en el santo temor de Dios, si yo no vivo. Pero lo diré que se lo críen, y que crean en Ti y en tu Hijo. Y si Tú me llevas antes, yo, ¿me dejarás que pida por ellos, verdad? Por todos. Porque hay uno que no quiere. El pequeño es el que no quiere saber... Yo te ofrezco mi vida por él. ¡Concédemelo, Madre mía! Y que se convierta. Si es bueno, ¿sabes?, pero no quiere saber nada de Ti... Y es muy bueno. Lo pido, Madre mía, por mis hijos, por todos, ¿eh? Y si me llevas antes, permíteme que ruegue por ellos donde esté; pero me tienes que llevar a un sitio bueno, ¿eh? Porque como dices que todavía no sé si estoy salvada; llévame donde pueda pedir por ellos. ¡Por todos! ¡Por todos los de mi casa!, pero te pido más por ése, ¿eh? Tú ya sabes los años que tiene, ¿no? Y sabes también el que es: Jesús, ¿eh?; como tu Hijo, ¿sabes? Se llama como tu Hijo, pero no se parece en nada. Yo te doy la vida para que Tú lo conviertas. Yo no quiero que se condene. Tú, que eres Madre, lo sabes, Madre mía; Tú lo sabes, que eres Madre de Cristo y sufriste mucho también por Él; no porque fuese malo pero, ¡cuánto sufriste por tu Hijo! Pues yo soy madre y te lo pido. Haz lo que quieras conmigo, pero a él conviértele. Llévame cuanto antes; si quieres mi vida a cambio de la de él. Pero de lo de... (palabras ininteligibles) de la conversión de él. ¡Madre mía, te lo pido! Yo ya sé que soy muy pecadora; pero quiero darte mi vida por la de mi hijo. Concédeme lo que te pido, Madre. Yo no quiero que se condene.

     Yo, cuando quieras, estoy dispuesta, ¿eh?, a que me lleves. Y si desde arriba o donde me lleves, puedo pedir por él... Lo dejo en tus manos, Madre mía; y Tú, que eres Madre, concédemelo también a mí.

     Te tenía que pedir tantas cosas, ¡Madre mía! Pero ya te las diré a Ti a solas, cuando no estén ésos ahí, ¿eh?
 
 

     LA VIRGEN:

     Éstos son espíritus celestes.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ah!, entonces puedes Tú... Hazlo delante de ellos. No te pido me lo prometas, porque soy muy soberbia. Sí te pido que me prometas que me llevas a cambio de la conversión de mi hijo. Prométemelo. Delante de los ángeles, también te lo pido. Ellos no sé si podrán hacer algo, pero se lo pido a ellos también, para que pidan a tu Hijo.

     Aquí, aquí se está muy bien aquí, ¿sabes? No creas que es porque se está bien por lo que quiero que me cambies la vida por la conversión de mi hijo; no es por eso; es porque quiero que sea bueno... Todos son buenos, ¿sabes? Pero ese pobrecito... El enemigo es tan malo... Se está aprovechando de él para hacerme a mí sufrir. Y Tú no sabes cómo sufro. Tú sufriste por tu Hijo; pero yo estoy sufriendo mucho. Si me lo dejas para sufrir, que se haga tu voluntad; pero que no quiero que se condene, ¿eh? ¡Ay, ay, Madre mía!, perdóname por ser tan egoísta como soy. ¡Qué soberbia soy! Pero Tú dices que, cuando una madre es buena, cuando ve a su hijo en el precipicio, que le avisa para que no caiga; pues yo te pido por él: Madre, que no caiga por el precipicio. Te lo digo otra vez: te cambio mi vida por su conversión. Cuando quieras, te espero, ¡Madre mía!, para que hagas el cambio.
 
 

     LA VIRGEN:

     Pide eso a santa Mónica. ¡Lo que sufrió por su hijo! Y es el gran santo que hay en el Cielo. ¡Un gran santo, hija mía!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, pero yo no soy santa Mónica.
 
 

     LA VIRGEN:

     Sus ojos se hundieron de tanto llorar por su hijo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo también lloro mucho por él; pero ¡nada!; aunque lloro, no me hace caso. ¡Quítale esas amistades, Madre mía! Yo te pido por los otros, también; pero yo no quiero que se junte con ellos. Y te pido por ellos, ¡pobrecitos! ¡Madre mía, qué grande eres! ¡Ay! ¿Cuándo podré yo conseguir estar aquí?
 
 

     LA VIRGEN:

     Te he dicho que tu camino es muy corto, pero tu trayecto está lleno de abrojos y de espinas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Bueno, pero si me ayudas... Es por él. Llévame deprisa, ¿eh? ¡Ay, Madre, ayyy! ¡Cuánto te quiero, Madre mía! Y a tu Hijo también. ¡Ay!, os he conocido muy tarde, pero os quiero ¡tanto!...
 
 

     LA VIRGEN:

     Nosotros también te queremos, hija mía. Refúgiate sobre nuestros Corazones, cuando esa tristeza te invada; porque nosotros no te vamos a fallar, hija mía. Todos los seres humanos fallan; pero nosotros nunca fallaremos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay!, pues yo no quiero fallarte a Ti tampoco. Ayúdame. Y además también te digo que ¿por qué vienes tantas veces y bajas abajo? ¿Por qué?
 
 

     LA VIRGEN:

     Porque quiero salvar a las almas, hija mía; pero las almas no quieren salvarse.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Bueno, pues entre Tú y yo, y tu Hijo, las vamos a salvar, ¿verdad que sí? Muchas vamos a salvar. Dame más, más sacrificio, y te prometo que te ayudaré a salvarlas; aunque muchas se creen que no existís; pero Tú tienes que ayudarles.

     ¡Ay!, Madre mía. ¡Ay!, mi corazón... ¡Ah!, lo que siente. ¡Ay!, dame que bese tu pie; sólo el dedo... ¡Ay! ¡Ay, Madre mía! ¡Ayyy! ¡Ay! Has sellado a todos, ¿verdad? ¡Ay!, gracias; ¡ay!, gracias, Madre mía. No sabes cuánto te quiero. A mí me mandas para abajo. ¡Ay!, allí sí hay, no hay más que sufrimiento. ¡Ay!, Tú no sabes lo que hay allí abajo.
 
 

     LA VIRGEN:

     La santificación, hija mía. Se santifica entre los humanos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Bueno, lo que Tú quieras. ¡Ay! ¡Ay!, Madre. ¡Ay! Bueno, ¿hoy Tú vas a bendecirnos? ¡Ay!, qué pronto has venido. ¡Ay...! ¡Ay, Madre!
 
 

     LA VIRGEN:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

14 juillet 1984

La Sainte Vierge: Mon message sera très bref, Ma fille. Je t'ai dit que les messages allaient prendre fin, parce que J'ai tout dit :
f Sacrifice et pénitence, Mes e~fants, avec l'humilité et la charité. Aimez votre prochain. Si vous n'aimez pas vos semblables, ne
J dites pas que vous aimez Dieu. Les ~ommandements que Dieu a institués se résumaient en un seul, Ma fille : Il Tu aimeras Dieu de
tout ton cœur et ton prochain comme toi-même ". Tout homme qui observera ces Commandements, aura la gloire éternelle, Mes enfants.
Mes Messages prennent fin mais Mes Apparitions... ne s'achèveront pas, Mes enfants, jusqu'à ce que l'on exécute ce que Je demande: Je demande, Mes enfants - Je vous l'ai dit maintes fois - qu'en ce lieu on élève une Chapelle en rhonneur de Mon Nom. Que l'on y vienne de toutes les parties du monde pour méditer la
Passion du Christ qui est oubliée, Mes enfants.
Je demande aussi que l'on dresse un Tabernacle où se trouveront 1les Saintes Espèces jour et nuit afin que vous puissiez t~ com-
pagnie au Christ, Mes enfants.
Combien de fois ai-Je demandé que l'on édifie cette Chapelle, . Mes enfants!
Autrefois Je Me suis manifestée en ce lieu et Mes Messages n'ont pas été écoutés, Ma fille. Tu le sais ce lieu est sacré depuis des
années. . .. mais (Elle parle une langue étrange).
 Amparo: Pourquoi ne l'a t-on pas laissée ici? Où l'a-t-on
placée? (Elle semble recevoir une brève réponse dans une langue étrange).
Ah ! Mais moi, je ne puis le dire Appartient-elle à ce lieu? Sous un autre vocable?
La Sainte Vierge: Ce fut sous ce même vocable, Ma fille, mais ils ont ajouté l'autre. C'est la même chose" LA VIERGE DE LA GRACE que LA VIERGE DES DOULEURS" Ma fille. La même chose ! Quel que soit le vocable, il n'yen a qu'un seul: LA VIERGE MARIE, MERE DE DIEU. Faites des sacrifices, Mes enfants, et faites pénitence.
Mes enfants, beaucoup de ceux qui sont ici présents n'ont pas encore voulu recevoir la grâce divine, la grâce de Dieu.
 Amparo: Je les ai vus. (Elle se réjère à ses "bourreaux"). Je sais d'où ils sont.
La Sainte Vierge: Toi, Ma fille, persévère dans la pénitence et le sacrifice et offre-les pour tes ennemis... ( Amparo sanglote). N'aie aucun ennemi, Ma fille, fût-il ton bourreau. Mais n'aie pas d'ennemis. Vois leur peu de délicatesse en se présentant en ce lieu! Mais, pardonne-leur, Ma fille et prie pour eux. Les pauvres, Mes
enfants! lis ont si grand besoin de grâce et de pénitence Comme ils sont rusés, Ma fille !
Quand ils vivent avec une telle méchanceté, Mes enfants, c'est '-
 

comme le coupable que l'on cherche pour le conduire à la mort:
.
il va se cacher dans les buissons pour ne pas être découvert, Ma fille. Voilà ce qui se passe en ce moment. Pardonne-leur, Ma fille. Pardonne à tes ennemis comme le Christ a pardonné aux Siens sur
'1
lIa Croix. Ses Paroles furent: " Mon Père, pardonne-leur, car ils ne
~ savent pas ce qu'ils font. " Oui, ils le savaient, Ma fille, mais le
Christ demandait pardon pour eux. Je te demande l'humilité, Ma fille, humilité et sacrifice.
71. Mais tu ne dois pas désirer tuer ton corps. Je veux des corps SaInS; Je ne veux pas de corps malades pour Mon Œuvre, Ma fille.
Baise le sol en réparation de tous les péchés du monde. Je te demande de le faire chaque jour pour tes ennemis, Ma fille. Je te
.11 demande aussi... (Elle parle de nouveau dans une langue Inconnue). .. (
1Mes Messages prennent fin, Ma fille. Je peux te dire que ce sont . les derniers, Ma fille ; mais, pénitence et sacrifice; Je serai présente
en ce lieu jusqu'à la fin... Que l'on fasse ce que j'ai demandé... Voilà pourquoi Je vous
répète à nouveau, Mes enfants: Allez partout! Allez voir l'Evêque 1
et demandez-lui la Chapelle, demandez-la lui, Mes enfants! .1 N'attendez pas davantage! Dites-lui que Votre Mère demande une CHAPEILE pour prier, qu'Elle ne vous demande pas d'être des voleurs ou des criminels, m~s d'être sacrifiés pour le Christ, Mes enfants; que vous vous sacrifiez pour Lui, comme Lui s'est sacrifié pour vous. Quelles tristes âmes, Ma fille, ces âmes qui ne veulent pas recevoir la lumière divine de Dieu! Le châtiment qui approche, Ma fille. . " Moi Je ne veux pas vous effrayer, Mes enfants. Je viens seulemc;nt vous avertir.
Vous savez bien que J'ai mesuré le terrain. Je veux, Ma fille, que l'on place le Tabernacle du côté du couchant.
 Amparo: Que signifie" le couchant ", je ne sais ce que cela veut dire.
La Sainte Vierge: Mon message est écrit, Ma fille ; et ce qui
est écrit, est écrit. JE VEUX LA CHAPELLE, Mes enfants, LA CHAPELLE POUR LA MEDITAll0N. UNISSEZ-VOUS TOUS. Allez demander ce que Votre Mère réclame.

 Amparo: Moi... je ne peux pas, seule je n'ai pas pu. Comment faut-il faire?
La Sainte Vierge: Y aller directement. Je te l'ai déjà dit bien des fois.
 Amparo: Bien des fois?... Oui... quatre fois.
La Sainte Vierge: Souvent, Ma fille. n y a des années déjà, que Je te demande d'aller parler à l'Evêque.
 Amparo: Et comment vais-je y aller, s'il ne veut pas me recevoir? Voyons, comment irai-je?
La Sainte Vierge: n y a beaucoup de personnes qui peuvent jouer les médiateurs, Ma fille. Mais qu'elles n'aient crainte, qu'elles soient courageuses et fassent ce que demande votre Mère, Mes enfants. Et que le Saint Sacrement soit exposé jour et nuit pour ceux qui voudront venir prier en ce lieu. Mais que le Christ ne soit jamais seul, Ma fille. Le Pauvre! Vous assistez à la Messe, Mes enfants, vous vous en allez et n demeure triste et seul, au milieu de ces pierres froides, à attendre que vous veniez Le visiter.
..
 Amparo: Toi, aide-moi! Que pouvons-nous faire? Voyons, ce qu'ils disent.
La Sainte Vierge: Ah ! Je t'ai déjà dit qu'il y a des personnes qui peuvent agir. Par leur intermédiaire, Ma fille, demande une Ch~pelle. Je ne demande p~~ un~ salle de fê~es, ni ~e dis~othèque, LI
. malS une CHAPELLE. Si J'avals demande une discotheque, elle serait déjà en place, Ma fille! Mais, comme c'est une Chapelle, vois comme il en coûte, Ma fille !
Ma fille, tu continueras à voir Ma Présence. Quant à Mes
Messages, Je les ai déjà donnés. ns s'accompliront du premier jusqu'au dernier.

Maintenant Je vous donne un conseil, Mes enfants: approchez- vous du Sacrement de l'Eucharistie. Confessez vos péchés et met- tez-vous en grâce avec Dieu. Aimez votre prochain, car si vous n'aimez pas le prochain, vous n'aimez pas Dieu. Que l'on vienne du monde entier réciter le Saint Rosaire. Combien seront bénits et il y en a beaucoup qui seront marqués du sceau, Ma fille !
 Amparo: Mais ne T'en vas pas en me laissant ainsi seule. Je veux que Tu viennes, que Tu viennes plus souvent.
La Sainte Vierge: Tes yeux ne cesseront de voir Ma Présence.
 Amparo: Ah ! Voilà ce que je veux: que Tu viennes. Ainsi Tu me donneras des forces pour persévérer car Tu sais bien où j'en sws.
La Sainte Vierge: Oui, Ma fille ; l'Humanité est cruelle.
 Amparo: On se moque de moi, on me traite de sorcière et c'est le démon, dit-on.
La Sainte Vierge: Je t'ai déjà dit que le démon détruisait et ne (construisait pas, Ma fille. Sais-tu où il se niche, Ma fille ? Dans les
discothèques... les salles de fêtes... Que d'argent l'on gaspille dans ces salles, alors qu'il y en a tant qui en ont un si grand besoin, Ma . fille ! lis devront rendre compte à Dieu de tout ce gaspillage, Ma
fille. Mais bienheureux celui 'qui, ayant acquis des richesses, les dis- . tribue aux pauvres, car le Royaume des Cieux leur appartient égale- 1ment! II appartient non seulement aux pauvres, mais aussi aux ri-
ches qui acquièrent des richesses et les partagent avec les pauvres. Baise le sol une fois de plus, Ma fille, pour les âmes consacrées... La dernière chose que Je vous demande, Mes enfants, c'est le 1
sacrifice et la pénitence. Sans sacrifice, vous ne vous sauverez pas. Suivez le Christ. Quand II parcourait la Terre, II ne portait qu'une paire de sandales et une tunique, sans en avoir de rechange, Mes enfants. Imitez le Christ. Imitez l'humilité, l'humilité de Votre Mère, Mes enfants. L'humilité.. .la charité Car Moi Je suis demeurée
seule sur Terre bien des années pour vous enseigner et témoigner de l'Eglise. Voilà pourquoi Je suis la :MERE DE L'EGliSE" Le sacrifice avec la prière, Mes enfants!
Je vais bénir les objets, Mes enfants. Une autre grâce supplémentaire pour que vous ne disiez pas que Votre Mère ne répand pas des grâces sur vous. Levez tous les objets. ils ont tous été bénits, Mes enfants.
Je vais vous bénir, Mes enfants; cette bénédiction, Je vous la donnerai de temps à autre, même s'il n'y a pas de Message; mais votre Mère continuera à vous bénir, Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir,Mes enfants. Au revoir !
 

MENSAJE DEL DÍA 14 DE JULIO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Mi mensaje, hija mía, será muy corto. Te dije que se estaban acabando, porque todo lo tengo dicho: sacrificio y penitencia, hijos míos, acompañado de la humildad y de la caridad.

     Amad a vuestro prójimo. Si no amáis a vuestros semejantes, no digáis que amáis a Dios, hijos míos. Los mandamientos que instituyó Dios se encerraban en uno solo, hija mía: “Amarás a Dios con todo tu corazón y al prójimo como a ti mismo”. Todo aquél que cumpla con estos mandamientos, recibirá la gloria eterna, hijos míos.

     Mis mensajes se acaban, pero mis visiones no se acabarán, hijos míos, hasta que no cumplan lo que yo pido. Pido, hijos míos —os lo he repetido muchas veces—, que en este lugar se haga una capilla en honor a mi nombre; que vengan a meditar de todas las partes del mundo la Pasión de Cristo, que está olvidada, hijos míos.

     También pido que se haga un sagrario y esté de día y de noche, para que podáis acompañar a Cristo, hijos míos.

     ¡Cuántas veces he pedido que hagan esta Capilla, hijos míos!

     En este lugar hace años me manifesté, pero no escucharon mis mensajes, hija mía. ¿Sabes?, fue este lugar sagrado hace años, pero... (Habla unas palabras en lengua extraña).
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¿Por qué no la dejaron aquí? ¿A dónde la llevaron?... (Parece recibir una respuesta breve en lengua extraña).

     ¡Ah, ay!; pero yo no lo puedo decir. ¿Le pertenece a este lugar? ¿Bajo otra advocación?
 
 

     LA VIRGEN:

     Fue bajo esta misma advocación, hija mía. Ellos añadieron la otra advocación. Es lo mismo “la Virgen de Gracia” que “la Virgen de los Dolores”, hija mía. ¡La misma! Cualquier advocación..., no hay nada más que una: la Virgen María, Madre de Dios. Haced sacrificio, hijos míos, y haced penitencia.

     Aquí presentes, hijos míos, hay muchos que todavía no habéis querido recibir la gracia divina de Dios.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Los he visto! Los he visto... Y sé de dónde son, lo sé[1].
 
 

     LA VIRGEN:

     Tú, hija mía, sigue haciendo penitencia y sacrificio, y ofrécelo por tus enemigos... (Luz Amparo solloza). Que no tengas ningún enemigo, hija mía, aunque ese enemigo sea tu verdugo; pero no tengas enemigos, hija mía. ¿Ves cómo ellos tienen la poca delicadeza, hija mía, de presentarse en este lugar? Pero, perdónalos, hija mía, y pide por ellos. ¡Pobrecitos, hijos míos! Están tan necesitados de gracia y penitencia... ¡Qué astutos son, hija mía!

     Cuando caminan con tanta maldad, hijos míos, es como el reo, cuando lo buscan para ir a la muerte; se esconderá entre los matorrales, para que no lo encuentren, hija mía. Pues eso está sucediendo en este momento. Perdónalos, hija mía, perdona a tus enemigos como Cristo perdonó a los suyos en la Cruz. Sus palabras fueron: “Padre mío, perdónalos, que no saben lo que se hacen”. Sí lo sabían, hija mía; pero Cristo pedía perdón por ellos. Humildad te pido, hija mía. Humildad y sacrificio.

     Pero no quieras matar tu cuerpo. Quiero cuerpos sanos; no quiero cuerpos enfermos para mi Obra, hija mía.

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecados del mundo... Esto te pido que hagas diariamente por tus enemigos, hija mía. También te pido... (Habla de nuevo en lengua desconocida).

     Mis mensajes se están acabando, hija mía. Te puedo decir que son los últimos, hija mía, pero penitencia y sacrificio; y mi presencia en este lugar seguirá hasta el fin...

     Que hagan lo que yo he pedido... Por eso os vuelvo a repetir, hijos míos: ¡id donde sea! Id al Obispo y pedidlo, pero ¡pedidlo, hijos míos! ¡No aguardéis más tiempo! Decidle que pide vuestra Madre una capilla para orar; que no os pide que seáis ladrones ni criminales, sino que seáis sacrificados por Cristo, hijos míos, que os sacrifiquéis por Él, como Él se sacrificó por vosotros. ¡Qué pena de almas, hija mía, esas almas que no quieren recibir la luz divina de Dios! El Castigo que se les aproxima, hija mía. Y no quiero asustaros, hijos míos; sólo vengo a avisaros.

     Ya sabéis que medí el terreno. Quiero, hija mía, que el sagrario se ponga a la puesta del Sol.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo no sé qué es eso; pero “a la puesta...” no sé qué es.
 
 

     LA VIRGEN:

     Mi mensaje está escrito, hija mía; y lo escrito, escrito está, como dijo Pilato. Quiero la Capilla, hijos míos; la Capilla para meditar. Uníos todos, e id a pedir lo que pide vuestra Madre.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo, yo no puedo... Yo no he podido sola; y ¿cómo se puede hacer?
 
 

     LA VIRGEN:

     Yendo directamente. Ya te lo he dicho un montón de veces.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¿Un montón? Sí, cuatro veces.
 
 

     LA VIRGEN:

     Muchas veces, hija mía. Ya hace años que te lo dije que fueses a hablar con el Obispo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Y ¿cómo voy, si no quiere que me vaya yo allí? A ver, ¿cómo voy a ir?
 
 

     LA VIRGEN:

     Hay muchas personas que pueden por mediación hacerlo, hija mía; pero que no se acobarden, que sean fuertes, y que hagan lo que pide vuestra Madre, hijos míos. Y que el Santo Sacramento esté de día y de noche expuesto para todo el que quiera venir a orar a este lugar; pero que Cristo no esté nunca solo, hija mía. Porque, ¡pobre, mi Hijo! Oís la Misa, hijos míos, y os marcháis, y Él se queda triste y solo, entre esa piedra fría, esperándoos para que vayáis a visitarle.
 
 

     LUZ AMPARO.:

     ¡Ayúdanos Tú!, y lo podremos hacer. A ver, ¿qué dicen?... ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Ya te he dicho que hay personas que pueden hacerlo; por mediación de esas personas, hija mía, pido una capilla. No pido una sala de divertirse, ni una discoteca; pido una capilla. Si pidiese una discoteca, ya estaría hecha, hija mía; pero, como pido una capilla, ¡cuánto cuesta, hija mía!

     Hija mía, seguirás viendo mi presencia; pero mis mensajes ya los he dicho; desde el primero hasta el final se cumplirán, hija mía.

     Ahora os aconsejo, hijos míos: acercaos al sacramento de la Eucaristía, confesad vuestras culpas y poneos a bien con Dios. Amad a vuestro prójimo, hijos míos, que si no amáis al prójimo, no amáis a Dios. Que vengan de todos los lugares del mundo a rezar el santo Rosario. ¡Cuántos serán bendecidos y muchos sellados, hija mía!
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero, no te vayas y no me dejes así sola. Quiero que vengas, que vengas más veces.
 
 

     LA VIRGEN:

     Tus ojos no dejarán de ver mi presencia, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! Eso es lo que yo quiero: que vengas, así me das fuerza para seguir, porque ya sabes dónde estoy.
 
 

     LA VIRGEN:

     Sí, hija mía; la Humanidad es cruel.
 
 

     LUZ AMPARO :

     Se ríen de mí y me llaman bruja y dicen que es el demonio.
 
 

     LA VIRGEN:

     Ya te he dicho que el demonio destruye, no construye, hija mía. ¿Sabes dónde está el demonio, hija mía? En las discotecas y en las salas de fiesta, porque, ¡cuánto dinero derrochan en esas salas, habiendo tanta necesidad y tantas almas que lo necesitan, hija mía! Tendrán que dar cuenta a Dios de todo ese derroche, hija mía. Pero ¡bienaventurado todo aquél que ha adquirido riquezas y las distribuye con los pobres, porque de ellos es el Reino de los Cielos también! No sólo de los pobres, sino de los ricos que adquieren riquezas y las reparten con los pobres.

     Besa el suelo otra vez, hija mía, por las almas consagradas...

     Lo último que os pido, hijos míos: sacrificio y penitencia. Sin sacrificio no os salvaréis. Seguid a Cristo. Cuando andaba en la Tierra, sólo llevaba unas sandalias y una túnica; pero no llevaba otra de repuesto, hijos míos. Imitadle a Cristo. Imitad la humildad, la humildad de vuestra Madre, hijos míos. La humildad, la caridad... Porque yo quedé en la Tierra sola muchos años, para enseñaros y para dar testimonio de la Iglesia, hijos míos. Por eso soy Madre de la Iglesia. ¡Sacrificio acompañado de oración, hijos míos!

     Voy a bendecir los objetos, hijos míos. Otra gracia más, para que vuestra Madre no digáis que no derrama gracias sobre vosotros. Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos, hijos míos.

     Os voy a bendecir, hijos míos. Y esta bendición os la daré alguna vez, hijos míos, aunque no haya mensaje; pero vuestra Madre os seguirá bendiciendo. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Se refiere a los “verdugos” que la vejaron el 25 de mayo de 1983, según la aclaración siguiente de la Virgen.
 

15 juillet 1984
 

La Sainte Vierge: Mes enfants, Je vous bénis comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils... le Père, le Fils et le Saint Esprit.
Prie ma fille, pour ceux qui ne prient jamais et qui n'ont personne qui prie pour eux.

PENITENCE ET SACRIFICE.
Baise le sol, Ma fille, en réparation de tous les péchés du monde... Cet acte d'humilité sert pour la conversion des âmes, Ma fille.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
 

 MENSAJE DEL DÍA 15 DE JULIO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo... El Padre, el Hijo y el Espíritu Santo.

     Pide, hija mía, por los que no rezan nunca, ni tienen quien rece por ellos.

     Penitencia y sacrificio...

     Besa el suelo, hija mía, en reparación de todos los pecados del mundo... Este acto de humildad sirve para la conversión de las almas, hija mía.
 
 

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

16 juillet 1984

La Sainte Vierge: Mes enfants, SACRIFICE ET PENITENCE.  Amparo: Aïe, Aïe. .. (Elle gémit quelques instants). Cà me
brûl
La Sainte Vierge: Voyez le~âmes qui sortent [du Purgatoire] !
pour jouir des demeures célestes, grâce à votre sacrifice et à votre pénitence. . .
Mon Image est réfléchie dans le Soleil. Regardez ces couleurs si merveilleuses, Mes enfants: bleu, rose, jaune... (On entend un mur- mure dans /' assistance). Quelle merveille, Mes enfants! Dites ce que vous voyez! Ne soyez pas des pharisiens.
 Amparo: Ah ! Ah ! Ah ! Marie... !
La Sainte Vierge: Baise le sol... Quel rose merveilleux, Mes enfants!
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
 

MENSAJE DEL DÍA 16 DE JULIO DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

     LA VIRGEN:

     Hijos míos: sacrificio y penitencia.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, ay...! (Se lamenta durante unos instantes). Me abrasa. ¡Ay, ay, ay...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Con vuestro sacrificio y con vuestra penitencia, mirad las almas que salen a gozar de las moradas celestiales...

     Mi imagen está reflejada en el Sol. Mirad qué colores más maravillosos, hijos míos: azul, rosa, amarillo... (Se escucha un murmullo entre los presentes). ¡Qué maravilla, hijos míos! Decid lo que veáis; no seáis fariseos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, ay, María...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Besa el suelo... ¡Qué rosa más maravilloso, hijos míos!

Os voy a dar mi santa bendición.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

21 juillet 1984

La Sainte Vierge: Je viens seulement vous répéter, Mes enfants: SACRIFICE, SACRIFICE ET PRIERE.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 21 DE JULIO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Sólo vengo a repetiros, hijos míos: sacrificio, sacrificio y oración.

     Os voy a dar mi santa bendición.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

22 juillet 1984

La Sainte Vierge: Sacrifice, Mes enfants, sacrifice et pénitence. Je vous le répète, jour après jour.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
 

MENSAJE DEL DÍA 22 DE JULIO DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Sacrificio, hijos míos, sacrificio y penitencia. Os lo estoy repitiendo diariamente.

     Os voy a dar mi santa bendición: os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

29 juillet 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais te dire une parole de plus que celle que Je t'adresse le Samedi: Moi, Je Me manifeste toutes les fois que Je veux, quand Je veux et personne, aucun être humain, ne peut dire quand, où, et comment Je peux Me manifester.
 Amparo: (Mots incompréhensibles à cause de ses /armes). . ... tous
les jours! Ah !
La Sainte Vierge: Comme disait cette grande Sainte, Ma fille, cette grande Sainte que fut Sainte Thérèse: "Que rien ne te trou- ble, que rien ne t'effraie", Ma fille.
Je vais donner Ma sainte bénédiction à tous ceux qui sont ici présents: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
N:ai~ peur de personne, Ma fille, person.ne ne ~eut tuer ton âme. 1 Je t'al dit qu'on pourra tuer ton corps, malS ton ame, personne ne le pourra et ce message est pour toi seule, pour toi, Ma fille.
 Amparo: Toi, aide-moi, aide-moi, seule je ne peux pas, aide-moi.
La Sainte Vierge : J~ te l'ai déjà dit, Ma fille : en d'autres lieux, on a fait disparaître Mon Nom; mais en ce lieu, on ne Le fera pas disparaître. Si Je ne Me manifeste pas à l'intérieur, Je Me mani- festerai à l'extérieur, et Je ne cesserai de Me manifester jusqu'à ce que l'on exécute ce que Je t'ai demandé, Ma fille.
 Amparo: Mais il faut que Tu m'aides parce que je suis seule, et je ne peux pas, je n'en peux plus. Toi, Tu sais que je suis très malade, pour le salut des âmes.
( Amparo a une vision de IEnfant Jésus). Ah... ! Laisse-Moi embrasser cet Enfant! Laisse-moi L'embrasser! Que Tu es joli ! Comme n est joli ! Sais-Tu combien je Taime. .. ! Bien que Tu sois un enfant, je Taime beaucoup. Aide-moi, Toi qui es si petit, car Tu
aimes les petites choses.
Ah ! Ma Mère, combien je T'aime! Je T'aime tant' Je suis capa- ble de mourir pour les âmes! Moi aussi, moi aussi je sauve des âmes, car certaines sont si endurcies '1 Touche leurs cœurs, pour qu'elles se convertissent.
Ah ! Que Tu es grande' Mais sans Ton aide, moi je ne suis rien; je ne suis rien. Ah , Quelle beauté'. .. quelle beauté!. . " Moi, je voudrais qu'en ce moment, Tu m'emmènes avec Toi, mais ce n'est pas possible! Aide-moi! Que dois-je faire? Je veux être hum- ble, je ne veux pas me dévoiler, mais Toi, aide-moi. Ah ! Comme Tu es grande' Et Toi, mon Enfant. . .. Ah , Quel Enfant' Quel Enfant si joli! ... Quelle beauté! (Elle s'adresse à la Vierge). Ton Enfant!. . '. Pense à Ton Fils, Lui... qui peut tout, avec l'aide de Dieu. Me promets-Tu de m'aider? Mon tout Petit! Que Tu es joli 'Je T'aime (tant! Comme j'ai été ingrate de ne T'avoir pas aimé auparavant. 't Maintenant... je T'aime tant ... de toute mon âme ! Et Toi, Ma . Mère, qui es l'unique Mère que j'ai eue. Sur la Terre, je n'ai pas eu
de mère; mais Toi, Tu ne m'as jamais abandonnée. Ne m'aban- donne pas maintenant! Car moi j'ai voulu accepter cela, mais avec votre aide. . .. Ah ! que Tu es grand' Tu t'en vas déjà. .. ? Oh, non. .. !
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 29 DE JULIO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, hoy te voy a decir una palabra más de lo corriente que te digo todos los sábados: yo me manifiesto todas las veces que quiero, cuando quiero, y nadie, ningún ser humano, puede decir cuándo, ni dónde, ni cómo puedo manifestarme.
 
 

     LUZ AMPARO:

     (Palabras ininteligibles por el llanto)... Todos los días... ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Como decía esa gran santa, hija mía, esa gran santa que fue santa Teresa: nada te turbe, ni nada te espante, hija mía...

Voy a dar mi santa bendición a todos los aquí presentes. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo con el Espíritu Santo.

     No tengas miedo, hija mía, a nadie; nadie puede matar tu alma. Te he dicho que podrán matar tu cuerpo, pero tu alma nadie; y este mensaje es privado para ti, sólo para ti, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Ayúdame Tú, ayúdame, yo no puedo sola, ayúdame Tú.
 
 

     LA VIRGEN:

     Ya te he dicho, hija mía, que en otros lugares han hecho desaparecer mi nombre; pero en este lugar no harán desaparecer mi nombre. Si no me manifiesto dentro, me manifestaré fuera, y no dejaré de manifestarme hasta que cumplan con lo que yo he pedido, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero Tú tienes que ayudarme, porque yo estoy sola y no puedo, yo no puedo más. Tú sabes que yo estoy muy enferma por la salvación de las almas.

     (Luz Amparo tiene una visión de Jesús Niño). ¡Ay...! ¡Déjame que abrace a ese Niño! ¡Déjame que lo abrace! ¡Ay, ay, ay...! (Se queja durante unos instantes con respiración fatigosa). ¡Ay, qué bonito eres...! ¡Qué bonito! ¡Sabes cuánto te quiero...! Aunque seas niño, te quiero mucho. Ayúdame Tú, que eres tan pequeño, porque Tú quieres las cosas pequeñas.

     ¡Ay, ay, ay...! ¡Ay, Madre mía, cuánto te quiero! ¡Te quiero tanto que soy capaz de morir por las almas! Yo, yo también, yo también salvo a las almas, porque algunas ¡son más duras...! Tócales los corazones, para que se conviertan.

     ¡Ay, qué grande eres!, pero sin tu ayuda, yo no soy nadie; no soy nada. ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, qué hermosura! Yo quisiera en este momento que me llevarás contigo; pero ¡no puede ser! ¡Ayúdame! ¿Qué hago yo? Yo quiero ser humilde, no quiero revelarme, pero Tú ayúdame. ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay! Y Tú, Niño mío... ¡Ay, qué Niño! ¡Ay, qué Niño más lindo! ¡Ay, qué hermosura! (Se dirige a la Virgen). ¡Tu Hijo!, Tú piensa en tu Hijo, Él, que lo puede todo con la ayuda de Dios. ¿Me prometes que me vas a ayudar, ¡Niño mío pequeño!? ¡Qué lindo eres! ¡Te quiero tanto! Qué ingrata fui al no quererte antes. Ahora... ¡te quiero tanto! ¡Con toda mi alma! Y a Ti, Madre mía, que eres la única Madre que he tenido. Sobre la Tierra no he tenido madre; pero Tú no me has abandonado nunca. ¡No me abandones ahora! Porque yo he querido aceptar esto, pero con vuestra ayuda... ¡Ay, qué grande eres! ¿Ya te vas? ¡Madre, no te vayas...! ¡Ay, que no...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

4 août 1984

La Sainte Vierge: En premier lieu, baise le sol, Ma fille, pour le salut des âmes.
Nous allons glorifier Dieu: 'Notre Père qui êtes aux Cieux, que Votre Nom soit sanctifié, que votre Règne arrive, que Votre volonté soit faite sur la Terre comme au Ciel; donnez-nous aujourd'hui notre pain de chaque jour, pardonnez-nous nos offenses comme
1nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés et ne nous laissez
pas succomber à la tentation. Gloire au Père, au Fils et au Saint Espnt.

C'est pour toi, Ma fille, c'est privé. Les Messages sont ter- minés... (Paroles dans une langue inconnue). Tes souffrances, Ma fille, ont beaucoup de valeur. Vois les âmes.
 Amparo: (En sanglots). Je ne peux pas, non. Je n'en peux plus. Tu sais bien que je n'en peux plus. Je ferai ce que Tu me demanderas, bien que je ne puisse pas. Et certaines âmes sont si
cruelles La Sainte Vierge :Je te l'ai dit en d'autres circonstances, Ma fille, que les humains sont cruels. Mais il faut les sauver au prix de 1souffrances et de pénitences, Ma fille. Tu n'es pas toute seule; Les âmes que choisit le Christ sont destinées à souffrir. Tu n'es pas {seule, il y a beaucoup d'âmes victimes.
 Amparo: Aide-moi! Je ne peux. ..
La Sainte Vierge: Ne dis jamais: "Je n'en peux plus ", parce que le Christ ne te donnera pas plus que tu ne peux supporter.
 Amparo: C'est très dur. . ., c'est dur de suivre le Christ.
La Sainte Vierge: Tu dois charger la Croix que tu as acceptée, Ma fille, et aller de l'avant.
 Amparo: n y a des épreuves si dures!.. .. Moi, je souffre pour les âmes; mais les âmes sont, comme tu l'as dit, si cruelles, elles ne veulent pas se sauver.
La Sainte Vierge: Par le sacrifice, la pénitence et la prière, tu {sauveras beaucoup d'âmes, Ma fille. Et ne sois pas triste; Nous
t'avons bien dit, Mon Fils et Moi, de te réfugier dans Nos Cœurs et Nous te consolerons. Mais ne renie jamais ce que tu as accepté, Ma fille.
 Amparo: Je ne renie pas. Mais parfoiS c'est si dur !. . ..
La Sainte Vierge: Ne crois pas qu'il soit facile de gagner le lCiel. On le gagne à force de souffrance et de sacrifice!
 Amparo: Mais pendant combien de temps?
1La Sainte Vierge: Gagner le Ciel prend beaucoup de temps, Ma fille.
 Amparo: Eh bien, aide-moi. Ne me laisse pas seule si longtemps. Toi, Tu me dis de me réfugier dans Ton Cœur; mais parfois je ne Te trouve pas!
La Sainte Vierge: Voilà ce qui a fait la foi vivante des grands saints. Que de fois ont-ils cherché le Christ, sans Le trouver, Ma fille. C'est une épreuve. Quand Jésus te laisse seule, Il veut te met- tre à l'épreuve; Il veut voir comment tu acceptes l'épreuve que Dieu t'envoie.
Je t'ai dit qu'il fallait baiser le sol à chaque mystère, Ma fille. C'est un acte d'humilité. N'aie pas honte de t'humilier et de baiser le sol. Le Christ le faisait alors qu'Il était Fils de Dieu et Il n'avait pas honte car c'était pour le salut des âmes. Ceci est pour toi, Ma fille : Je veux que tu sois forte, forte! Et que personne, personne ne te confonde.
 Amparo: Je suis Je suis très malade et je ne peux pas!
La Sainte Vierge: Tu n'en as que plus de mérite d'être malade et de l'offrir pour le salut d,es âmes..
 Amparo: Mais c'est que je ne peux pas! Toi aide-moi, car si Tu ne m'aides pas, je ne sais où je vais en arriver.
La Sainte Vierge: Si Je t'ai protégée depuis ton enfance, Ma fille, comment te ferais-Je défaut maintenant? Cette protection ne saurait te manquer.
 Amparo: Ah! Aide-moi! Laisse moi essayer, ne serait-ce qu'un peu. .. Que Tu as de jolis pieds! Que Tu es belle 1 Tu embel-
\ lis de jour en jour! Ah ! Ma Mère, que Tu es belle! Et cette beauté
ne ressemble pas à celle de la Terre. Tu es lumière! Ah ! Moi, je veux m'en aller vite avec Toi là-bas. Et je vais prier pour tous ceux
qui ne croient pas, les pauvres! Ceux qui ne savent pas qu'ils ont une âme !... Laisse-moi te donner un baiser sur le bout du doigt seulement. .. Ah ! Que Tu es grande!. . .

La Sainte Vierge: Je suis grande parce que Je suis Mère de toute l'Humanité.

 Amparo: Ah ! Bénis les objets! Pour ceux qui n'ont pas... Bénis-les moi. .. Tu rte les as pas bénis. Accorde-le moi.
La Sainte Vierge: Levez tous les objets... ils ortt tous été bénis.
 Amparo: Maintenant la bénédiction... Mais je Te demande une bénédiction spéciale pour un enfant. Tu sais de qui il s'agit. C'est une bénédiction spéciale! Cette bénédiction spéciale, c'est celle de la Croix de Ton Fils et la tienne.
La Sainte Vierge: Je le bénis comme le Père le bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Cette bénédiction est pour tous: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 4 DE AGOSTO DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Lo primero, besa el suelo, hija mía... Por la salvación de las almas.

     Vamos a glorificar a Dios: Padre nuestro que estás en los Cielos, santificado sea tu Nombre; venga a nosotros tu Reino, hágase tu voluntad así en la Tierra como en el Cielo. El pan nuestro de cada día..., perdónanos nuestras deudas, así como nosotros perdonamos a nues... No nos dejes caer en la tentación. Gloria al Padre, al Hijo y al Espíritu Santo.

     Es para ti privado, hija mía; los mensajes han acabado... (palabras en idioma desconocido). Tus sufrimientos, hija mía, tienen mucho valor. Mira las almas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     (Sollozando). No puedo, no. No puedo más. Ya sabes que no puedo más; haré lo que Tú me pidas, aunque yo no puedo. Y algunas almas son ¡tan crueles!...
 
 

     LA VIRGEN:

     Ya te he dicho en otras ocasiones, hija mía, que los humanos son crueles. Pero hay que salvarlos a costa de sufrimientos y de penitencias, hija mía. No eres tú solamente. Las almas que coge Cristo son para sufrir, hija mía. No eres tú sola, hay muchas almas víctimas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ayúdame! No puedo...
 
 

     LA VIRGEN:

     Nunca digas: “No puedo más”, porque Cristo no te dará más de lo que puedes.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Es muy duro..., es duro seguir a Cristo.
 
 

     LA VIRGEN:

     Tienes que cargar con la cruz que tú aceptaste, hija mía, y seguir adelante.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Hay pruebas tan duras!... Yo sufro por las almas; pero las almas que son, como Tú has dicho, tan crueles, no quieren salvarse.
 
 

     LA VIRGEN:

     Con el sacrificio y con la penitencia y la oración salvarás muchas almas, hija mía. Y no estés triste; ya te hemos dicho mi Hijo y yo que te refugies en nuestros Corazones, y te consolaremos. Pero nunca reniegues de lo que has aceptado, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, yo no reniego. ¡Pero, a veces, es tan duro!
 
 

     LA VIRGEN:

     No creas que ganar el Cielo es fácil. Es a base de sufrimiento y de sacrificios.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero, ¿cuánto tiempo?
 
 

     LA VIRGEN:

     Ganar el Cielo cuesta mucho tiempo, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Bueno, pues ayúdame. No me dejes tanto tiempo sola. Tú dices que me refugie en tu Corazón; pero ¡hay veces que no te encuentro!
 
 

     LA VIRGEN:

     Ésa ha sido la fe viva de los grandes santos. ¡Cuántas veces han buscado a Cristo y no lo han encontrado, hija mía! Es una prueba; cuando Jesús te deja sola, quiere probarte, hija mía, a ver cómo aceptas la prueba que Dios te manda.

     Te dije que en cada misterio había que besar el suelo, hija mía. Es un acto de humildad; y no te avergüences de humillarte besar el suelo. Cristo lo besaba, y era el Hijo de Dios; no se avergonzaba porque lo hacía por la salvación de las almas. Esto es para ti, hija mía: quiero que seas fuerte, ¡fuerte!; y que nadie, ¡nadie! te confunda.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo soy... Estoy muy mala y ¡no puedo!
 
 

     LA VIRGEN:

     Tiene más mérito todavía estar mala y ofrecerlo por la salvación de las almas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pero ¡es que no puedo! Ayúdame Tú, porque, si no me ayudas, yo no sé hasta dónde voy a llegar.
 
 

     LA VIRGEN:

     Si desde niña, hija mía, te he protegido, ¿cómo voy a faltar ahora? Esa protección no te puede faltar.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! ¡Ayúdame! Déjame intentar, aunque sólo un poquito... ¡Qué pies más bonitos tienes! ¡Qué hermosa eres! ¡Cada día eres más guapa! ¡Ay, Madre, qué hermosa eres! Pero esta hermosura no es como las de la Tierra. ¡Es la luz que tienes! ¡Ay...! Yo quiero ir pronto ahí contigo. Y voy a pedir por todos éstos que no creen, ¡pobrecitos! ¡Que no sepan que tienen un alma...! Déjame que te bese sólo la punta del dedo... ¡Ay, qué grande...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Soy grande, porque soy Madre de toda la Humanidad.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, bendícenos los objetos! ¡Anda!, por aquéllos que no lo han... Bendícemelos... Ni los has bendecido. Concédemelo.
 
 

     LA VIRGEN:

     Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Ahora la bendición... Pero te pido una bendición especial para un niño. Tú ya sabes quién es. ¡Es una bendición especial! Esta bendición especial de la Cruz de tu Hijo y la tuya.
 
 

     LA VIRGEN:

     Le bendigo como el Padre le bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Esta bendición es para todos: os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

5 août 1984 Bénédiction de la Vierge.

La Sainte Vierge: Ma fille, Je viens vous donner Ma Sainte Bénédiction comme Je vous l'ai promis.
Je vous bénis comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint-Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.

MENSAJE DEL DÍA 5 DE AGOSTO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, vengo a daros mi santa bendición, como os prometí.

     Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

 

9 août 1984

MESSAGE DU 9 AOUT 1984 
AU PRADO NUEVO DE L’ESCORIAL (MADRID) 
 

     LA SAINTE VIERGE : 
     Cette Œuvre est l’œuvre de Dieu, mes fils. Aucun homme, aucun scientifique ne peut la faire faire. 
     Je vais vous bénir, parce qu’il y en a beaucoup en ce lieu qui ne le sont pas. Mes fils, je vous bénis comme le Père vous bénit au moyen du Fils et avec le Saint-Esprit. 
     Au revoir, mes fils. Au revoir ! 
 

MENSAJE DEL DÍA 9 DE AGOSTO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Esta Obra es obra de Dios, hijos míos. Ningún hombre, ningún científico puede hacer esta Obra, hijos míos.

     Os voy a bendecir, porque hoy hay muchos en este lugar que no están bendecidos. Hijos míos, os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

11 août 1984

Bénédiction de la Vierge.
La Sainte Vierge: Ma fille, Je viens te rappeler ce que Je t'ai
 demandé: prière, pénitence et sacrifice. Sans sacrifice, on ne parviendra pas au Ciel.
Je vais aussi vous accorder la grâce spéciale de bénir tous les objets; levez tous les objets; ils seront tous bénits.
Maintenant, Je vais donner à tous ceux qui sont ici présents Ma Sainte Bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
 

MENSAJE DEL DÍA 11 DE AGOSTO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, vengo a recordarte, como te dije, la oración y la penitencia; sacrificio, hija mía. Sin sacrificio no se alcanzará el Cielo. También voy a dar la gracia especial de bendecir todos los objetos. Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos...

     Ahora, a todos los aquí presentes, voy a dar mi santa bendición. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hija mía. ¡Adiós!
 

12 août 1984

La Sainte Vierge: Ne fais pas de confusion. J'ai dit que Je ne donnerai plus d'avertissements pour l'Humanité; mais à toi Je ne
1cesserai de t'en donner et de bénir tous ceux qui viendront en ce lieu. Ils seront bénits et les objets qu'ils portent seront également bénis.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Levez tous les objets, Mes enfants, ils seront tous bénits. . .
Ne fais pas de confusion, Ma fille, et sois attentive à Mes paroles. Je demande la prière, la prière et le sacrifice. Sans prière et sans sacrifice, vous ne pouvez atteindre votre demeure. Tu vas bai- ser le sol, Ma fille, en acte d'humilité... Cet acte d'humilité sert au salut des âmes.
{N'ayez crainte des avertissements célestes, Mes enfants; craignez l'Ennemi, car l'Ennemi détruit - Je te l'ai déjà dit, Ma fille
- il détruit mais il ne c9nstruit pas. Cette arche que tu as vue l'autre jour, Ma fille, était entourée de toutes les personnes ici présentes; tu voyais que l'un était pris et l'autre laissé et il était mis dans cette arche que tu voyais. Voilà pourquoi Je vous demande de leur dire d'être prêts. N'ayez crainte,
1"
Mes enfants; si vous êtes prêts, qui pouvez-vous craindre?
Mais vois la pauvre âme qui n'observe pas les Commandements de la Loi de Dieu, regarde, Ma fille : voici un autre châtiment...
! C'est terrible, Ma fille ; mais tous ceux qui arriveront en ce lieu, c'est
 parce qu'ils l'auront voulu. Mais vois cet autre lieu... Quelle mer- ,. veille!
 Amparo: Quelle merveille!... Fais en sorte que tous y parviennent! Protège-les ce sont tes enfants! (La phrase antérieure est pratiquement incompréhensible). Fais en sorte que tous y parviennent, car cela est si grand. Ne les condamne pas; sauvez-les tous, même s'ils ne croient pas; Toi, donne leur une lumière. Ne les condamne pas. Ah, comme cela est grand! Ah ! Ma Mère! Que Tu es belle! Bénis-nous de l'autre manière... Jésus?
La Sainte Vierge: Je vous bénis comme le Père vous bénit par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
 Amparo: Ah ! Que c'est grand! Qu'ils regardent Ta silhou- ette qui est dans le Soleil. Que c'est grand! Que c'est grand! Quelle merveille! C'est le Visage de Jésus !
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants; regardez, soyez
attentifs.

 Amparo: Ah, quelle merveille!
La Sainte Vierge: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 12 DE AGOSTO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     No te confundas, dije que no daría avisos para la Humanidad, pero no dejaría de darte avisos a ti, y de bendecir a todos aquéllos que vengan a este lugar. Serán bendecidos y muchos objetos de aquéllos que traen serán también bendecidos.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo. Levantad todos los objetos, hijos míos; todos serán bendecidos...

     No te confundas, hija mía, y está atenta a mis palabras. Oración pido, oración y sacrificio. Sin oración y sin sacrificio no podéis alcanzar vuestra morada. Vas a besar el suelo, hija mía, en acto de humildad... Este acto de humildad sirve para la salvación de las almas.

     No tengáis miedo, hijos míos, de los avisos celestes; tened miedo al enemigo, porque el enemigo destruye; ya te lo he dicho, hija mía: destruye, pero no construye.

     Ese arco, que viste el otro día, hija mía, que estaba rodeado de todos los aquí presentes, veías que uno era cogido y otro era dejado y era metido en ese arco que tú veías. Por eso os digo que les digas, hija mía... Os digo yo que les digas que estén preparados. No tengáis miedo, hijos míos; si estáis preparados, ¿a quién podéis tener miedo?

     Pero, mira la pobre alma que no cumple con los mandamientos de la Ley de Dios, mira, hija mía, éste es otro castigo... Es terrible, hija mía; pero todo el que llega a este lugar es porque quiere; pero mira este otro lugar... ¡Qué maravilla!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué maravilla!... Haz que todos lleguen a este lugar. ¡Ay, ampara..., ampárales; son tus hijos! (La frase anterior es prácticamente ininteligible). Haz que todos lo consigan, esto que es tan grande. No los condenes, sálvalos a todos, aunque no crean; Tú, dales una luz. No los condenes. ¡Ay!, qué grande es esto. ¡Ay..., Madre mía, qué hermosa eres! ¡Ay!, ahora bendícenos de la otra forma... ¿Jesús?
 
 

     LA VIRGEN:

     Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué grande! Que miren la silueta Tuya que está en el Sol. ¡Ay, qué grande! ¡Qué grande! ¡Ay...! ¡Qué maravilla, es la cara de Jesús!
 
 

     LA VIRGEN:

     Adiós, hijos míos; mirad, estad atentos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, hay una maravilla!
 
 

     LA VIRGEN:

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

15 août 1984
 

(Fête de l'Assomption de la Sainte Vierge)
La Sainte Vierge: Je viens te consoler, Ma fille. Que de fois t'ai-Je dit: " Que rien ne te trouble et que rien ne t'effraie" comme disait cette grande Sainte, Thérèse de Jésus... La tristesse t'envahit, Ma fille. Ce n'est pas la peine que tu souffres en toi si ce n'est pour le salut des âmes. Les hommes sont cruels, Ma fille; ceux de ton
propre sang aussi te méprisent. Oui, comme tu le dis, Ma fille, ils sont en train de te tuer à petit feu; mais la gloire ne se donne pas petit à petit; elle se donne (Parole inintelligible), Ma fille.
Maintenant, Ma fille, du réconfort. .. Tu vas voir 1'Assomption,
{comment les Anges Me transportèrent au Ciel. Mon corps n'était pas mort mais endormi. ils Me transportèrent au Ciel après mon séjour sur la Terre. Moi aussi J'ai beaucoup souffert, Ma fille.
 Amparo: Ah ! Entourée d'Anges! Entourée d'Anges! Comme ils Te portent ! Ah! Que Tu es grande! Tu es morte! Ah!
La Sainte Vierge: Mon corps n'était pas mort, Ma fille. Je t'ai dit que Mon corps tout entier était endormi. Les Anges Me transportèrent ainsi au Ciel. Et toi, Ma fille, si avec ta souffrance... mais la souffrance qui touche le plus c'est celle des êtres chers, Ma fille. Offre-toi comme victime, pour le Christ Jésus et avec tes souffrances, tu obtiendras ce Ciel, Ma fille, et tu seras entourée d'Anges...
Tout ton corps tressaillira, Ma fille, lorsque tu entreras ici.  Amparo : Ah ! Aide-moi, aide-moi! Je n'en peux plus. Tu sais que je n'en peux plus. Je ne peux pas, Mère! Mère... avec Toi, moi je veux m'en aller avec Toi. Je ne veux pas rester ici! Viens, mon cœur n'en peut plus, je n'en peux plus maintenant!... Je veux que Vous m'emmeniez là-haut, avec Vous. S'il m'en reste encore beaucoup... Ma mère, je ne ve~ pas qu'il m'en reste beaucoup!
La Sainte Vierge: il ne t'en manque pas beaucoup, Ma fille, tu \es presque modelée... (Gémissements de Amparo).
Baise le sol, en acte d'humilité, Ma fille... Vois-tu comme la gloire est heureuse, Ma fille ?
 Amparo: Je veux rester ici et ne pas m'en aller, je ne veux pas revenir à la même situation. Laisse-moi un petit peu, réfléchis si je peux rester. .. Ah ! Ma Mère, si je dois à nouveau faire face!..
Moi, je ne peux pas, laisse-moi ici! Oui ici.. .ne peut-on accomplir une tâche pour sauver les âmes?
La Sainte Vierge: Ici, il n'y a pas de tâche, Ma fille, ici on ne fait que louer Dieu.
 Amparo: Ah! Eh bien, c'est encore mieux! Ne m'envoie pas à nouveau en bas. Tu ne sais pas ce que c'est que d'être là en bas. Oui... non, Toi Tu ne le sais pas, Toi. .. n me reste encore un peu de temps...! Mais, mais ce peu de temps, cela représente com-
\bien en temps? Est-ce beaucoup? La Sainte Vierge: Je t'ai dit peu, Ma fille... (Nol/veal/x gémisse-
ments et sol/pirs de LI/Z Amparo).
La Sainte Vierge: n te reste encore un peu à lutter avec les hommes, Ma fille. Même si les hommes sont cruels, il faut que tu sois avec eux, jusqu'à ce que Nos Cœurs t'ouvrent la porte de la demeure qui te revient, Ma fille.
 Amparo: Pourvu que ce soit bientôt! Ah ... !
La Sainte Vierge: Tu vas boire une seule goutte du calice de douleur. Vois comme il en reste peu, Ma fille ; Je vous avertis: quand le calice sera vide1 ce sera terrible, Mes enfants. n y en a beaucoup qui ne le croient pas, mais quand arrivera le moment, pauvres âmes! Chaque goutte qui reste au fond du calice, Ma fille, sera très amère, parce que le temps est plus proche et le châti- ment sera terrible. Soyez prêts; dis-le à tous, Ma fille, qu'ils prépa- rent leurs âmes, pour parvenir à la vie éternelle, Mes enfants.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes consacrées... Tu dois beaucoup prier pour les âmes consacrées et faire beaucoup de sacrifices; elles entraînent beaucoup d'âmes dans l'abîme. Pauvres âmes. .. ! Le châtiment qui approche pour elles!. . "
 Amparo: Eh bien, pardonne-leur.
.. La Sainte Vierge ~ vas;ir l'Enfer, pour toutes sortes
d'âmes; il Y a aussi des âmes consacrées. ( Amparo gémit de peine et de douleur). A cause des péchés de ces âmes consacrées qui continuent encore chez d'autres âmes consacrées; le péché est tou- jours là, Ma fille ; mais vois, le châtiment est terrible... ( Amparo gémit face à la vision).
Je vais bénir tous les objets, Mes enfants. Levez tous les objets, ils seront tous bénits... Ds ont tous été bénits.
Je vous donne Ma sainte bénédiction, Mes enfants. Je vous bénis comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 15 DE AGOSTO DE 1984, LA ASUNCIÓN DE LA VIRGEN MARÍA,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Vengo a consolarte, hija mía. ¡Cuántas veces te he dicho que “nada te turbe” y que “nada te espante”, como decía esa gran santa, Teresa de Jesús... La tristeza te invade, hija mía. No vale la pena el sufrimiento en tu persona sin el sufrimiento para la salvación de las almas. Los humanos son crueles, hija mía; hasta tu propia sangre te desprecia... Así, como tú dices, hija mía, te están matando poco a poco; pero la gloria no se da poco a poco, se da... (palabra ininteligible), hija mía.

     Ahora, hija mía, consuelo... Vas a ver la Asunción, cómo me transportaron los ángeles al Cielo. No estaba mi cuerpo muerto, estaba dormido; me transportaron al Cielo después de estar en la Tierra. También sufrí mucho, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay...! ¡Ay, rodeada de ángeles...! ¡Rodeada de ángeles! ¡Cómo te elevan...! ¡Ay, qué grande eres...! ¡Estás muerta! ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Mi cuerpo no estaba muerto, hija mía. Te he dicho que todo, todo mi cuerpo estaba adormecido. Los ángeles me transportaron de esta manera al Cielo. Y tú, hija mía, si con tu sufrimiento..., pero el sufrimiento que más duele es el de los seres queridos, hija mía. Ofrécete como víctima por Cristo Jesús, y con tu sufrimiento alcanzarás este Cielo, hija mía, y estarás rodeada de ángeles...

     Todo tu cuerpo se estremecerá, hija mía, cuando entres aquí.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ah, ah, ah! ¡Ayúdame, ayúdame, ayúdame! No puedo más. No puedo. Tú sabes que no puedo. ¡No puedo, Madre! Madre... contigo, yo quiero ir contigo. No quiero estar aquí. ¡Ven, mi corazón no puede más, no puedo ya más! Yo quiero que me llevéis ahí con vosotros. Si todavía me falta mucho... ¡Madre mía, yo no quiero que me falte mucho!
 
 

     LA VIRGEN:

     No te falta mucho, hija mía; estás casi pulida... (Lamentos de Luz Amparo).

     Besa el suelo, en acto de humildad, hija mía... ¿Ves cuán dichosa es la Gloria, hija mía?
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo quiero quedarme aquí. Yo no quiero irme de aquí, yo no quiero volver otra vez a lo mismo. Déjame un poquito, y te lo piensas, y si me puedo quedar... ¡Ay, Madre mía, si me tengo que enfrentar otra vez...! Yo no puedo. ¡Déjame aquí! Si aquí... ¿no se puede hacer ningún trabajo para salvar a las almas?
 
 

     LA VIRGEN:

     Aquí no hay trabajo, hija mía, aquí sólo se alaba a Dios.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, pues mejor todavía! No me mandes otra vez ahí abajo. Tú no sabes lo que es estar aquí abajo, ahí abajo. Sí... no, no lo sabes Tú... ¡Si me falta poco...!, pero ¿cuánto tiempo es ese poco? ¿Es mucho?
 
 

     LA VIRGEN:

     Te he dicho que poco, hija mía... (Nuevos lamentos y suspiros de Luz Amparo).

     Todavía te queda un poco que luchar con los humanos, hija mía. Aunque los humanos sean crueles, tú tienes que estar con ellos hasta que nuestros Corazones te abran la puerta para la morada que te corresponde, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, que sea pronto...! ¡Ayyy...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Vas a beber una sola gota del cáliz del dolor. Mira qué poco queda, hija mía; estoy avisando: cuando el cáliz se acabe, será terrible, hijos míos. Muchos no lo creéis, pero cuando llegue el momento, ¡pobres almas!... Cada gota que quede, hija mía, del fondo del cáliz está más amarga, porque el tiempo está más cerca, y el Castigo será terrible. Estad preparados; díselo a todos, hija mía, que preparen sus almas, para llegar a la vida eterna, hijos míos.

     Vuelve a besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas... Por las almas consagradas tienes que pedir mucho, hija mía, y hacer mucho sacrificio; están arrastrando muchas almas al abismo. ¡Pobres almas, el castigo que se les avecina!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, es verdad; pues, perdónalos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Vas a ver el Infierno de toda clase de almas; también hay almas consagradas...

     (Luz Amparo se lamenta con pena y dolor).

     Por los pecados de estas almas consagradas siguen todavía en otras almas consagradas; el pecado sigue, hija mía; pero mira, el castigo es terrible... (Luz Amparo gime al tener esta visión).

     Voy a bendecir todos los objetos, hijos míos. Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos... Todos han sido bendecidos.

     Os doy mi santa bendición, hijos míos. Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

19 août 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, J'ai promis de vous donner la bénédiction et vous l'aurez. Mais auparavant, Je veux que vous adoriez le Père Eternel en récitant le 'Notre Père'.
Notre Père, qui êtes aux Cieux, que Votre Nom soit sanctifié; que Votre Règne arrive, que Votre volonté soit faite... Donnez- nous aùjourd'hui notre pain de chaque jour, pardonnez-nous nos offenses comme nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés.
- Ne nous laissez pas succomber à la tentation mais délivrez-nous du mal. Amen. Gloire au Père, au Fils et au Saint Esprit.
Voilà la manière de louer Dieu; en récitant le " Notre Père ", vous adorerez Dieu le Père. Communique-le à tous, Ma fille, en en- levant le 'Je vous salue" et le "Sainte Marie", que le "Notre Père" seul soit récité pour louer le Père Eternel.
Maintenant, Je vais vous donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir ! ,

MENSAJE DEL DÍA 19 DE AGOSTO DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, prometí daros la bendición y os daré mi bendición, pero antes quiero que adoréis al Padre Eterno rezando el Padrenuestro.

     Padre nuestro, que estás en los cielos, santificado sea tu Nombre; venga a nosotros tu Reino, hágase tu voluntad... El pan nuestro de cada día, dánosle hoy, perdónanos nuestras deudas, así como nosotros perdonamos a nuestros deudores. No nos dejes caer en la tentación, mas líbranos del mal. Amén. Gloria al Padre, al Hijo y al Espíritu Santo.

     Ésta es la manera de alabar a Dios, rezando el Padrenuestro alabaréis a Dios Padre. Comunícaselo a todos, hija mía, quitando el “Dios te salve, María” y “Santa María”, sólo el Padrenuestro, que sea en alabanza al Padre Eterno.

     Ahora os voy a dar mi santa bendición.

     Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

1er septembre 1984

La Sainte Vierge: Je vais te donner Ma sainte bénédiction, Ma fille, comme Je l'ai promis; ensuite Mon Fils restera avec toi.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Le Seigneur: Ma fille, réfugie-toi dans Mon Cœur afin que la tristesse ne t'envahisse pas; Mon Cœur est ouvert pour que tu y 1s~is à l'abri.. Bien que tu sois remplie.de ~sères et de ~a~tes, Je.te
laisse un corn dans Mon Cœur; tu SaiS bien que Je choisis des ViC- times et Je veux des âmes victimes pour sauver au moins le tiers de l'Humanité.
Que de fois t'ai-Je demandé de ne jamais dire: "Je n'en peux '
plus! " N'abandonne pas le trésor de la croix; prends-la sur tes épaules et garde-la quelques instants.., ( Amparo donne l'im- pression, par ses gémissements, qu'elle supporte une charge très lourde). Enlève-la, Je t'ai dit quelques instants seulement...
1C'est le trésor de la croix, Ma fille ; la croix te permettra de mon- ter très haut, mais sans la croix tu ne parviendras pas aux demeures. Rejette la tristesse qui t'envahit, sans y perdre de temps. Lorsque
1tu penses à cette tristess~ qui s'empare de toi, tu ne pens~s pas à
Moi, Ma fille. Je ne veux pas que tu Me voles une seule mmute de ton temps.
Maintenant, afin que tu sois humble, baise le sol dans un acte d'humilité, Ma fille...
En signe d'humilité. Je veux que tu sois humble afin que Je puisse finir de te façonner, Ma fille.
 Amparo: Laisse-moi Te toucher le pied. . .
La Sainte Vierge: Dans tes moments de tristesse, implore Mon Cœur; il sera ton refuge.
 Amparo: Aide-moi.. ., aide-moi...  (Notre Seigneur: Comment vais-Je abandonner une âme que J'ai choisie comme victime? C'est toi qui me lâcheras avant, Ma
fille, mais Moi Je ne t'abandonnerai jamais...
Je Te veux encore plus malade, comme victime pour le salut des âmes. A quoi te servirait-il, Ma fille -Je te l'ai déjà dit bien des fois - de tout posséder, si tu venais à perdre ton âme ?
Ne M'abandonne pas, Ma fille. Si l'on te calomnie, offre-toi à Moi. On M'a calomnié, et toi, tu n'es pas plus que Moi.
 Amparo: Je veux être comme Tu voudras, mais aide-moi; on se moque de moi.
Notre Seigneur: On s'est moqué de Moi, Ma fille, et Mes dis- ciples eux-mêmes M'ont abandonné. Je veux que tu sois humble et que tu abandonnes l'orgueil, Ma fille. Je ne te donnerai pas plus que ce que tu peux supporter. Offre-toi comme victime car Je t'ai
'" choisie. Tu as dit oui, Ma, fille. M?i, Je ne prends jamais de victimes " sans qu'elles consentent a souffrir.
Baise de nouveau le sol pour le salut des âmes, Ma fille... Je te veux humble pour achever de parfaire ton corps. Je vais donner Ma sainte bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le'Saint Esprit.
Aujourd'hui c'est Moi qui vais bénir tous les objets.
Quelle satisfaction ressent Mon Cœur en voyant des milliers d'âmes qui sont en ce lieu!
Leve:z tous les objets...
 Amparo: Ne pars pas! Ne pars pas!
Notre Seigneur: Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
 

MENSAJE DEL DÍA 1 DE SEPTIEMBRE DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

     LA VIRGEN:

     Voy a dar mi santa bendición, hija mía, como he prometido; después se quedará mi Hijo contigo.

     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 
 

     EL SEÑOR:

     Hija mía, que no te invada la tristeza, refúgiate en mi Corazón; mi Corazón está abierto para que te refugies en él. Aunque estás llena de miserias y de faltas, hija mía, te dejo un hueco en mi Corazón; ya sabes que escojo víctimas y quiero almas víctimas para salvar por lo menos la tercera parte de la Humanidad.

     ¡Cuántas veces te he dicho que nunca digas: “No puedo más”; no abandones el tesoro de la cruz; cógela sobre tus hombros y tenla unos segundos...

     (Luz Amparo, por sus quejidos, da la impresión de soportar una carga muy pesada).

     Descárgatela, he dicho sólo unos segundos...

     Esto es el tesoro de la cruz, hija mía; con la cruz podrás llegar muy alto, pero sin la cruz no conseguirás las moradas, hija mía.

     La tristeza que te invade, deséchala, no pierdas el tiempo en esa tristeza. Mientras estás pensando en invadirte con esa tristeza, no piensas en mí, hija mía; no quiero que me robes ni un minuto de tiempo.

     Ahora, para que seas humilde, en acto de humildad, besa el suelo, hija mía... En acto de humildad. Quiero que seas humilde, para poder terminar de pulirte, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Déjame que toque el pie...
 
 

     LA VIRGEN:

     Cuando estés triste, implora a mi Corazón, y mi Corazón te refugiará.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Ayúdame..., ayúdame...
 
 

     EL SEÑOR:

     ¿Cómo voy a abandonar a un alma que he escogido para víctima?; antes me abandonarás tú, hija mía; pero yo nunca te abandonaré...

     Te quiero más enferma todavía, como víctima para la salvación de las almas. ¿De qué te iba a servir, hija mía —ya he dicho muchas veces—, de tenerlo todo, si vas a perder tu alma?

     No me abandones, hija mía. Si te calumnian, ofrécete mí; a mí me calumniaron, y tú no eres más que yo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Yo quiero ser como Tú quieras, pero ayúdame; se ríen de mí.
 
 

     EL SEÑOR:

     De mí se rieron, hija mía, y hasta mis discípulos me abandonaron. Quiero que seas humilde, y deja la soberbia, hija mía. Yo no te daré más de lo que puedas. Ofrécete como víctima que te escogí; tú dijiste que sí, hija mía. Yo nunca cojo víctimas sin que ellas digan sí al sufrimiento.

     Vuelve a besar el suelo por la salvación de las almas, hija mía...

     Te quiero humilde, para terminar de pulir tu cuerpo.

     Voy a dar mi santa bendición.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Hoy voy a bendecir yo todos los objetos.

     ¡Qué satisfacción siente mi Corazón de ver que miles de almas están en este lugar!

     Levantad todos los objetos...
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡No te vayas! ¡No te vayas!
 
 

     EL SEÑOR:

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

15 septembre 1984

La Sainte Vierge: Aujourd'hui, Ma fille, il y a un an pour vous,

J'étais présente pendant toute la récitation du chapelet. C'est Moi qui le dirigeais, Ma fille. Aujourd'hui Je vais te donner un message bref: vous devez beaucoup prier. Tu dois dire aux hommes que l'Espagne est en danger... Mais sais-tu qui fomente ces guerres? Ceux sont les hommes, par leurs péchés. L'arme la meilleure, Mes enfants, c'est le Rosaire... Comme les humains sont cruels! Moi Je suis la Reine de la Paix et Je veux la paix pour vous. Les hommes recherchent les guerres. Par vos prières et par ton sacrifice, vous pouvez éviter une grande guerre.
Les suppôts de l'Antichrist sont parmi vous, Ma fille ; ils sont en train de fomenter la guerre. .. Aux yeux des hommes, Ma fille, ils passent pour des agneaux; mais ils cherchent la guerre. Cette grande guerre est proche. Avec vos prières, vous pouvez l'éviter, Ma fille. Je te demande le sacrifice accompagné de la prière.
Tu vas avoir un doux entretien avec Mon fils... Le Seigneur: , M'aimes-tu ?
 Amparo: Beaucoup, beaucoup! Ah ! Je T'aime beaucoup! Le Seigneur: Peux-tu donner ta vie pour Moi!
 Amparo: Ah, oui ! Oui ! Notre Seigneur: Je né veux pas que tu te plaignes, Ma fille. La
souffrance est inutile pour toi. ( Amparo se plaint et gémit qllelques instants). Cherche refuge dans Mon Cœur.
 Amparo: Ah ! Oui, je Le cherche; je Le cherche.
Le Seigneur: Il n'y a que Mon Cœur qui puisse te cpnsoler... ( Amparo gémit d'afjliction). Je veux que ton cœur fonde par amour pour Moi.
 Amparo: Ah ! Comme Tu es grand, comme Tu es grand! Ah ! Si Tu étais toujours avec moi. .. !
Le Seigneur: Je suis toujours avec toi, Ma fille, même si tu ne '"
Me vois pas; cherche-Moi, Je suis là.
 Amparo: Ah ! Que Tu es grand, Mon Dieu! Quand pour- rai-je être là-bas pour toujours, toujours? Ah !
Le Seigneur: Dans peu de temps. Pense à Jacinthe, Ma fille, et à François qui jouissent de la présence de Dieu; mais pense à Lucie à qui J'ai dit : "Dans peu de temps tu viendras avec Moi" et depuis combien de temps est-elle parmi les hommes! Eh bien, Je te dis la même chose: " dans peu de temps, Ma fille ".
 Amparo: Ah ! Ma Mère! Ah ! Comme vous êtes beaux tous les deux. .. Que vous êtes beaux. . " Ah ! Mère! Ah, mon cœur et mon corps, je ne sais ce qui se passe là ! Ah ! Que vous êtes grands! Moi je veux toujours être avec Vous! Ne voyez-vous pas comme je suis: un vrai déchet? Ah ! Jésus!
Le Seigneur: Ce déchet peut sauver beaucoup d'âmes, Ma fille.
 Amparo: Ah ! Que Tu es grand! Bénissez-nous, tous les deux! Comme c'est grand!
Le Seigneur: Levez tous les objets... lis ont tous été bénits.  Amparo: Toi, bénis-les. .. !
Le Seigneur: lis ont tofis été bénis, Ma fille.
 Amparo: Que tu es grand! Ah que c'est grand! Ah!
Le Seigneur: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous
bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Je ;ous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit par l'in- termédiaire...
 Amparo: Ah ! Non! Par l'intermédiaire du Fils et avec le
So
Eo~ To
dilAhl, or
atnt spnt ° J.o1, s- e. . . , autre crolX .
Le Seigneur: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
C
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 15 DE SEPTIEMBRE DE 1984, NTRA. SRA. DE LOS DOLORES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hoy hace, hija mía, un año, para vosotros, que estuve presente durante todo el rezo del santo Rosario. Yo lo dirigía, hija mía. Hoy sólo, hija mía, te voy a dar un corto mensaje: tenéis que rezar mucho. Tienes que decirle a los humanos: España está en peligro... Pero, ¿sabes quién forma esas guerras? Los hombres con su pecado. La mejor arma, hijos míos, es el Rosario... ¡Qué crueles son los humanos! Porque yo soy la Reina de la paz, quiero la paz para vosotros. Los humanos buscan las guerras. Con vuestras oraciones y con tu sacrificio podéis evitar una gran guerra.

     Los secuaces del Anticristo están entre vosotros, hija mía; están formando la guerra... Ante los ojos de los hombres, hija mía, son corderitos; pero están buscando la guerra. Está próxima esa gran guerra. Con vuestras oraciones podéis evitarla, hija mía. Sacrificio, te pido, acompañado de la oración.

     Vas a tener un tierno coloquio con mi Hijo, hija mía...
 
 

     EL SEÑOR:

     ¿Me amas, Luz?
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Mucho, mucho! ¡Ay, te amo mucho!
 
 

     EL SEÑOR:

     ¿Eres capaz de dar la vida por mí?
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, sí, sí!
 
 

     EL SEÑOR:

     No quiero que te quejes, hija mía; el sufrimiento no te sirve[1]...

     (Luz Amparo se está quejando y se lamenta durante unos instantes).

     Busca refugio en mi Corazón.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, sí, lo busco; lo busco.
 
 

     EL SEÑOR:

     Mi Corazón puede ser el único que te puede consolar...

     (Luz Amparo emite lamentos de desconsuelo).

     Quiero que tu corazón se derrita por mi amor.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué grande eres, qué grande, qué grande! ¡Ay, si siempre te estuvieras conmigo...!
 
 

     EL SEÑOR:

     Siempre estoy contigo, hija mía, aunque no me veas; búscame, que allí estoy.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué grande, Dios mío! ¿Cuándo podré estar yo ahí siempre, siempre? ¡Ay, ah!
 
 

     EL SEÑOR:

     Dentro de poco. Piensa en Jacinta, hija mía, piensa en Francisco, que están gozando de la presencia de Dios; pero piensa en Lucía, que le dije: “Dentro de poco vendrás conmigo”, y ¡cuánto tiempo lleva entre la Humanidad! Pues lo mismo te digo: “Dentro de poco, hija mía”.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, Madre mía! ¡Ay, qué guapos sois los dos! ¡Ay, qué guapos, ay...! ¡Ay, Madre! ¡Ay, mi corazón y mi cuerpo, no sé lo que pasa ahí, ay...! ¡Ay, qué grandes sois! ¡Ay, yo quiero estar con vosotros siempre...! ¿No me veis cómo estoy? Hecha una piltrafa. ¡Ay, ay, ay..., Jesús!
 
 

     EL SEÑOR:

     Esa piltrafa puede salvar muchas almas, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, qué grande eres! ¡Ay, bendecid los dos! ¡Los dos! ¡Ay, qué grande! ¡Ah..., ay!
 
 

     EL SEÑOR:

     Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ah..., ay, bendícelos Tú...!
 
 

     EL SEÑOR:

     Todos han sido bendecidos, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Qué grande eres! ¡Ay, qué grande! ¡Ay, ay, ah!
 
 

     EL SEÑOR:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo[2].

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio...
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, no!, ¿por medio del Hijo, con el Espíritu Santo?... Dilo Tú, di... ¡Ay, di la otra cruz!
 
 

     EL SEÑOR:

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Desde el inicio hasta este punto es trascripción del o. c., nº 4, p. 438. Lo siguiente se ha corregido conforme al único fragmento de mensaje grabado en audio disponible.

[2] No es un error de trascripción la repetición de varias bendiciones; así se escucha en la grabación.
 

6 octobre 1984
 

La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais lancer un appel
(à tous les prêtres pour qu'ils annoncent que, sous peu, de grandes catastrophes frapperont la Terre. Que les hommes soient prêts, Ma
fille...
Les impies aussi nient l'existence de Dieu; ils veulent gouverner
la Terre, avec leurs mauvais exemples, Ma fille. Les prêtres qui
abandonnent la voie de Dieu, s'en vont sur le chemin des plaisirs et font perdre la foi aux populations... Les mères aussi, Ma fille, ont perdu l'instinct maternel et commettent de grands crimes envers leurs propres enfants.
PRIEZ, MES ENFANTS, ET FAITES PENlTENCE CAR LE TEMPS PREND FIN.
Vois, Ma fille, vois Mon Fils.
Le Seigneur: Tu M'as dit que tu M'aimais.
 Amparo: Oui, je T'aime!... (Elle pleure en entendant les paroles du Seigneur). Ah, ma Mère!. . .
Le Seigneur: Tu doi~ M'aimer davantage; si toi tu M'aimes, Moi je t'aime; il ne nous reste plus que le salut des âmes. Les hommes continuent d'être cruels, Ma fille. Vois Mon Front, vois Mon dos, Ma fille ; sais-tu qui M'a fait cela? L'amour que J'ai pour les hommes.
Baise la plaie de Mon côté... Sais-tu qui M'a fait cela? L'amour que J'ai pour les hommes.
Vois Mes pieds et Mes mains... Sais-tu qui M'a fait cela? L'amour que J'ai pour les hommes.
Voilà pourquoi Je te demande, Ma fille, de beaucoup M'aimer, ce coin de Mon Cœur est pour toi, Ma fille.
Baise le sol, Ma fille, en acte d'humilité... Pour le salut des âmes.
Pour les âmes consacrées; pauvres âmes! Comme elles répondent mal à Mon Amour! Combien d'âmes abandonnent le Christ pour s'introduire dans les plaisirs du monde!
rToi, Ma fille, cherche l'humiliation. Sois simple, Ma fille, très simple.
Je vais bénir tous les objets... lis ont tous été bénits, Ma fille.
Je vais donner Ma sainte bénédiction. Je vous bénis, comme le
Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
La Sainte Vierge: A prés~nt, c'est à Mon tour de vous donner' la sainte bénédiction, Ma fille. Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit. Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 6 DE OCTUBRE DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, hoy voy a hacer un llamamiento para todos los sacerdotes, para que éstos publiquen que dentro de poco habrá grandes catástrofes sobre la Tierra. Que estén los humanos preparados, hija mía...

     También los hombres impíos reniegan de la existencia de Dios; ellos quieren gobernar a la Tierra, con sus malos ejemplos, hija mía. Los sacerdotes que dejan el camino de Dios, se van por el camino de los placeres y quitan la fe en los pueblos. También las madres, hija mía, han perdido maternidad y cometen grandes crímenes con sus propios hijos.

     Rezad, hijos míos, y haced penitencia, que el tiempo se acaba.

     Mira, hija mía, mira a mi Hijo.
 
 

     EL SEÑOR:

     Me dijiste que me amabas.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, y te amo!... (Luz Amparo llora unos instantes ante las palabras del Señor). ¡Ay, Madre mía, ay...!
 
 

     EL SEÑOR:

     Tienes que amarme más; si tú me amas, yo te amo; sólo nos queda la salvación de las almas. Los hombres siguen crueles, hija mía. Mira mi frente, mira mi espalda, hija mía; ¿sabes quién me ha hecho esto?: el amor que siento por vosotros...

     Besa la llaga de mi costado... ¿Sabes quién me ha hecho esto?: el amor que siento por los hombres...

     Mira mis pies y mis manos... ¿Sabes quién ha hecho esto?: el amor que siento a los hombres...

     Por eso te digo, hija mía, que me ames mucho, que el hueco de mi Corazón lo dejo para ti, hija mía.

     Besa el suelo hija mía, en acto de humildad... Por la salvación de las almas. Por las almas consagradas; ¡pobres almas..., qué mal corresponden a mi amor! ¡Cuántas almas abandonan a Cristo y se introducen en los placeres del mundo!

     Tú, hija mía, busca la humillación. Sé sencilla, hija mía, muy sencilla.

     Voy a bendecir todos los objetos... Todos han sido bendecidos, hija mía.

     Voy a dar mi santa bendición. Os bendigo como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 
 

     LA VIRGEN:

     Ahora me toca a mí la santa bendición, hija mía. Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

7 octobre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, J'ai voulu mettre à l'épreuve toutes les personnes qui sont ici présentes. Les curieux ont dû supporter tout le Chapelet. Je suis la même, Ma fille, toujours la même, J'ai seulement changé de chapelet.
Aujourd'hui, c'est une fête importante pour tous les hommes, Ma fille ; pour tous ceux qui aiment de tout leur coeur. Le Rosaire est l'arme la plus puissante pour sauver l'Humanité. Regarde quel chapelet ! A chaque grain de chapelet, Je répands une multitude de grâces pour les hommes, Ma fille. Mais comme ils profitent peu de Mes manifestations !
Je t'ai déjà dit que ce peuple était comme celui d'Israël: incrédule, dur et cruel, Ma fille. On n'a pas eu foi en Mon Fils, chez lui. L'être humain est cruel.
 Amparo: Je vais Te poser une question. Est-ce vrai... ? C'est que je ne veux pas le dire ainsi...
La Sainte Vierge: Dis-le moi avec ces mots. (Elle parle une langue inconnue). Non, Ma fille, ce n'est pas sûr ; il n'est ni de Dieu ni de l'ennemi, c'est lui-même qui en est la cause, Ma fille. ( Amparo pleure quelques instants). Prends garde, ne te laisse pas tromper par de faux prophètes.
 Amparo: Il est en train de tromper les gens.
La Sainte Vierge: Je t'ai prévenue que de faux prophètes viendraient. Baise le sol, Ma fille pour cette pauvre âme.
 Amparo: Et que veut-il? Que veut-il?
La Sainte Vierge: Il veut être le protagoniste, Ma fille. Parle avec lui et dis-le lui, à lui seul. Les choses de Dieu sont à prendre très au sérieux; l'on ne peut jouer avec Nos Noms. Comme il est mauvais de vouloir être le protagoniste, Ma fille ! Voilà pourquoi Je te demande d'être petite, toute petite, pour monter haut, très haut. Plus tu monteras, Ma fille, plus tu seras petite. Je te veux simple, très simple. Ils ont reçu des grâces très spéciales et ils s'en servent pour détruire cette Oeuvre, Ma fille. Pauvres âmes! Cette âme va jusqu'à tromper sa propre famille. Prie beaucoup pour lui, car il a une âme, Ma fille, et il est ton frère dans le Christ. Prie beaucoup pour lui, Ma fille. Que personne, personne ne te trompe, Ma fille. Je t'avais prévenue que cela arriverait. Vois comme ce moment est là ! .
Humilité et sacrifice; avec l'humilité et le sacrifice, Ma fille, l'en- nemi n'aura pas de pouvoir contre cette Oeuvre.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, pour les âmes consacrées...
Pauvres âmes !... Mon Cœur les aime tant! Comme elles répon- dent mal à cet amour, Ma fille !
rJe t'ai dit que de grandes catastrophes frapperaient la Terre, Ma
fille. Mais n'ayez crainte et ne perdez ni la foi ni la sérénité; votre Mère est avec vous, Mes enfants. Et comme beaucoup de prêtres
\manquent de courage pour en parler! Ils sont lâches et Mon Fils n'aime pas la lâcheté.

 Soyez forts et parlez de l'Evangile, mais ne niez pas ce que vous avez vu, Mes enfants. Ces manifestations ne s'opposent jamais à l'Eglise Catholique, Ma fille... Si quelqu'un te dit, Ma fille, que tu t'opposes à la religion catholique... une Mère et la Mère de l'Eglise ne peut parler contre Son Eglise, Ma fille. Mère de l'Eglise et Mère de toute l'Humanité!
Je veux que vous récitiez les trois parties du Rosaire, Ma fille. Cette prière Me plaît tellement!. .. Quelle belle prière! : " Mère de Dieu et Notre Mère !"
 Amparo: Ce chapelet! Ah ! Ce chapelet! Le chapelet resplendit de lumière!
La Sainte Vierge: Je ne permettrai pas que celui qui récite le Rosaire, se condamne.
Je vais bénir les objets, spécialement les chapelets, Ma fille. Sors le chapelet de ta poche.
Sortez tous les objets... Ils ont tous été bénits, spécialement les chapelets, pour les mourants, Ma fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 7 DE OCTUBRE DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)

     LA VIRGEN:

     Hija mía, he querido probar a todo el ser humano que está aquí presente. Los curiosos han tenido que aguantar todo el santo Rosario. Soy la misma, hija mía, la misma de siempre, sólo he cambiado el rosario, hija mía.

     Hoy para el ser humano, es una fiesta importante, hija mía. Para todo aquél que ama con todo su corazón. El Rosario es el arma más potente, hija mía, para salvar a la Humanidad. Mira qué rosario; de cada cuenta de este rosario, derramo multitud de gracias para el ser humano, hija mía; pero ¡qué poco aprovecha el ser humano mis manifestaciones, hija mía!

     Ya te dije que este pueblo era como el pueblo de Israel: incrédulo, duro, cruel, hija mía. Pero mi Hijo, hija mía, tampoco le creyeron en su pueblo. El ser humano es cruel.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Te voy a preguntar una cosa. ¿Es verdad...? Es que no quiero decirlo así...
 
 

     LA VIRGEN:

     Dímelo con estas letras... (Palabras en idioma desconocido). No, hija mía, no es cierto; ni es de Dios ni del enemigo, se lo causa él mismo, hija mía... (Luz Amparo llora unos instantes con mucho desconsuelo). Ten cuidado, no te dejes engañar por ningún profeta falso.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, ay, ay...! ¡Está engañando a la gente...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Te advertí que vendrían profetas falsos. Besa el suelo, hija mía, por esa pobre alma, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Y ¿qué quiere?... Y ¿qué quiere?
 
 

     LA VIRGEN:

     Protagonismo quiere, hija mía. Habla con él y díselo a él solo. Las cosas de Dios son muy serias, hija mía, no se puede jugar con nuestros nombres. ¡Qué malo es el protagonismo, hija mía! Por eso te digo que estés baja, muy baja, para poder subir alta, muy alta. Cuanto más subas, hija mía, más baja estarás. Te quiero sencilla, muy sencilla. Han recibido gracias muy especiales y las aprovechan para destruir esta Obra, hija mía. ¡Pobres almas...! Ese alma está engañando hasta a su propia familia, hija mía. Pide mucho por ella, que tiene un alma, hija mía, y es tu hermano en Cristo. Pide por él mucho, hija mía. Que nadie, que nadie te engañe, hija mía. Te lo advertí que esto sucedería. ¡Mira cómo ha llegado el momento!

     Humildad y sacrificio; con humildad y sacrificio, hija mía, el enemigo no podrá con esto.

     Vuelve a besar el suelo, hija mía, por las almas consagradas... ¡Pobres almas!, ¡las ama tanto mi Corazón! ¡Qué mal corresponden a este amor, hija mía!

     He dicho que grandes catástrofes caerían sobre la Tierra, hija mía. Pero no tengáis miedo, y no perdáis la fe ni la calma; vuestra Madre está con vosotros, hijos míos. Y muchos sacerdotes, hija mía, ¡qué cobardía sienten para hablar de esto! Son cobardes, hija mía, y a mi Hijo no le gusta la cobardía. Sed fuertes, y hablad de la palabra del Evangelio, pero no neguéis lo que habéis visto, hijos míos. Esto nunca va en contra de la Iglesia Católica, hija mía... Si alguien te dijese, hija mía, que vas en contra de la religión católica... Una Madre, y Madre de la Iglesia, no puede hablar en contra de su Iglesia, hija mía. ¡Madre de la Iglesia y Madre de toda la Humanidad!

     Quiero que recéis las tres partes del Rosario, hija mía. ¡Me agrada tanto esta plegaria...! ¡Qué plegaria más bonita: “Madre de Dios y Madre nuestra”!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Qué rosario! ¡Ay, qué rosario! ¡Ay, desprende luz del rosario!
 
 

     LA VIRGEN:

     Quien rece el Rosario, hija mía, no permitiré que se condene...

     Voy a bendecir los objetos, especialmente los rosarios, hija mía. Sácate el rosario del bolsillo.

     Sacad todos los objetos... Todos han sido bendecidos, especialmente los rosarios, para los moribundos, hija mía.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

3 novembre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, aujourd'hui Je vais lancer un appel à tous les disciples de Dieu. Cet appel concerne aussi, les vrais imi- tateurs du Christ, du Christ qui se fit homme pour sauver l'Humanité.
Cet appel, Je le lance aussi, Ma fille, à ceux qui ont vécu dans la pauvreté, le mépris, l'humilité, la chasteté, la calomnie et la mortification. Cet appel, Je le lance à tous. Allez, Mes enfants, allez porter à tous les peuples de la Terre la lumière de l'Evangile du Christ.
 

Vous autres, Mes enfants, qui acceptez la Parole de Dieu, vous êtes des flls de lumière, Mes enfants; vous devez porter la lumière dans tous les coins du monde. Luttez, Mes enfants, luttez, car le temps presse et les âmes se condamnent.
Je lance aussi un appel à Mes âmes consacrées: luttez, luttez, "'\ n'ayez crainte; si le Christ est avec vous, qui pouvez-vous craindre,
Mes enfants? (Oui, Ma fille, combien de conducteurs de Mon Fils, vont sur le chemin de la perdition! Mon Cœur saigne de douleur pour eux tous. Voilà pourquoi nous avons besoin d'âmes victimes afm qu'elles fassent réparation pour les péchés des âmes consacrées...
Oui, Ma fille, le monde empire de jour en jour. Ces pauvres âmes, ces âmes consacrées... car Mon Fils s'humilie dans leurs mains et descend pour qu'on Le conduise là où ils veulent. Pauvres
âmes! Les péchés des âmes consacrées appellent la vengeance du \~ (;J Ciel, Ma fille. La vengeance est terrible; elle est aux portes.
(Les âmes consacrées, Ma fille, abandonnent la prière et la pénitence et s'introduisent dans les plaisirs du monde. .. Pauvres âmes! Comme elles mettent peu de foi dans la célébration du mystère de la Messe! Voilà pourquoi Mon Cœur est assoiffé d'âmes qui fassent réparation, Ma fille. J'ai besoin de beaucoup d'âmes en réparation des péché~. .
Baise le sol, Ma fille, pour les âmes consacrées. . . lA cause de leur impiété dans la célébration des mystères et de leur amour de l'argent, elles prennent le chemin de l'abîme. Priez pour elles, Mes enfants; faites des sacrifices, priez et faites péni- tence... Pauvres âmes! Mon Cœur les aime tant! Mon Cœur les aime tellement qu'il a une place, une place pour toutes ces âmes, Ma fille. Cette place est préparée pour tous ceux qui voudront se réfugier dans Mon Cœur, Ma fille.
Je lance également un appel à ces âmes qui se sont consacrées à Mon Cœur afm que Mon Cœur les conduise à Mon Fils. Je leur lance aussi cet appel.
/
Tous, Mes enfants, tous unis, luttez, luttez pour la gloire de Dieu. Ne craignez pas le "qu'en dira-t-on", ni la calomnie, Mes enfants. Heureux celui qui sera calomnié pour Notre cause, Mes
le~f~ts. N'ayez crainte. .Priez, Mes enfants, car si vous priez, l'enne- nu n aura aucun pOUVOIr sur vous.
Approchez-vous du Sacrement de l'Eucharistie, mais aupara- vant, lavez vos âmes avec le Sacrement de la Pénitence. App1:ochez- vous chacun, individuellement, du Sacrement de la Confession. Il Me plaît tant, Mes enfants... Il Me plaît tellement que vous vous mettiez en règle avec Dieu!. .. Mon Cœur de Mère souffre, Ma fille,
1quand Je vois que l'un de Mes fils se précipite dans l'abîme, Ma fille... te feu de l'enfer est terrible! Il est terrible! Ces corps ne se
consument pas, Ma fille ; les flammes ne les consument pas. C'est pour l'éternité. Ma fille. Cette souffrance est éternelle.
Baise à nouveau le sol pour les pauvres pécheurs, Ma fille.
"
Ne vous moquez pas des Messages de Votre Mère, Mes enfants. Votre Mère veut vous sauver. Et toi, Ma fille, recherche la calomnie et l'humiliation. Heureux celui qui sera calomnié à cause de Nos Noms, Ma fille.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction. Mais auparavant, levez tous les objets; Ils seront tous bénits...
Je vous bénis, Mes enfa1tts, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 3 DE NOVIEMBRE DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, hoy voy a hacer un llamamiento para todos los discípulos de Dios que viven en el cielo reinante. También, hija mía, este llamamiento para los verdaderos imitadores de Cristo; de Cristo, que se hizo hombre para salvar a la Humanidad.

     También, hija mía, aquéllos que han vivido en la pobreza, en el desprecio, en la humildad, en la castidad, en la calumnia, en la mortificación, para todos ellos, hijos míos, para todos hago este llamamiento. Salid, hijos míos, salid y llevad por todos los pueblos de la Tierra la luz del Evangelio de Cristo.

     Vosotros, hijos míos, que aceptáis la palabra de Dios, sois hijos de la luz, hijos míos; tenéis que llevar la luz por todos los rincones del mundo. Luchad, hijos míos, luchad, que el tiempo apremia, las almas se condenan, hija mía.

     También hago un llamamiento a mis almas consagradas: luchad, luchad, no tengáis miedo; si está Cristo con vosotros, ¿a quién podéis temer, hijos míos?

     Sí, hija mía, los conductores de mi Hijo, ¡cuántos, hija mía, van por el camino de la perdición! Mi Corazón sangra de dolor por todos ellos. Por eso necesitamos almas víctimas para que reparen los pecados de las almas consagradas...

     Sí, hija mía, el mundo está cada día peor. Esas pobres almas, esas almas consagradas..., que mi Hijo se humilla a esas manos y baja para que lo conduzcan a donde quieran, ¡pobres almas! Los pecados de las almas consagradas, hija mía, claman al Cielo venganza. La venganza es terrible, y está a las puertas, hija mía.

     Las almas consagradas, hija mía, abandonan la oración y la penitencia y se introducen en los placeres del mundo... ¡Pobres almas! Cuando celebran el misterio de la Misa, hija mía, ¡qué poca fe ponen en él, hija mía! Por eso mi Corazón está sediento de almas que reparen, hija mía. Necesito muchas almas para reparar los pecados.

     Besa el suelo, hija mía, por las almas consagradas...

     Hija mía, por su impiedad en celebrar los misterios, por su amor al dinero, se van metiendo en el camino del abismo. Rezad por ellos, hijos míos; haced sacrificio y penitencia acompañado de la oración... ¡Pobres almas, las ama tanto mi Corazón! ¡Tanto las ama, hija mía, que mi Corazón tiene un hueco, un hueco para todos ellos, hija mía! Todo el que quiera refugiarse en mi Corazón, lo tengo preparado, hija mía.

     También llamo a aquellas almas que se han consagrado a mi Corazón con el fin de que mi Corazón las conduzca a mi Hijo. También hago ese llamamiento.

     Todos, hijos míos, todos unidos luchad, luchad por la gloria de Dios. No os acobardéis qué dirán, ni la calumnia, hijos míos. Dichoso aquél que sea calumniado por nuestra causa, hijos míos. No tengáis miedo. Orad, hijos míos, que orando el enemigo no podrá con vosotros.

     Acercaos al sacramento de la Eucaristía, pero antes lavad vuestra alma, hijos míos, con el sacramento de la Penitencia. Acercaos cada uno individualmente al sacramento de la Confesión. ¡Me agrada tanto, hijos míos! ¡Me agrada tanto que os pongáis a bien con Dios!... Mi Corazón de Madre sufre, hija mía, cuando veo que uno de mis hijos se precipita en el abismo, hija mía... ¡Es terrible, hija mía, el fuego del Infierno! Es terrible. Estos cuerpos no se consumen, hija mía; las llamas no los consumen. Es eterno, hija mía, este sufrimiento es eterno.

     Vuelve a besar el suelo por los pobres pecadores, hija mía[1]...

     No os riáis de los mensajes de vuestra Madre, hijos míos. Vuestra Madre os quiere salvar. Y tú, hija mía, busca la calumnia, busca la humillación. Bienaventurado aquél que sea calumniado por nuestros nombres, hija mía.

     Voy a daros mi santa bendición. Pero antes levantad todos los objetos; todos serán bendecidos...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Corte en la grabación; el contenido final del mensaje en cursiva ha sido extraído del o. c., nº 4, p. 446.
 

18 novembre 1984

La Sainte Vierge: Ne bouge pas, Ma fille, ne te lève pas... Je viens seulement pour te dire et te rappeler: sacrifice, sacrifice et pénitence, Mes enfants.
Le Seigneur: , Ma fille, est-ce que tu M'aimes toujours?  Amparo: Je vous aime beaucoup, Seigneur, beaucoup,
beaucoup!
Le Seigneur: Pas plus que Moi Je t'aime, Ma fille. Mon amour,
personne ne peut l'égaler. Si les âmes savaient l'amour que Mon 1
Cœur a pour elles, elles seraient incapables de M'offenser. Toi- même tu ne comprends pas cet amour.
Réfugie-toi dans Mon Cœur. Mon Cœur est ouvert, Ma fille,
)pour quiconque désire y trouver refuge. Mais vois comme il est
entouré d'épines à cause J des âmes ingrates qui ne veulent pas
l'aimer.
Moi Je te promets que quiconque aimera ce Cœur, ne se con- 1damnera pas, Ma fille ; Je le préserverai des peines de l'Enfer.
Vois comme Mon Cœur répand des Grâces. Ces rayons de lumière qu'il répand, sont des grâces, Ma fille. Cette lumière se déverse sur toutes les âmes qui sont ici présentes... Toutes les âmes
ici présentes n'ont cessé de recevoir Ma grâce. Peut~il y avoir plus '
7d'oppor~tés!... Q~e d~si~e l'être humain pour se sauver, ~a -
/..
fille ?J'at donne Ma Vle,J'atrepandu Mon sang pour eux tous, et ils vont de mal en pis, Ma fille. Pourquoi le monde est-il dans cet état? . . .. A cause des péchés des hommes! il sera donné à chacun selon ses œuvres, Ma fille.
Présentez-vous devant" le Père, les mains pleines et non les mains vides. Tous ceux qui recevront ces grâces, seront récompen- sés, au prix fort, Ma fille.
Aimez-vous les uns les autres comme Je vous ai aimés, Mes enfants. Moi j'ai répandu Mon amour sur toute la Terre, pour que vous'soyez tous unis. Qu'avez-vous fait de cet amour: guerre et dis- cordes. Je te l'ai déjà dit : les parents contre les enfants, la belle-mère contre la belle-fille et la belle-fille contre la belle-mère, le frère con- tre le frère; tout cela arrive, Ma fille. Et Je t'ai dit également que lorsque cela surviendrait, l'on approcherait de la fin des fins.
La prière et le sacrifice sauvent l'âme, Ma fille. Et vous autres, } Mes enfants, vous avez fait un pacte avec Moi. Allez dans tous les
ltcoins annoncer la parole du Christ: Les Evangiles, les Evangiles ! Mes enfants. Tous ceux qui suivront le chemin des Evangiles, se sauveront. Mais malheur à celui qui fait la sourde oreille à ces paroles! Il vaudrait mieux pour lui qu'il ne fût point né, Ma fille; que l'on passât une meule autour de son cou et qu'on le jetât dans la mer.
Ils ne lisent pas bien; aucun bien pour l'âme (II parle une langue étrange). Voilà la date du châtiment, Ma fille... (II dit à nouveau quelques mots dans une langue inconnue). Mais, si vous êtes avec le Christ, qui pouvez-vous craindre, Mes enfants?
Je vous veux pauvres, humbles et sacrifiés, Mes enfants. Bienheureux les pauvres, car le Royaume des Cieux est à eux.
Aimez-vous, Mes enfants, aimez-vous les uns les autres. Priez beaucoup, pour les pasteurs de l'Eglise.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
La Sainte Vierge: Recevez Ma sainte bénédiction, Mes en- fants. Ma fille, sois humble, très humble. Aime tes ennemis, car ils sèment le chemin de ta demeure, Ma fille; avec leurs mensonges et leurs calomnies, ils sont en train de labourer ton chemin. Recherche l'humiliation, Ma fille ; pen~e que l'on a humilié et maltraité Mon fils. On L'appelait" le vagabond ". Et combien de fois vais-Je te dire que le disciple n'est pas au-dessus de son maître!
Aime-Nous beaucoup, Ma fille, aime Nos Cœurs et réfugie-toi en Eux, car Ils ne te décevront pas, Ma fille. Tout être humain déçoit, mais Nos Cœurs ne déçoivent pas.
Levez tous les objets, Mes enfants... Ils ont tous été bénits, Ma fille ; ces objets ont des grâces spéciales. Beaucoup de ces grâces se sont déjà répandues sur beaucoup d'âmes, Ma fille.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.

MENSAJE DEL DÍA 18 DE NOVIEMBRE DE 1984[1]

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Quieta, hija mía, no te levantes... Sólo vengo a decirte, hija mía, a recordarte: sacrificio, sacrificio y penitencia, hijos míos.
 
 

     EL SEÑOR:

     Luz, hija mía, ¿me sigues amando?
 
 

     LUZ AMPARO:

     Mucho, Señor, ¡mucho, mucho!
 
 

     EL SEÑOR:

     Más que yo a ti no, hija mía. Mi amor nadie puede igualarlo, hija mía. Si supiesen las almas, hija mía, las almas, el amor que mi Corazón tiene por ellas, no serían capaces de ofenderme. Ni tú misma comprendes ese amor.

     Refúgiate en mi Corazón. Mi Corazón está hueco, hija mía, hueco para todo aquél que quiera refugiarse en él. Pero mira cómo está cercado de espinas por las almas ingratas que no quieren amar a mi Corazón.

     Hija mía, yo te prometo que todo aquél que ame a este Corazón no se condenará, hija mía; lo preservaré de las penas del Infierno.

     Mira mi Corazón cómo derrama gracias. Esos rayos de luz que salen de él son las gracias que derrama, hija mía. Esa luz se esparce sobre todas las almas que están aquí presentes... Ninguna, ningún alma de las aquí presentes han dejado de percibir mi gracia, hija mía —¡más oportunidad!—... ¿Qué quiere el ser humano para salvarse, hija mía? Di mi vida, derramé mi Sangre por todos ellos, y siguen cada vez peor, hija mía. ¿Por qué está el mundo así? Por los pecados de los hombres. Y a cada uno se le dará según sus obras, hija mía.

     Presentaos ante el Padre con las manos llenas; no con las manos vacías. Todo aquél que reciba estas gracias, será gratificado, pero a muy alto precio, hija mía.

     Amaos los unos a los otros como yo os amé, hijos míos. Yo derramé el amor por toda la Tierra, para que todos estuvieseis unidos. ¿Qué habéis hecho de ese amor?: guerra, discordia... Ya te dije que los padres contra los hijos, la suegra contra la nuera y la nuera contra la suegra, hermano contra hermano; todo esto está sucediendo, hija mía. Y cuando esto aconteciese, se aproximaría el fin de los fines.

     La oración y el sacrificio salvan al alma, hija mía. Y vosotros..., vosotros, hijos míos, tenéis un pacto conmigo. Id por todos los rincones a publicar la palabra de Cristo: ¡los Evangelios! ¡Los Evangelios, hijos míos! Todos aquéllos que sigan el camino de los Evangelios se salvarán. Pero, ¡ay de aquél que cierre sus oídos a estas palabras!, más le valiera no haber nacido, hija mía; que a su cuello se colgase una rueda de molino y se arrojase al mar.

     No leen bien; ningún bien para el alma... (Habla en idioma extraño). La fecha del Castigo es ésta, hija mía... (Vuelve a hablar en idioma desconocido unas palabras). Pero, si estáis con Cristo, ¿a quién podéis temer, hijos míos?

     Quiero que seáis pobres, humildes, hijos míos, y sacrificados. Bienaventurados los pobres, porque de ellos es el Reino de los Cielos.

     Amaos, hijos míos, amaos unos a otros. Rezad mucho por los pastores de la Iglesia.

     Os voy a dar mi santa bendición: yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 
 

     LA VIRGEN:

     Recibid mi santa bendición, hijos míos; hija mía, y sé humilde, muy humilde. Y ama a tus enemigos, pues ellos son los que te están sembrando el camino de la morada, hija mía; con sus mentiras y con sus calumnias te están labrando el camino. Busca la humillación, hija mía; piensa que a mi Hijo lo humillaban y lo maltrataron; le llamaron “el vagabundo”. Y ¡cuántas veces te voy a decir que no es más el discípulo que su maestro!

     Ámanos mucho, hija mía, ama nuestros Corazones y refúgiate en ellos, porque ellos serán los que no te fallen, hija mía. Todo el ser humano falla, pero nuestros Corazones no fallan.

     Levantad todos los objetos, hijos míos... Todos han sido bendecidos, hija mía; tienen gracias especiales. Que muchas de estas gracias ya se han derramado sobre muchas almas, hija mía.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Se desconoce si hay grabación en sonido de este mensaje. Cf. o. c., nº 4, pp. 447-449.
 

25 novembre 1984 
Fête du Christ roi.

La Sainte Vierge: En premier lieu, Ma fille, tu dois réparer les péchés des hommes. Baise le sol. . .
Il faut faire réparation et pénitence, Ma fille, parce que les hommes empirent de jour en jour. Baise à nouveau le sol, pour les âmes consacrées...
Le mon~e est effondré, Ma ~e. L.es ?échés et le~ ~pureté~ des r s ~ hommes cnent vengeance au Ciel ainSi que les peches des ames
consacrées. Oui, Ma fille, il faut faire pénitence et sacrifice pour que J les hommes se convertissent; Je veux qu'au moins le tiers de l'Humanité se sauve. Ils ne changent pas, Ma fille, et Mon Cœur est transi de douleur. Combien Je les aime! ô combien J'aime ces âmes, Ma fille! Je les aime non point parce qu'elles répondent à Mon amour; non, Ma fille, parce qu'elles ne correspondent pas à Mon amour.
Voilà pourquoi Je te dis que le monde empire. Mon Cœur souf- !'~ fre, car si Je te révélais le nombre d'âmes qui se condamnent jour- n~ll~ment, ~ s.erais hor~fiée, ~a fille. C'est pourquoi, il faut faire perutence, perutence et reparatton.
Que les hommes sont cruels! Ils n'ont pas compassion de Moi. Ils disent que Je ne souffre pas; Mon Cœur souffre, parce qu'en ce moment Je ne suis pas glorieuse, Ma fille. Les hommes sont cruels à Mon amour, Ma fille. Baise à nouveau le sol, Ma fille...
Pense que celui qui s'humilie, sera élevé; c'est une humiliation, Ma fille, mais pense que Je t'ai dit de rechercher l'humiliation. Pense au Royaume du Christ, Ma fille. C'est le Royaume le plus grand.
Regarde ton Roi, Ma fille. .. Ce Roi ne déçoit pas, Ma fille ; celui qui s'inclinera devant Lui, recevra la récompense, Ma fille ; humilie- toi, mais réfugie-toi dans Mon Cœur.
 
 

Le Seigneur: Je suis le Roi du Ciel et de la Terre. Beaucoup de gouvernants, sont des démons incarnés qui par- lent de paix, alors qu'ils sont en train de fabriquer des armes de mort, Ma fille, pour la mort de l'Humanité, pour détruire plu- sieurs nations. Ils parlent de paix, mais ils sont en train de faire la guerre.
{Diverses nations seront détruites; parmi elles, une partie de l'Europe.
Dans les maisons, Ma fille, on ne parle plus que de désunion dans les familles, de désunion et de plaisirs, Ma fille ; on ne parle pas de Di~u, de Dieu Le Père. Celui qui ne se souvient pas de Dieu le Père, n'entrera pas dans le Royaume du Ciel. Il est votre Créateur et Il sera votre Sauveur.
Priez Dieu le Père, ou priez Ma Mère, et Ma Mère viendra vers Moi pour que Moi J'aille au Père.
1Parlez de Mon Nom aux familles, Mes enfants; ne cachez pas Mon Nom. On est en train de faire disparaître tout ce qui est de Dieu, Mes enfants.
De grands tremblements de terre fouetteront l'Humanité. On verra de grands châtiments, Ma fille, et malheur à celui qui n'é- coutera pas Mes Paroles!
Soyez des victimes, Mes enfants, car Adam fut la victime péni- tente et Moi Je suis la Victime innocente. Et la Victime innocente a versé Son Sang et donné Sa Vie pour vous tous. Il fallait mourir pour ressusciter.
Devepez petits, Mes enfants, tout petits, comme un enfant.
Et toi, réfugie-toi dans Mon Cœur.. .Mon Cœur te consolera, Ma fille.
Et vous, Mes enfants: pénitence, pénitence pour semer votre chemin.
( Et tous ces curieux, dehors! Dehors les curieux !
Venez, Mes enfants, écouter la Parole de Dieu, la Parole de

Votre Roi du Ciel et de la Terre.
Mon Cœur est triste de voir que les hommes ne changent pas.
La colère de Dieu le Père est retenue par les Anges du Ciel. De grandes catastrbphes, Mes enfants, vont tomber sur la Terre. Ce (sera épouvantable! Malheur aux habitants de la Terre!
Nous demandons que votre prière sorte de votre cœur et non de
vos lèvres. Combien parmi ceux qui sont ici présents, lorsqu'ils dis- t ent :"Notre Père qui êtes aux cieux", ne ressentent pas ces paroles au fond de leur cœur, Mes enfants! Que dorénavant, ces paroles jaillissent du plus profond de votre cœur.
Je ne veux pas de pharisiens, Je veux des âmes victimes, pauvres et sacrifiées.
Airoez-vous les uns les autres, Mes enfants. Que Mon amour se répande dans vos cœurs.
Et toi, Ma fille, humilie-toi, sois humble, recherche l'humiliation, car les âmes victimes doivent être humbles, Ma fille.
Votre Roi, Mes enfants, votre Roi triomphera sur toute l'Humanité. Ce Cœur Divin et Miséricordieux triomphera avec le Cœur de Ma Mère. Mes enfants.
Soyez humbles et que vos prières jaillissent du plus profond de vos cœurs. "
Et toi, Ma fille : Je veux que tu sois victime, mais victime vérita- ble.
Levez tous les objets; il seront tous bénits, Mes enfants... Ils ont tous été bénits par votre Roi, Mes enfants. C'est une importante bénediction.
Conservez vos objets, Mes enfants, ils vous serviront quand viendra le "jour des ténèbres". Pendant ces trois jours et ces trois nuits, ces objets brilleront, Ma fille, ils brilleront partout où ils se trouveront.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
/

La Sainte Vierge: Mes enfants, tenez cas de Mon Fils. Il vous donne des avertissements par l'intermédiaire du Père, pour vous sauver, Mes enfants; faites cas. Moi, comme Mère de toute l'Humanité, Je veux vous sauver; soyez humbles, humbles et sacri- fiés, Mes enfants. Et Je vais bénir les objets...
Ces grâces aussi, parce que Je suis Mère d'Amour et de Miséricorde, servent pour toute l'Humanité. Ne vous séparez pas de cet objet, Mes enfants; cet objet a beaucoup de grâces.
Et toi, Ma fille, sois humble, très humble; recherche l'humilia- tion et humilie-toi. Pense au Christ Jésus comme Roi et comme mendiant, Ma fille.
Aimez vos ennemis et aimez-vous les uns les autres. Pensez, mes enfants, que la mort peut survenir comme le voleur, sans avertir. Soyez prêts; soyez prêts, Mes enfants, car Mon Cœur souffre pour tous Mes enfants, pour tous, sans distinction de races !
Tu vas écrire trois noms dans le Livre de la Vie, Ma fille... Maintenant il y a trois noms supplémentaires dans le Livre de la Vie, Ma fille. Vois-Tu comme Je te récompense? Ta souffrance ne reste pas sans récompense. Pense, Ma fille, que Mon fils ne saurait te donner plus que tu ne peux supporter. Les victimes, Ma fille, doivent souffrir, mais tu sais bien que Mon Fils t'a donné un hameçon pour parler de Dieu; avec cet hameçon, Ma fille, on peut sauver beaucoup d'âmes.
Moi, Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
 

MENSAJE DEL DÍA 25 DE NOVIEMBRE DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Lo primero de todo, hija mía, hay que reparar los pecados de los hombres. Besa el suelo...

     Hay que reparar y hacer penitencia, hija mía, porque los hombres siguen cada día peor. Vuelve a besar el suelo por las almas consagradas...

     El mundo, hija mía, está hundido. Los pecados y las impurezas de los hombres están clamando al Cielo venganza, como los pecados de las almas consagradas. Sí, hija mía, hay que hacer sacrificio y penitencia, para que los hombres cambien; por lo menos, quiero que se salve la tercera parte de la Humanidad. No cambian, hija mía, y mi Corazón está transido de dolor. ¡Cuánto las ama! ¡Cuánto a esas almas, hija mía! No amo porque me correspondan; no, hija mía, porque no corresponden a mi amor.

     Por eso te digo que el mundo está cada vez peor. Mi Corazón sufre, porque si te dijese, hija mía, cada día el número de almas que se condenan, te horrorizarías. Por eso hay que hacer penitencia, penitencia para reparar, hija mía.

     ¡Qué crueles son los hombres!; no tienen compasión de mí, hija mía. Dicen que no sufro; mi Corazón sufre, porque en este momento no estoy gloriosa, hija mía... Los hombres son crueles a mi amor, hija mía. Vuelve a besar el suelo, hija mía...

     Piensa que el que se humilla será ensalzado; es una humillación, hija mía, pero piensa que te he dicho que busques la humillación. Piensa en el Reino de Cristo, hija mía. Este Reino es el más grande.

     Mira a tu Rey, hija mía... Este Rey no falla, hija mía; todo el que se doble ante Él, recibirá la recompensa, hija mía; humíllate, pero refúgiate en mi Corazón.
 
 

     EL SEÑOR:

     Soy Rey de Cielo y Tierra.

     Los gobernantes, hija mía, muchos de ellos, son demonios encarnados, que hablan de paz y están fabricando armas mortíferas, hija mía, mortíferas para morir la Humanidad, para destruir varias naciones. Hablan de paz, pero están haciendo la guerra.

     Varias naciones serán destruidas; entre ellas, parte de Europa.

     En las casas, hija mía, no hablan nada más que de desunión a las familias, de desunión y de placeres, hija mía; no hablan de Dios, de Dios Padre. El que no se acuerde de Dios Padre, no entrará en el Reino del Cielo. Él es vuestro Creador, y será vuestro Salvador.

     Pedidle a Dios Padre, o pedid a mi Madre, y mi Madre vendrá a mí, para que yo vaya al Padre.

     Hablad a las familias de mi Nombre, hijos míos; no escondáis mi Nombre. Se está haciendo desaparecer todo lo que es de Dios, hijos míos.

     Grandes terremotos azotarán a la Humanidad. Grandes castigos, hija mía, se irán viendo, y ¡ay, pobre de aquél que no escuche mis palabras!

     Sed víctimas, hijos míos, que Adán fue la víctima penitente, y yo soy la Víctima inocente. Y la Víctima inocente derramó su Sangre y dio la vida por todos vosotros. Era preciso morir para resucitar.

     Haceos pequeños, hijos míos, muy pequeños, como uno de los niños.

     Y tú, refúgiate en mi Corazón... Mi Corazón te consolará, hija mía.

     Y vosotros, hijos míos: penitencia, penitencia para sembrar vuestro camino.

     Y todos aquellos curiosos: ¡fuera! ¡Fuera los curiosos!

     Venid, hijos míos, a escuchar la palabra de Dios, la palabra de vuestro Rey de Cielos y Tierra.

     Mi Corazón está triste de ver que los hombres no cambian.

     La ira de Dios Padre la están sujetando los ángeles del Cielo. Grandes catástrofes, hijos míos, van a caer sobre la Tierra. ¡Será espantoso! ¡Ay de los habitantes de la Tierra!

     Os pedimos oración que salga de vuestro corazón, no de vuestros labios. ¡Cuántos estáis aquí presentes y cuando decís: “Padre nuestro que estás en los cielos”, no sentís dentro de vuestro corazón esas palabras, hijos míos! Que desde hoy salgan estas palabras de lo más profundo de vuestro corazón.

     No quiero fariseos, quiero almas víctimas, pobres y sacrificadas.

     Amaos los unos a los otros, hijos míos. Que mi amor se derrame sobre vuestros corazones.

     Y tú, hija mía, humíllate, sé humilde, busca la humillación, que las almas víctimas tienen que ser humildes, hija mía.

     Vuestro Rey, hijos míos, vuestro Rey triunfará sobre toda la Humanidad. Este Corazón divino y misericordioso será el que triunfe con el Corazón de mi Madre, hijos míos.

     Sed humildes, y que vuestras oraciones salgan de lo más profundo de vuestros corazones.

     Y tú, hija mía: te quiero víctima, pero víctima de verdad.

     Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos, hijos míos... Todos han sido bendecidos por vuestro Rey, hijos míos. Esta bendición es una bendición importante.

     Guardad vuestros objetos, hijos míos; os servirán cuando llegue el día de las tinieblas. Esos tres días con esas tres noches estos objetos lucirán, hija mía, lucirán en cualquier parte que estén.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, haced caso de mi Hijo; os está dando avisos por medio del Padre para salvaros, hijos míos; haced caso. Yo, como Madre de toda la Humanidad, quiero salvaros, hijos míos; sed humildes, humildes y sacrificados, hijos míos. Y os voy a bendecir los objetos...

     También estas gracias, como Madre de amor y misericordia, sirven, hija mía, sirven para toda la Humanidad. No os desprendáis de este objeto, hijos míos; este objeto tiene muchas gracias.

     Y tú, hija mía, sé humilde, muy humilde; busca la humillación y humíllate. Piensa en Cristo Jesús como Rey y como mendigo, hija mía.

     Amad a vuestros enemigos, y amaos unos a otros.

     Pensad, hijos míos, que la muerte puede llegar como el ladrón, sin avisar. Estad preparados; estad preparados, hijos míos, que mi Corazón sufre por todos mis hijos, ¡por todos sin distinción de razas!

     Vas a escribir tres nombres en el Libro de la Vida, hija mía... Ya hay tres nombres más en el Libro de la Vida, hija mía. ¿Ves cómo te recompenso? Tu sufrimiento no queda sin recompensa. Piensa, hija mía, que mi Hijo no te va a dar más de lo que puedas. Las víctimas, hija mía, tienen que sufrir, pero ya sabes que mi Hijo te ha dado gancho para hablar de Dios; con ese gancho, hija mía, se pueden salvar muchas almas.

     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

1er décembre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, tous ces malheureux qui outragent la Parole de Dieu et foulent au pied la Croix, pauvres âmes! Mes enfants, mettez-vous en règle avec Dieu. Il est encore temps. N'ayez crainte, Mes enfants, de confesser vos fautes; soyez prêts;
Vos péchés, fussent-ils comme la pourpre, deviendront comme la neige! Mais soyez prêts. Réfugiez-vous dans Mon Cœur Immaculé et Il vous aidera. Je demande que tous ceux qui sont prêts, n'aient crainte. Vos péchés, Mes enfants, fussent-ils écarlates, seront effacés. Ma fille. Dis-leur de se confesser, dis-leur d'avouer leurs /fautes. Pauvres âmes! Quand elles entendront le grondement du tonnerre et le fracas des montagnes, alors, Ma fille, il n'y aura plus de remède. Mais que ceux qui sont prêts, se réfugient dans le Christ une fois de plus. Je vous demande aussi, Mes enfants, que person- ne, personne ne vous effraie; quand ce sera l'heure, soyez forts, car (Mon Fils aime les êtres courageux.
Nous demandons aussi, Mes enfants, qu'il y ait des âmes qui fassent réparation pour les péchés des pasteurs de l'Eglise; Je cherche des âmes, Mes enfants, qui expient à leur place, car Jésus est offensé, très offensé par ces âmes qui sont attachées à la matière, Ma fille; elles sont plongées dans le monde et ne se sou- viennent pas du Christ. Comme il Me plairait que ces âmes annon- cent 1'Evangile dans tous les coins de la terre!
Mes enfants, quel enfant, voyant que sa mère est malade, ne devient triste? Moi Je suis malade de douleur, Mes enfants, à cause de vous tous; à cause de Mes âmes consacrées. Mon Cœur les aime tant et comme elles répondent mal à cet amour! Baise le sol, Ma fille, pour ces pauvres âmes... Pauvres âmes! Si le démon, avec ruse, a entraîné Eve dans le péché, comment ne va-t-il pas les entraîner dans le péché? Prenez garde, Mes enfants, prenez garde car Satan, par sa ruse, veut s'emparer du plus grand nombre d'âmes.
Sacrifice, Mes enfants, sacrifice et pénitence. Rendez visite au Très Saint Sacrement. Mon Fils est triste et seul, triste et seul pour les hommes; si çà n'avait été à cause de ses Anges, qu'aurait-Il fait de certains Prêtres? Pauvres âmes, Ma fille ! Sacrifiez-vous pour l ~ elles; le démon les introduit dans les plaisirs et ils ne s'efforcent pas';>
de dominer la chair, Mes enfants; la chair est faible, mais eux doivent être forts: soit le Christ, soit le monde.
/

Et toi, Ma fille, Je te veux humble et petite, toute petite, parce que Mon Fils aime ce qui est petit.
Baise à nouveau le sol pour toutes les âmes, pour toutes, Ma fille, sans distinction de races... Baise à nouveau le sol, tu ne l'as pas fait, Ma fille...
Recherche l'humiliation, Ma fille, la calomnie et sois humble;
avec l'humilité, on obtient tout, Ma fille. Fais des sacrifices, car Mon ,
Fils aime les ~es victimes et il a soif d'âmes, d'âmes qui sachent
et veuillent faire réparation.
Mes enfants, Je recommande à tous ceux qui ne se sont pas ré- conciliés avec le Christ, de s'approcher aujourd'hui même du Sacrement de la Confession, pour pouvoir recevoir le Sacrement de l'Eucharistie. Mon Cœur de Mère vous aime tant, Mes enfants, qu'il n'y a plus moyen de pouvoir vous avertir car nous avons épuisé tous les recours. Préparez-vous, Mes enfants, par la pénitence et le sacrifice. Aimez beaucoup Mon Fils afin qu'il vous conduise au Père et Moi aussi Je peux vous mener à Mon Fils. Aimez-Moi beau- coup, Mes enfants, comme Moi Je vous aime tous.
Baise le sol, Ma fille, pour ces âmes qui sont si vaniteuses et si \cruelles envers Mon pauvre Cœur. Pauvres âmes impies qui veu-
lent gouverner le monde; et sans le Christ, sans Dieu, il ne saurait y avoir... (Parole incompréhensible). il peut y avoir la guerre, Ma fille, mais le Christ recherche la paix ; il l'a toujours cherchée; voilà pourquoi certains disent que le Christ était socialiste, Mes enfants ; ~ le Christ fut sociable. Je te l'ai bien souvent dit : ne mêlez pas la politique, Mes enfants, la politique sert aux hommes, à détruire...
.J'(Et les âmes consacrées, Je les veux humbles, pauvres et sacrifiées. . . c: 1" Mon Fils ne veut ni de pharisiens, ni d'impurs, ni d'âmes attachées / à la matière' ils vont devoir tout laisser, Ma fille, tout. Le plus
\ important, c'est l'âme; les hommes ne pensent pas, Ma fille, que toutes les richesses ne leur serviront qu'à les condamner. ils vivent comme le riche avare, oubliant de distribuer les miettes aux néces- siteux, pauvres âmes, les imitateurs du Christ, ses âmes consacrées.
Je vous veux pauvres, humbles et sacrifiés, Mes enfants.
Annoncez l'Evangile dans tous les coins de la Terre; avec
(,
l'Evangile, Mes enfants, vous vous sauverez; Beaucoup d'entre vous ne l'ont pas lu, c'est pour cela que vous ne suivez pas le Christ; et si vous l'avez lu, vous l'avez fait machinalement. Que vos prières jaillissent du plus profond de votre cœur, Mes enfants. Je vous veux pauvres, mais saints. Mes pauvres âmes! Mon Cœur est accablé de douleur à causè d'elles en voyant qu'elles se précipitent dans l'abîme. ComÎne il souffre, Mon Cœur! Faites des sacrifices, Mes enfants, pensez que le Christ fi'avait qu'une tunique et qu'Il n'en eut pas de rechange; avec sa tunique, ses besaces et ses sandales, Il allait de village en village annoncer l'Evangile, Mes enfants. Je vous veux humbles, humbles et sacrifiés, Mes enfants.
Et toi, Ma fille, sois humble, très humble; Mon Fils aime les
âmes humbles. Pense que Nos âmes, Nos âmes sont victimes; mais combien Mon Cœur t'aime!. . .
Depuis ta plus tendre enfance, Je t'ai affinée, Mon Fils t'a affinée. Moi Je L'ai aidé à te façonner pour ce moment-ci, Ma fille. A quoi sert à l'homme, tout ce que le monde recèle, s'il n'entre pas au Ciel, Ma fille ? Toi, tu prépares ta demeure, et les Anges la pré-
parent. . .
Tu vas écrire trois nolns sur le Livre de la Vie. .. Trois noms de plus dans le Livre de la Vie, Ma fille ; tu vois comme il vaut la peine de souffrir, car ces noms ne s'effaceront jamais, Ma fille, jamais. Je vais vous donner Ma sainte bénédiction.
 Amparo: CA voix très basse). Va, bénis-les, bénis-les.
La Sainte Vierge: D'abord, Je vais bénir les objets. Levez tous les objets; ils seront tous bénits,..
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir!

MENSAJE DEL DÍA 1 DE DICIEMBRE DE 1984, PRIMER SÁBADO DE MES,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Todos aquéllos, hija mía, aquellos desdichados que ultrajen la palabra de Dios y pisoteen la Cruz, ¡pobres almas! Poneos, hijos míos, poneos a bien con Dios; todavía tenéis tiempo. No tengáis miedo, hijos míos, para confesar vuestras culpas; estad preparados; aunque vuestros pecados, hijos míos, sean como la púrpura, se os quedarán como la nieve, pero estar preparados. Refugiaos a mi Inmaculado Corazón, él os ayudará, hijos míos. Os pido que no sintáis miedo todos aquéllos que estéis preparados. Vuestros pecados, hijos míos, aunque sean como la escarlata, quedarán limpios, hija mía. Di que se confiesen, di que se confiesen sus culpas. ¡Pobres almas!, cuando sientan el ruido del trueno y bramen las montañas, entonces, hija mía, ¡no tendrán remedio!; pero aquéllos que estáis preparados, refugiaos en Cristo una vez más. También os pido, hijos míos, que nadie, nadie, os atemorice; cuando llegue este momento, sed fuertes, que a mi Hijo le gustan los valientes.

     También pedimos, hijos míos, almas que expíen los pecados de los pastores de la Iglesia; busco almas, hijos míos, para expiarlas, porque Jesús está ofendido, muy ofendido, con esas almas que están materializadas, hija mía; están metidas en el mundo y no se acuerdan de Cristo. ¡Cuánto me agradaría que esas almas fuesen predicando el Evangelio por todos los rincones de la Tierra!

     Hijos míos, ¿qué hijo, cuando ve que su madre está enferma, no se pone triste? Yo estoy enferma de dolor, hijos míos, por todos vosotros; por mis almas consagradas, ¡las ama tanto mi Corazón!, ¡y qué mal corresponden a este amor! Besa el suelo, hija mía, por esas pobres almas... ¡Pobres almas!, el demonio con su astucia, si hizo pecar a Eva, ¿cómo no las va a hacer pecar a ellas? Tened cuidado, hijos míos, tened cuidado, que Satanás, con su astucia, quiere apoderarse del mayor número de almas.

     Sacrificio, hijos míos, sacrificio y penitencia. Haced visitas al Santísimo. Mi Hijo está triste y solo, triste y solo por el ser humano; porque si no fuese por sus ángeles, ¿qué hubiese hecho con algunos de los sacerdotes? ¡Pobres almas, hija mía! Haced sacrificio por ellas; el demonio los encauza por el placer y no hacen propósitos para dominar la carne, hijos míos; la carne es débil, pero ellos tienen que ser fuertes: o Cristo o el mundo.

     Y tú, hija mía, te quiero humilde y pequeña, muy pequeña, porque a mi Hijo le gustan las cosas pequeñas. Vuelve a besar el suelo, por todas las almas, por todas, hija mía, sin distinción de razas... Vuelve otra vez a besar el suelo, no has besado el suelo, hija mía[1]...

     Busca la humillación, hija mía, busca la calumnia, y sé humilde; con la humildad se consigue todo, hija mía. Haz sacrificio, que a mi Hijo le gustan las almas víctimas, y tiene sed de almas, de almas que sepan reparar y quieran.

     Hijos míos, os encomiendo, a todos aquéllos que no os habéis puesto a bien con Cristo, que hoy mismo os acerquéis al sacramento de la Confesión, para que podáis acercaros al sacramento de la Eucaristía. Mi Corazón de Madre, hijos míos, ¡os ama tanto!, que ya no hay ningún remedio para poderos avisar; hemos agotado todos los recursos. Preparaos, hijos míos, con sacrificio y penitencia. Amad mucho a mi Hijo, para que mi Hijo os lleve al Padre, y yo también os puedo llevar a mi Hijo; amadme mucho, hijos míos, como yo os amo a todos.

     Besa el suelo, hija mía, por esas almas que son tan vanidosas y tan crueles con mi pobre Corazón, ¡pobres almas impías que quieren gobernar el mundo!, y sin Cristo, sin Dios, no puede haber... (palabra ininteligible). Puede haber guerra, hijos míos, pero Cristo busca la paz; la buscó siempre; por eso hay quien dice que Cristo era socialista, hijos míos; Cristo fue sociable. Ya te lo he comunicado muchas veces: no mezcléis políticas, hijos míos, las políticas sirven al hombre para la destrucción... Y las almas consagradas las quiero humildes, pobres y sacrificadas... Mi Hijo no quiere fariseos, ni impuros, ni almas materializadas; todo lo van a dejar, hija mía, ¡todo! Lo más importante es el alma; no piensan, hija mía, que todas las riquezas les van a servir al hombre para condenarse. Viven como el rico avariento, no se acuerdan ni de dar las migajas a los pobres, ¡pobres almas!, los imitadores de Cristo, sus almas consagradas. Pobres, humildes y sacrificados os quiero, hijos míos.

     Publicad el Evangelio por todos los rincones de la Tierra; con el Evangelio, hijos míos, os salvaréis; no lo habéis leído muchos; por eso no seguís a Cristo; y si lo habéis leído ha sido mecánicamente. Que vuestras oraciones de lo más profundo de vuestro corazón salgan, hijos míos. Os quiero pobres, pero santos. ¡Pobres almas mías!, mi Corazón está transido de dolor por ellas; cuando veo que se me precipitan en el abismo, ¡cuánto sufre mi Corazón, hija mía! Haced sacrificio, hijos míos; pensad que Cristo sólo tenía una túnica, ni una tuvo de repuesto; con su túnica, sus alforjas y sus sandalias se iba de pueblo en pueblo a hablar del Evangelio, hijos míos. Humildes, humildes y sacrificados, hijos míos, os quiero.

     Y tú, hija mía, sé muy humilde, muy humilde; a mi Hijo le gustan las almas humildes. Piensa que nuestras almas, nuestras almas son víctimas; pero, ¡cuánto te ama mi Corazón!... (Palabras en idioma desconocido).

     Desde muy niña te he pulido, mi Hijo te ha pulido; yo le he ayudado a pulirte para este momento, hija mía. ¿De qué le vale al hombre todo lo que hay en el mundo, si no entra en el Cielo, hija mía? Tú estás labrando tu morada, pero te la están labrando los ángeles...

     Vas a escribir tres nombres en el Libro de la Vida... Tres nombres más en el Libro de la Vida, hija mía; ¡ves cómo vale la pena sufrir!, porque estos nombres no se borrarán jamás, hija mía, jamás.

     Voy a daros mi santa bendición.
 
 

     LUZ AMPARO:

     (En voz muy baja). ¡Anda!, bendícelos, bendícelos.
 
 

     LA VIRGEN:

     Primero voy a bendecir los objetos. Levantad todos los objetos; todos serán bendecidos...

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Al ser preguntada Luz Amparo por qué le dice la Virgen que no ha besado el suelo la primera vez, responde que no sabe. Al insistirle, aclara: «Me dice el Ángel: “Besaste la cosa larga que te pusieron para arrodillarte. No besaste el suelo”».
 

8 décembre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, Je suis Marie, Pure et Immaculée, Mère de Dieu et Mère du genre humain. Défendez Ma pureté, Mes enfants. Quand le Mystère de Dieu le Père s'est incarné dans Mes entrailles, il n'y avait pas de souillure, J'étais plus limpide et plus blanche que le lys. Mes enfants, si vous M'aimez, défendez-Moi, défendez Ma pureté; pensez que Votre Mère fut pure avant et après l'enfantement, Ma fille. Le rayon de soleil entra dans Mes entrailles, et c'est là que Mon Fils se forma; c'était le mystère de Sa Divine Majesté, Mes enfants. Ma pureté est un don spécial que Dieu, Mon Créateur, M'a octroyée. Que de mystères ne vous a-t-on pas révélés, Mes enfants! Quand vous vous présenterez devant le Père, ils vous seront tous dévoilés; prenez patience, et soyez hum- bles pour pouvoir parvenir au Ciel et prendre part à tous ces mys- tères. Beaucoup de mystères M'ont été révélés, Mes enfants. Comme Je te l'ai dit, Ma fille, Dieu le Père M'a fait connaître beau- coup de mystères célestes: le mystère de la Maternité du Christ et le mystère de Mon Immaculée Conception.
Ici-bas, Ma fille, J'ai vécu comme les hommes, mais Je t'ai dit une fois que Je ressemblais en tous points aux êtres humains, sauf dans
1 le péché; Mon âme était faite pour louer Dieu, Mon Créateur. ~ \ J'entretenais de tendres dialogues avec Lui, Mes enfants, et J'avais cf
\la joie dans Mon Cœur. Mon Cœur n'est pas seulement rempli de douleur, mais aussi de joie. Parfois Mon Cœur éprouvait une grande allégresse lorsque les Anges Me consolaient. Ils sont les seuls à con- naître le mystère de l'Incarnation et de Ma pureté, de Mon humi- lité sur terre et de Ma charité envers les hommes.
Satan voulait détruire, et lorsque Je demeurai seule sur la Terre, sans Mon Fils, Satan voulait Me détruire, mais Je n'ai jamais aban- donné la prière; J'entretenais de grands colloques avec Mes Anges et Satan n'a jamais pu l'emporter sur Moi. Voilà pourquoi Satan était furieux et il forma l'inimitié entre la femme et l'homme, la haine, l'envie, toute sorte de péchés, car il savait que toutes les
générations Me loueraient. C'est pour cela, Mes enfants, que Satan, ; très rusé, voulut Me détruire, Moi, qui était la Mère de Dieu.
Comment ne va-t-il pas vouloir jouir de vos âmes, Mes enfants? Il veut s'emparer de vous. Avec la prière et le sacrifice, vous demeu- rerez inébranlables, Mes enfants.
Ma vie fut une souffrance continuelle, parce que les hommes ne voulaient pas ,rendre grâce à Dieu de leur avoir donné la vie et se rebellaient contre Lui. Mais, en même temps, Mon Cœur ressen- tait une grande joie lorsque Mon Fils dressa son autel en Mon sein et y laissa le Saint Sacrement, Ma fille. Je Le gardais jour et nuit; aucun être humain ne sait que Mon sein était le Tabernacle du Christ. Personne ne le sait, Ma fille, parce que Je n'ai pas voulu que l'on répandit Ma vérité; c'est la raison pour laquelle, dans la Bible, l'on parle si peu de Moi, parce que Je ne l'ai pas voulu. J'ai désiré que Mon Fils soit le Roi de l'Univers et de la Terre. Je n'ai pas voulu mettre Mon Fils au second rang, car Il fut le premier, le premier que Dieu envoya pour mourir sur une Croix et sauver les hommes.
Ma fille, Dieu M'a révélé le mystère de la mort du Christ; J'ai tout vu au cours de Ma vie. Mon Cœur souffrait, Ma fille, comme Je te l'ai montré; mais en même temps, Mon Cœur ne voulait pas voir souffrir Mon Fils; Je Le consolais, Ma fille, Lui qui était Mon Roi et Mon Bien-Aimé, et Il Me consolait, Moi Sa Bien-Aimée.
, Ce mystère Je te l'ai révélé, mais il est préférable que les hommes connaissent les raisons pour lesquelles l'on ne parle pas de Moi dans la Bible. Mon humilité, Ma fille, Mon humilité M'empêcha de Me mettre en avant afin que les hommes apprissent à être humbles ; Je n~ai pas voulu que l'on écrivit sur Moi quoi que ce rut. Ma fille, Je te révèlerai beaucoup de mystères, sur ce qu'a été toute Ma vie. Partout où Il allait annoncer l'Evangile, Je ne cessais de suivre Mon Fils. J'étais entho~siasmé~, en entend~t Ses,Pa:oles q~ pén~traient 1dans Mon Cœur a tel potnt que Mon ame etalt emplie d'allegresse et débordait de joie. En certaines occasions, Ma fille, Ma joie était telle que Je tombais à terre, Je tombais de joie; mais à aucun
moment, Je n'ai abandonné le Christ et en maintes occasions, Je Le
tconseillais. Il Me questionnait, Ma fille, et Je Lui Je donnais Mon avis. Mon Fils, le Christ Jésus, fut un modèle de fils.
Lisez la Bible, Mes enfants, car tout homme qui lira la Bible - c'est-à-dire la Parole de Dieu- apprendra à aimer Dieu. Mais mal- heur à ceux qui ajoutent ou retranchent à ce qui est écrit, car ils n'entreront pas dans le Royaume des Cieux. Quant à ceux qui met- tent la confusion dans la Doctrine du Christ, pauvres âmes! Priez pour elles, Mes enfants et soyez des tabernacles, Mes enfants, comme moi... (Elle parle dans un langage inconnu). Ma fille, Je ,eux que tu sois un ~utel, que ton cœur soit l'autel du Christ...
Suis le Christ, Ma fille, jusqu'à la mort; imite Ta Mère; Je te dévoilerai des secrets, des secrets et des mystères.
- .. . f1Prends garde, Ma fille, car Lucifer est en éveil, et là où est Marie, rtlJr - là il veut détruire. Marie, Reine de l'Univers, Reine du monde et \ Mère de l'Eglise, Ma fille. Quel grand mystère!
/
Quelle joie l'on ressent dans le cœur quand Mon Fils com- mande. .. ! (A nouveau, des mots dans une langue étrange).
Bienheureux ceux qui s'humilient, Mes enfants, car ils seront élevés! Moi Je fus humiliée, Ma fille, humiliée, mais Mon humilité
/l'emporta sur l'humiliation. Je vécus comme les hommes, Ma vie fut la même, - mais la Diviné Majesté ne voulut pas, Ma fille, que J'imitasse l'ho~e',~ar l'homm~ étai~ c~uel- dans l'aspe~t physiq~e du corps..., malS 1 ame, Mon ame etalt pure, pure et munaculee, parce que J'allais être la Mère de Mon Roi, Mon Sauveur, Dieu Mon Créate~, Sauveur des êtres humains. ,~ ~
Baise le sol, Ma fille ; aujourd'hui, c'est un grand pour réparer les péchés des âmes, il faut expier, Ma fille, parce qu'il y a beaucoup d'âmes qui nient la Parole de Dieu et ne croient pas à son exis- tence...
Mes enfants, Je vous veux petits, tout petits, pour ensuite vous élever haut, très haut.

LOrsque ce moment arrivera, vous verrez quelle grandeur, Mes enfants, quelle grandeur vous attend! J'ai eu aussi le privilège de demeurer trois jours au Ciel, Ma fille, avec Mes cinq sens comme tout être humain; J'ai vu la grandeur que Dieu le Père avait pré- parée pour cette pauvre créature; il n'y a pas de grandeur qui soit
1comparable à cette grandeur. C'est pourquoi, Mes enfants, avec l'humilité, le sacrifice et la charité, vous parviendrez à jouir de cette
.vie; c'est une merveille, Mes enfants ;Je ne veux pas que vous vous
condamniez.mais Je ve~ que vou~ ~ous sauviez, tous, Mes enfants. Avec le sacnfice, la pnere et la pemtence, Mes enfants, vous vous approcherez Qe la Confession pour recevoir le Sacrement de l'E ucharis tie.
Soyez forts, Mes enfants, et ne vous laissez pas tromper par l'Ennemi. L'Ennemi peut s'emparer de n'importe lequel d'entre vous, en vue de détruire l'œuvre de Mon Fils.
Baise à nouveau le sol, Ma fille, en réparation pour les âmes con- sacrées...
Mes enfants, aujourd'hui vous allez recevoir des grâces spé-
i ciales; Dieu le Père demande à Son Fils de vous donner les grâces
1 spéciales pour le jpur des ténèbres. Aujourd'hui, Mes enfants, J'ai le 1 privilège de vous concéder aussi ces grâces; tous les objets qui \seront bénits, serviront Hour le jour des ténèbres; ils brilleront
tous, partout où ils se trouveront. Levez tous les objets.. ..ils ont des grâces spéciales~ Mes enfants; ne vous défaites pas de ces objets, ils ont beaucoup de valeur.
Maintenant, Mes enfants, Je vais vous donner une bénédiction spéciale; Je vous protégerai, Mes enfants, et J'assisterai à l'heure de la mort tous ceux qui recevront cette bénédiction. Mes Anges seront présents, toute l'armée des Anges qui M'ont accompagnée pendant toute Ma vie.
Moi Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 8 DE DICIEMBRE DE 1984,

LA INMACULADA CONCEPCIÓN DE LA VIRGEN MARÍA,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, soy María Pura Inmaculada, Madre de Dios y Madre de todo ser humano. Defended mi pureza, hijos míos. Cuando el Misterio de Dios Padre se encarnó en mis entrañas, no había mancha, estaba más limpio y más blanco que la azucena. Hijos míos, si me amáis, defendedme, defended mi pureza; pensad que vuestra Madre fue pura antes y después, hija mía. El rayo del Sol, hija mía, entró en mis entrañas, y allí se formó mi Hijo; era el misterio de su Divina Majestad, hijos míos. Mi pureza es un don especial que Dios mi Creador me otorgó, hijos míos. ¡Cuántos misterios no os han revelado, hijos míos! Cuando os presentéis ante el Padre, todos serán revelados; tened paciencia, hijos míos, y sed humildes para poder alcanzar el Cielo y poder participar de todos estos misterios. Hay muchos misterios que a mí han sido revelados, hijos míos; como te dije, hija mía, Dios Padre me reveló muchos misterios celestiales: el misterio de la maternidad de Cristo y el misterio de mi Inmaculada Concepción.

     Aquí viví, hija mía, viví igual a los humanos, pero te dije en una ocasión que en todo me parecía al ser humano menos en el pecado; mi alma estaba hecha para alabar a Dios mi Creador. Formaba tiernos coloquios con Él, hijos míos, y mi pecho sentía alegría. No sólo el pecho se me llena de dolor, hijos míos, también de alegría. Mi corazón, a veces, sentía una gran alegría, cuando los ángeles me consolaban, hijos míos; sólo los ángeles saben el misterio de la Encarnación, de mi pureza, de mi humildad en la Tierra y de mi caridad con el ser humano.

     Satanás quería destruir, y cuando quedé sola en la Tierra, que faltó mi Hijo, Satanás quería destruirme, pero nunca abandoné la oración, siempre estaba con grandes coloquios con mis ángeles, nunca pudo Satanás conmigo; por eso Satanás estaba furioso y formó la enemistad entre la mujer y el hombre, el odio, la envidia, toda clase de pecado, porque sabía que me alabarían todas las generaciones. Por eso, hijos míos, Satanás es muy astuto y quiso destruirme a mí, que era la Madre de Dios, ¿cómo no va a querer disfrutar, hijos míos, de vuestra alma? Quiere apoderarse de vosotros; la oración y el sacrificio os mantendrán firmes, hijos míos.

     Mi vida fue un constante sufrimiento, sufrimiento porque el ser humano no quería dar gracias a Dios de haberle dado la vida, se rebelaba contra Él; pero al mismo tiempo, mi pecho sentía una gran alegría cuando mi Hijo formó su altar en mi pecho, y me dejó el Sacramento dentro de él, hija mía; yo le custodiaba de día y de noche. Ningún ser humano sabe que mi pecho era el tabernáculo de Cristo; nadie, hija mía, porque yo no quise que nadie publicase mi vida; por eso en la Biblia, hijos míos, se habla tan poco de mí, porque yo no quise; quise que mi Hijo fuese el Rey del Universo y de la Tierra; no quise poner a mi Hijo en un segundo lugar, porque fue el primero, el primero que mandó Dios para morir en una cruz y salvar al ser humano.

     Yo, hija mía, también me reveló Dios el misterio de la muerte de Cristo; todo lo vi durante toda mi vida. Mi Corazón sufría, hija mía, como te lo he manifestado; pero, al mismo tiempo, mi Corazón no quería ver sufrir a mi Hijo; le consolaba, hija mía, como mi Rey y mi amado que era, y Él me consolaba a mí como su amada que era, hija mía.

     Este misterio te lo he revelado, pero es mejor que el ser humano sepa por qué en la Biblia no se habla de mí. Mi humildad, hija mía, mi humildad no quiso resaltar, para que el ser humano aprendiese a ser humilde; no quise que se escribiese nada de mí. Te revelaré muchos misterios, hija mía, muchos, de lo que ha sido toda mi vida. Constantemente, hija mía, seguía a mi Hijo por todas las partes que iba a publicar el Evangelio. Yo me embobaba, hija mía, escuchando esas palabras, me penetraban dentro del corazón, hasta el extremo de llenarse mi alma de alegría y rebosar de júbilo y, en ocasiones, hija mía, no podía mi gozo resistir y caía al suelo, caía al suelo de gozo, hija mía; pero no abandoné a Cristo en ningún momento, fui su consejera en muchas ocasiones; Él me pedía, hija mía, y yo le opinaba. Fue ejemplo de hijo mi Hijo Cristo Jesús.

     Leed la Biblia, hijos míos, que todo aquél que lea la Biblia —es palabra de Dios— aprenderá, hijos míos, aprenderá a amar a Dios; pero, ¡ay de aquéllos que añadan o quiten de lo que hay escrito!, porque no entrarán en el Reino del Cielo. Todos aquéllos que están confundiendo la doctrina de Cristo, ¡pobres almas!, pedid por ellos, hijos míos, y sed tabernáculos, hijos míos, como mi... (habla en idioma desconocido). Así quiero que seas, hija mía: un altar, que forme tu pecho el altar de Cristo...

     Sigue a Cristo, hija mía, hasta la muerte; imita a tu Madre; te iré revelando secretos, secretos y misterios.

     Ten cuidado, hija mía, que Lucifer está alerta, y donde está María, allí quiere destruir. María, Reina del Universo, Reina del mundo y Madre de la Iglesia, hija mía. ¡Qué misterio más grande!

     ¡Qué gozo se siente en el corazón, cuando mi Hijo manda...! (De nuevo, palabras en idioma extraño).

     ¡Bienaventurados aquéllos, hijos míos, que se humillan, porque serán ensalzados! Yo fui humillada, hija mía, humillada, pero mi humildad pudo más que la humillación. Viví igual que los humanos, mi vida fue igual, pero la Divina Majestad no quiso, hija mía, no quiso que imitase al hombre, porque el hombre era cruel, en el físico del cuerpo..., pero el alma, mi alma, era pura, pura e inmaculada, porque iba a ser la Madre de mi Rey, mi Salvador, Dios mi Creador, Salvador del ser humano.

     Besa el suelo, hija mía; hoy es un gran día para expiar pecados de las almas, hay que expiar, hija mía, porque hay muchas almas que niegan la palabra de Dios, no creen en su existencia...

     Os quiero, hijos míos, os quiero pequeños, pequeños, muy pequeños, para luego subir alto, muy alto.

     Veréis, hijos míos, cuando llegue este momento, qué grandeza, hija mía, ¡qué grandeza os espera! Yo tuve el privilegio también de estar tres días en el Cielo, hija mía, con mis cinco sentidos igual que el ser humano; vi la grandeza que Dios Padre tenía preparada para esta pobre criatura; no hay grandeza que pueda compararse a esa grandeza. Por eso, hijos míos, con humildad, sacrificio y caridad, alcanzaréis a gozar esta vida; es una maravilla, hijos míos; no quiero que os condenéis, quiero que os salvéis todos, hijos míos. Con sacrificio, hijos míos, oración y penitencia, allegaréis al sacramento de la Confesión para recibir el sacramento de la Eucaristía.

     Sed fuertes, hijos míos, y no os dejéis engañar por el enemigo, el enemigo se puede meter en cualquier uno de vosotros para destruir la obra de mi Hijo.

     Vuelve a besar el suelo, hija mía, en reparación por las almas consagradas...

     Hijos míos, hoy para recibir, vais a recibir gracias especiales, cuando Dios Padre manda al Hijo, para que os mande las gracias especiales para el día de las tinieblas. Hoy, hijos míos, tengo el privilegio de concederos también esas gracias; todos los objetos que sean bendecidos servirán para el día de las tinieblas; todos lucirán en cualquier sitio que estén. Levantad todos los objetos... Tienen gracias especiales, hijos míos; no os deshagáis de estos objetos, tienen mucho valor.

     Ahora, hijos míos, os voy a dar una bendición especial; os protegeré, hijos míos, y os asistiré en la hora de la muerte a todos aquéllos que recibáis esta bendición. Mis ángeles estarán presentes, todo el ejército de ángeles que me acompañaron durante toda mi vida.

     Yo os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

9 décembre 1984 
(absent du site espagnol)

Amparo raconte les vision qu'elle a reçue: comment une âme se sauve pour avoir récité tous les jours trois ave-Maria (déjà indiqué par le Christ à Marie-Julie Jahenny 1850-1941, mystique et stigmatisée Bretonne: Si vous priez tous les jours ma mère avec trois  ave-Maria en disant: je te salue Marie, pleine de grâce, fille du Père, lys de pureté, le Seigneur est avec vous Vous êtes bénie entre toutes les femmes et Jésus le fruit de vos entrailles est béni. Mère du Verbe Incarné, Violette d'humilité, Épouse du Saint Esprit, Rose de charité, priez pour nous pauvres pécheurs maintenant et à l'heure de notre mort.
(or se sont là les principaux parfums ressentis à l'Escorial).

 

23 décembre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, en ces jours si importants pour Moi, Je ne pouvais manquer de vous donner Ma bénédiction.
Quand le Verbe fait Homme naquit de Mes entrailles, Je L'offris à l'Eternel, et l'Eternel Me répondit: " Marie, prends soin de Ton Fils, allaite-Le, nourris-Le et soigne-Le parce qu'ensuite Je viendrai Le chercher. " Je savais, Mes enfants, que... (Paroles dans une langue inconnue.  Amparo se met à pleurer).
 Amparo: C°1n1r!e il est petit! Ah ! Qu'Il est petit! Qu'Il est petit... ! Il est tout petit! Quelle beauté... ! Quelle beauté... ! Qu'il est petit! Qui sont-ils tous ceux-là?
La Sainte Vierge: Les armées célestes, Ma fille.
 Amparo: Qu'elles sont nombreuses! Elles ne Te laissent pas seule, un moment? Quelle grandeur! Quelle beauté resplendit
ici! Et que cet Enfant si beau doive mourir ! La Sainte Vierge: Oui, Ma fille ! Il a été engendré dans Mes
entrailles pour être le Verbe fait homme, pour mourir et racheter l'Humanité.
! Dieu le Père, Mes enfants, a voulu que Je prenne so~ d:Lui afin qu'Il mourut sur une croix, pour vous racheter du peche et vous permettre de jouir de la vie éternelle, Mes enfants. Ainsi fut le Christ; c'est ainsi qu'il fut, Ma fille. Tu sais comme J'ai pris soin de
.>1Lui et avec quelle application, comment ensuite Je L'ai livré à la
mort et à la mort sur la croix, car Je savais que par Sa mort, Il allait racheter tout homme qui voudrait se sauver.
Lorsque Je parlais avec Lui, Ma fille, dans Mes entrailles, Je te l'ai dit en d'autres circonstances, Il se mettait debout, les mains jointes, en prière, priant pour que vous ne succombiez pas à la tentation, Mes enfants. Déjà, quand Il était engendré en Moi, Il voulait sauver l'Humanité; mais l'Humanité est cruelle, Ma fille. J'ai pris soin de lui, Je L'ai allaité comme une bonne mère qui aimait Son enfant;
À
comme l'être humain est cruel en retour, Ma fille 1 Comment répond-il à Mon Cœur, à Mon Cœur de Mère, parce que J'ai été la Mère de Dieu et ensuite, Mon Fils M'a laissée comme Mère de l'Humanité. Voilà pourquoi Je vous demande, Mes enfants :Je veux que vous vous sauVlez.
1Je vous ai dit que Mes Messages prenaient fin, Mes enfants. Mais
quelle est la mère qui, voyant son fils se précipiter dans l'abîme, ne
cesse de l'avertir? Combien de fois avez-vous dit à vos enfants: " Je ne vais plus vous prévenir, vous serez punis" ; et vous ne les avez
pas punis r Vous les avez avertis une fois, une seconde fois, encore ,
et encore...
1Observez les Dix Commandements. Quiconque observera les Dix Commandements, se sauvera, Mes enfants.
Regarde, Ma fille, comment Mon Fils sortit de Mes entrailles. Comme le rayon de soleil, Il entra en Moi et comme le rayon de soleil il sortit de Moi. Aucune tache, Ma fille, rien d'impur ne M'a souillée. Je te l'ai dit : Mes Anges, Mes trois Archanges, Saint Michel, Saint Gabriel et Saint Raphaël prirent le Christ dès sa nais- sance. ils Le déposèrent dans Mes bras.
Joseph était en extase. Je dus Lui dire : "Joseph, Ton Fils est ici! ".
Et Joseph adressa des louanges à Son Fils, à Son Fils adoptif, Mes enfants. '
Nous eûmes avec Lui de doux entretiens, Mes enfants. Si petit,
il nous répondait, mais il manifestait déjà la Sagesse...
Je L'ai enveloppé dans ce pauvre linge, parce que Je n'avais pas de langes.
 Amparo: Ah r Pauvre petit r Nous n'en avions pas... Pauvre petit 1 Pauvre petit r Ne Le couche pas là. Là Il va avoir froid! Ne Le couche pas! Oh ! le pauvret! Fallait-il que cela fut
ainsi? Pas un lit, pas un berceau ... Oh! Le pauvre petit! Ah! Qu'il
est mignon! Que d'Anges!... Dehors les Anges arrivent! Ma Mère, qu'ils sont nombreux! Mais y en a-t-il tant ici-bas? Et la lumière jaillit de la poitrine de ceux-là! Sont-ils aussi des anges ?Et ces autres? Des anges corporels et des anges incorporels; mais ils
sont identiques. Tu en as de la chance! Ah on n'a besoin de per- '
sonne si tous les anges sont là. Quelle merveille!
Mais, ne peut-on Le coucher dans un petit berceau? J..e pauvre!
Là il aura froid. Couvre-Le un peu. Ah ! Quel visage! Comme il rit ! Ah, le pauvre! Ah, le mignon! Puis-je le toucl1er à nouveau?. . ( Amparo s'incline en avant pour réaliser cette opération). Que Tu es ioli ! Moi je pourrais rester ici pour en prendre soin. Toujours! Mais ne m'emmène pas à l'autre endroit, laisse-moi ici avec Lui ! Je ne veux pas aller ailleurs. .. ! Laisse-moi un peu plus ici, en Sa com- pagnie ! Je ne veux pas partir d'ici! Je ne veux pas m'en aller d'ici ! Pourquoi dois-je aller à l'autre endroit, alors qu'ici on est très bien?
La Sainte Vierge: Tu es l'instrument, Ma fille, et ta mission n'est pas achevée.
 Amparo: Eh bien, çà suffit, cette mission, comme elle est longue... ! Je veux rester ici. Je veux rester ici 1 Faites-moi ici ce que vous voulez, mais moi je ne veux pas aller de l'autre côté, alors qu'on est si bien ici! Même si je suis orgueilleuse, je veux rester ici. Ah 1 Quelle joie d'être ici! Ensuite tu vas de l'autre côté et les gens de se moquer, je ne veux pas aller à l'autre endroit. Ici, je serai meilleure, je Te le promets, ici je suis meilleure.
La Sainte Vierge: il faut que tu te purifies au milieu d'eux, Ma Jfille, parce que tu es fille d'Adam et c'est d'Adam que tu as hérité.
 Amparo: Ah, eh bien, quelle grâce!. .. Bon, mais avec Ton aide, n'est-ce pas? il faut que Tu m'aides, parce que Tu me laisses seule, seule! Parfois je ne Te vois pas et je ne peux Te toucher, ni T'entendre. Hein? Ne m'abandonne pas ainsi, de cette,façon.
Ah ! Que Tu es grande et que Tu es heureuse, là-bas, avec Ton Joseph, Ton Jésus et Tes anges. Et moi, qu'en est-il? Comme tu es heureuse, Ma Mère!
La Sainte Vierge: D'abord la félicité, Ma fille, et ensuite la 1- souffrance.
 Amparo: Et moi, toujours la souffrance, toujours, tou- jours la souffrance! Ah ! Si Tu me laissais ici! Je te promets que j'obéirais à tout ce que Tu me demanderais, et j'obéirais en tout, Ma Mère, en tout!
La Sainte Vierge: Ne sois pas orgueilleuse, Ma fille.
 Amparo: Ah ! je veux que Tu m'aides. Comme elle est
dure cette mission! Quelle dure mission! En voilà une mission, celle dont Tu m'as chargée!
La Sainte Vierge: Tu seras bientôt façonnée, Ma fille.
 Amparo: Bientôt! Depuis quand dis-Tu que je serai bien- tôt façonnée? Allons! Ils est vrai que j'avais besoin d'être modelée, hein ?
Aide-moi! Mais pas seulement ici, de l'autre côté aussi. Je Te promets, je Te promets que j'aiderai beaucoup d'âmes pour qu'elles
/parviennent à cette merveille, parce que, l'autre côté, est-il sem- blable à celui-ci? Plus encore? Bien sûr ! Ah ! Ma Mère! Ah, le
pauvre Saint Joseph! Comme il est âgé! Pourquoi courbe-t-llla tête jusqu'au sol? Que fait-Il ? En train d'adorer Jésus? Mais moi aussi je veux L'adorer...
La Sainte Vierge: Mes enfants, vous pouvez chanter: " Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et paix sur la Terre aux hommes de bonne volonté. "
 Amparo: Ah ! Quel enfant!
La Sainte Vierge: Je vais bénir tous les objets, Mes enfants. Votre Mère va vous donner cette grâce spéciale. Levez tous les objets... Ils ont tous été bénits, Ma fille.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction; mais auparavant Je vous demanderai de beaucoup aimer le Christ; aimez-Le de toute votre âme, de tout votre cœur et de toutes vos forces. Mes enfants, aimez Mon Fils car cet amour sera récompensé.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir

MENSAJE DEL DÍA 23 DE DICIEMBRE DE 1984

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, estos días tan importantes para mí no podía faltar mi bendición.

     Cuando el Verbo humanado, hija mía, nació de mis entrañas, se lo ofrecí al Eterno, y el Eterno me contestó, hija mía: “María, cuida a tu Hijo, amamántale, aliméntale y cuídamele, porque luego vendré a por Él”. Yo sabía, hijos míos, que... (palabras en idioma desconocido. Luz Amparo comienza a llorar).
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué pequeñito! ¡Ay, qué pequeño! ¡Ay! ¡Ay, qué pequeño...! ¡Ay, qué pequeñito! ¡Ay, qué hermosura...! ¡Ay, qué hermosura...! ¡Ay, qué pequeñito...! ¿Quiénes son todos ésos?
 
 

     LA VIRGEN:

     Ejércitos celestes, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Cuántos! ¿Ni un momento te dejan sola? ¡Ay, qué grande! ¡Qué hermosura hay ahí! ¡Ay...! ¡Y que ese Niño tan hermoso tenga que morir...! ¡Ay!
 
 

     LA VIRGEN:

     Sí, hija mía, y le engendró en mis entrañas para Verbo humanado, para morir para redimir a la Humanidad.

     Dios Padre, hijos míos, quiso que lo cuidase para que muriese en una cruz, para redimiros del pecado y gozar de la vida eterna, hijos míos. Así fue Cristo; así fue, hija mía. Tú sabes cómo le cuidé, con qué esmero, y luego cómo le entregué a la muerte, y muerte de cruz, porque sabía que con su muerte iba a redimir a todo aquél que quisiese salvarse.

     Cuando yo hablaba con Él, hija mía, dentro de mis entrañas —te lo he manifestado otras veces—, se ponía de pie con las manos juntas orando, orando para que no cayerais en tentación, hijos míos. Ya, estando engendrado dentro de mí, quería salvar a la Humanidad; pero la Humanidad es cruel, hija mía. Yo le cuidé, le amamanté como una madre buena que amaba a su hijo; pero el ser humano, ¡qué cruel corresponde, hija mía!, ¡cómo corresponde a mi Corazón! ¡A mi Corazón de Madre, hija mía!, porque fui Madre de Dios y, luego, me dejó mi Hijo como Madre de la Humanidad. Por eso os pido, hijos míos: quiero que os salvéis.

     Os dije que mis mensajes se estaban acabando, hijos míos; pero ¿qué madre ve que su hijo se precipita en el abismo y no le sigue avisando, hijos míos? ¿Cuántas veces, hijos míos, habéis dicho a vuestros hijos: “Hijos míos: no os voy a avisar más; seréis castigados”, y no los habéis castigado? Los habéis avisado una, y otra, y otra, y otra vez. Eso hace vuestra Madre del Cielo: os da avisos para que os salvéis, hijos míos.

     Cumplid con los diez mandamientos. Todo aquél que cumpla con los diez mandamientos se salvará, hijos míos.

     Mira, hija mía, cómo salía mi Hijo de mis entrañas. Como el rayo del Sol entró dentro de mí, y como el rayo del Sol salió de mí. No manché, hija mía, no manché nada que fuese impuro. Te lo manifesté: mis ángeles, mis tres arcángeles, san Miguel, san Gabriel y san Rafael cogieron a Cristo nada más nacer, hijos míos. Ellos me lo entregaron en mis brazos. José estaba extasiado; tuve que decirle: “José, que tu Hijo está ya aquí”. Y José alabó a su Hijo, a su Hijo adoptivo, hijos míos.

     Tiernos coloquios, hijos míos, hicimos con Él. Él nos respondía, ¡tan pequeñito!, pero ya tenía la sabiduría...

     Con esta pobre ropa, hija mía, le envolví, porque no tenía pañales.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, pobrecito! ¡Ay! No teníamos, ¡ay! ¡Pobrecito! ¡Pobrecito!, no le acuestes ahí. ¡Qué frío pasará ahí! No le acuestes. ¡Ay, pobrecito! ¡Ay...! ¿Tenía que ser eso así? Ni una cama, ni una cuna... ¡Ay, pobrecito! ¡Ay, qué rico es! ¡Ay! ¡Cuántos ángeles! ¡Hasta fuera llegan los ángeles! ¡Madre mía, cuántos hay! ¡Uf!, pero ¿tantos hay aquí abajo? ¡Uf! ¡Y ésos que les sale la luz de ahí! ¡Huy, del pecho! ¿También son los ángeles? ¿Y esos otros? ¡Ah! ¡Huy, ángeles corporales!, y ángeles que no son corporales; pero son iguales. ¡Vaya suerte que tienes! ¡Huy! ¡Ay! No hace falta nadie si están ahí todos llenos de ángeles. ¡Qué maravilla! ¡Ay!

     Pero, ¿no se puede acostar en una cunita? ¡Pobrecito!, ahí tendrá frío. Tápale un poquito. ¡Ay, qué cara! ¡Ay, cómo se ríe! ¡Ay, pobrecito! ¡Ay! ¡Niño bonito! ¿Puedo tocarle otra vez?... (Luz Amparo se inclina hacia delante para realizar esta operación). ¡Ay, qué lindo eres! ¡Ay!, yo podía quedarme aquí para cuidarlo. ¡Siempre! ¡Ay!, pero no me lleves al otro sitio, ¡déjame aquí con Él! ¡Ay! ¡Yo no quiero irme al otro sitio...! ¡Déjame un poquito aquí más con Él! ¡No me quiero ir de aquí! ¡Yo no quiero irme de aquí! ¡Ay! ¿Por qué me tengo que ir al otro sitio, si aquí se está muy bien?
 
 

     LA VIRGEN:

     Tú eres el instrumento, hija mía, y tu misión no se ha acabado.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Pues ¡ya está bien, lo larga que es la misión esta...! Yo quiero quedarme aquí. ¡Yo quiero quedarme aquí! Hacedme lo que sea aquí, pero yo no me quiero ir a la otra parte, ¡ay! ¡Con lo bien que se está aquí! Aunque sea soberbia, pero yo me quiero quedar aquí. ¡Ay, qué alegría estar aquí! ¡Ay!, luego te vas al otro lado y la gente a reírse, y yo no quiero irme al otro sitio. ¡Ay, ay! Aquí voy a ser mejor, te lo prometo que aquí soy mejor.
 
 

     LA VIRGEN:

     Tienes que purificarte entre ellos, hija mía, porque eres hija de Adán, y de Adán has heredado.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay!, pues, ¡qué gracia!... Bueno, pero con tu ayuda, ¿verdad? Me tienes que ayudar, porque es que me dejas sola, ¡pero sola! Hay veces que ni te veo, ni te puedo tocar, ni te oigo, ¿eh? No me abandones así, de esa forma.

     ¡Ay, qué grande eres!, y ¡qué feliz eres ahí con tu José, y con tu Jesús, y con tus ángeles! ¡Ay!, y yo ¿qué? ¡Qué felicidad tienes, Madre mía!
 
 

     LA VIRGEN:

     Primero la felicidad, hija mía, y luego el dolor.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Y yo siempre el dolor, ¡siempre, siempre el dolor! ¡Ay! ¡Si me dejaras aquí!, te prometo que haría todo lo que me dijeses Tú, y lo que fuese haría, Madre mía; todo, ¡todo!
 
 

     LA VIRGEN:

     No seas soberbia, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! ¡Ay! ¡Ay!, yo quiero que me ayudes. ¡Ay, qué misión tan dura es! ¡Vaya misión que me has encomendado!
 
 

     LA VIRGEN:

     Pronto estarás pulida, hija mía.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Pronto! ¿Desde cuándo estás diciendo que pronto estaré pulida? Pues, ¡anda!, que sí que tenía que pulir, ¿eh?

     ¡Ay! ¡Ay, ayúdame! ¡Ay!, pero en el otro lado también, no sólo aquí. ¡Ay!, yo te prometo, te prometo que ayudaré a muchas almas a que puedan alcanzar esta maravilla, porque lo otro, ¿es igual que esto? ¿Más todavía? ¡Claro! ¡Ay, Madre mía! ¡Ay, pobrecito san José! ¡Ay, qué mayor está! ¡Ay!, ¿cómo está con la cabeza en el suelo? ¿Qué hace? ¿Adorando a Jesús? ¡Ay!, pues yo también le quiero adorar...
 
 

     LA VIRGEN:

     Hijos míos, podéis cantar: “Gloria a Dios en el Cielo y paz a los hombres, en la Tierra, de buena voluntad”.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay, qué Niño!
 
 

     LA VIRGEN:

     Voy a bendecir todos los objetos, hijos míos. Esta gracia especial os va a dar vuestra Madre. Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos, hija mía.

     Os voy a dar mi santa bendición; pero antes os voy a pedir que améis mucho a Cristo; amadle con toda vuestra alma, con todo vuestro corazón y con todas vuestras fuerzas. Amad a mi Hijo, hijos míos, que este amor no quedará sin recompensa.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

25 décembre 1984

La Sainte Vierge: Vois, Ma fille, le Verbe fait homme est sur la paille dans une pauvre crèche; enveloppé, Ma fille, enveloppé dans de tristes langes.
Mais tu vas dire, Ma fille, la mission de chaque Ange.
 Amparo: Ah ! Comme ils sont nombreux! Mais ces
trois... Voici Saint Michel. Où va t-il ?
La Sainte Vierge: Il va descendre au fond des Limbes, Ma fille. Il va avertir Joachim, Anne, les Saints Pères et tous les Prophètes..
Vois combien de saints il y ~ dans les limbes!
 Amparo: Oh ! Ah ! Qci est-elle? C'est la mère de la
Vierge, et celci-ci est Son père. Que disent-ils à l'Ange? Ils sont en train de Ici dire... Ah ! Quelles langues! Et l'Ange leur annonce que le Roi du ciel et de la Tetre est né et que leur Fille l'a envoyé les avertir.
Anne Ici demande de transmettre à sa fille, et elle appelle tous ceux qci sont dans les Limbes et ils se mettent à chanter un hymne de lou~ge à cet Enfant.
Mais, les morts, on ne les voit pas! Ah ! Combien de mystères! Ah, ils sont tous à genoux. Ils sont en train de chanter un hymne: "Gloire au Roi qci est né, engendré d'une Vierge, Il s'est fait homme, le Roi du ciel et de la Terre".
Ils chantent tous! Comme ils sont à l'étroit là! Ce lieu paraît un enfer.

La Sainte Vierge: Ce Roi qui est né, mourra sur une Croix pour racheter le monde. " Gloire à Dieu dans le ciel et sur la Terre, paix aux hommes qui aiment Dieu".
 Amparo: Maintenant, c'est un autre Ange qui va sur un chemin rempli de pierres. Il y a un écriteau indiquant" Bedùéem " ; un autre signale: " Damas" ; et un autre: " Palestine".
Il avance sur un chemin plein de lumière. Ah ! Il arrive à une maison qui ressemble à un palais. Il y a un puits. Il frappe à la porte. Pour quoi rAnge peut-il frapper à la porte ?Oui, il peut entrer ? Ah ! Un corps céleste...
Une femme âgée sort; elle porte un voile qui fait deux fois le tour de la tête et une jupe très longue.
Elle a dans ses bras un enfant d'environ six mois. Elle parle avec l'Ange. Elle lui ouvre la porte. Il y a comme un jardin et à gauche un puits avec un seau. Cette femme s'assied sur un tabouret en bois et garde l'enfant sur elle. L'ange lui dit que le Rédempteur est né, qu'il vient l'en avertir car c'est Marie qui l'envoie. Cette femme tombe à genoux. Cet enfant si petit, tombe à genoux également Ah ! Mais comment cela se pet!;t -il ?
Ils regardent le ciel et disent: " Bienheureux Celui qui comman- dera sur toutes les générations ". Je suis à ton service, Mon Sei- gneur, dit-Elle à l'ange. bis à Marie, qu'Elle ne nous oublie pas, nous La suivrons toujours, jusqu'à la mort.
L'ange lui dit : " Cet Enfant est très pauvre, Il est né dans une mangeoire, sur la paille ".
Cette femme entre dans une maison qui ressemble à un palais.
;; Elle prend des habits et en fait un paquet. Au milieu de ces habits,
il y a des vêtements pour un petit enfant. Elle prend de l'argent, le glisse à l'intérieur des habits et remet le paquet à l'Ange. Il y a aussi des vêtements pour adultes.
Cette femme dit à l'ange:" Donne-le à Marie pour le Petit, pour son Epoux et pour Elle. C'est une toile fIne que mérite le Roi du
Ciel et de la Terre; li ne mérite pas de rester sur de la paille ".
li y a un autre Ange. Cet Ange va dans un champ. li y a beau- coup de bétail, beaucoup de brebis. li y a beaucoup de garçons revêtus de peaux. Une grande lumière survient. lis tombent par terre effrayés et cri~,nt : Il Qui est-ce? Qui va par là ? ". L'ange leur dit : Il N'ayez crainte. Je suis l'Ange Saint Gabriel. Je viens vous annoncer que votre Messie est né, celui que vous attendiez. Allez par ce chemin et vous trouverez un Enfant resplendissant dans une crèche. Celui que vous verrez rempli de lumière, sur la paille, c'est
1Jésus. C'est Jésus, le Roi, le Sauveur, le Roi, le Sauveur, le Dieu Tout-Puissant, Fils du Dieu vivant. Allez l'adorer.
Beaucoup de ceux qui ont des peaux sur le dos, se mettent en route. lis ont des bâtons. lis vont par un chemin. Oh ! Qu'ils sont nombreux! Ah ! lis empruntent un autre chemin. Survient une grande lumière. Cette lumière est comme une flèche. Elle les
guide jusqu'au seuil de la crèche. ll.$ s'agenouillent et adorent
l'Enfant. Ah, Que Tu es grand! lis chantent à nouveau: Il Gloire à Dieu au plus haut des Cieux et aux hommes de bonne volonté, sur la Terre ". Oh! Combien d'Anges! Oh! Quelles choses! D'un autre côté, il y a dés hommes horribles. Oh ! Quelle hor- reur! lis ne peuvent s'approcher de là.
Un ange arrive et ils prennent la fuite. Oui, c'est celui d~ l'autre fois. Ah ! Mais c'est le démon! li les emmène tous. Les voici dans une p~ofonde caverne. Satan parle, il leur parle à tous et leur dit : Il Soyez en éveil, car le Fils du Dieu vivant n'est pas encore né. Une femme a mis au monde un enfant, mais ce n'est pas la Mère de Dieu, parce qu'il est né dans une mangeoire, sur la paille. Et si Dieu est Créateur et riche, li ne permettra pas que son Fils naisse dans une mangeoire. Soyez prêts car le moment où ce Messie doit naître est arrivé. J'ai parlé avec Hérode. Ah ! Quelle rigolade! Hérode croit que c'est le Fils de cette pucelle qui est le Messie; ce Messie
ne peut naître dans cette pauvreté. Il faut continuer nos recherches dans les riches palais parce que le Roi du Ciel naîtra dans un palais. Soyez prêts! ".
Quelle horreur! Oh ! Ils se mettent tous en file et_s?rtent de cette caverne. Ils s'éparpillent partout. Oh! Quelle horreur !
La Sainte Vierge: Ma fille, adorez le Christ. Adorez-le, par l'adoration, la méditation et l'humilité, Mes enfants, Satan ne pour- ra approcher. '
Satan ne pensait pas que Dieu, le Rédempteur du monde, pour- rait naître dans une grotte. L'humilité de Nos Cœurs fut si grande que nous avons voulu donn~r l'exemple à l'Humanité.
1 Oui, Ma fille, voila ppurquoi Je te demande d'être humble, très \ humble, car avec l'humilité, Lueifer ne pourra approcher.
Tu as vu les merveilles les plus gr~des de Dieu le Créateur, Ma fille...
De même que les Anges allèrent annoncer la Naissance, Je vous demande, Mes enfants, d'aller annoncer l'Evangile par toute la
Terre. "
Mes enfants, Je vous demande l'humilité, l'humilité; soyez hum- bles, très humbles.
Baise le sol, Ma fille, :),fin-que tu sois humble ~ . .
1L'humilité désarme- Satan. Lucif~r a de l'emprise sur les orgueilleux, mais il n'a pas de pouvoir surIes humbl~s, Ma/fille.
Ne vous relâchez pas dans la prière et le sacrifice,"Mes enfants.
t toi, Ma fille, réfugie-toi en Nos Cœurs. Réfugie-toiidans cette Famille; cette Famille, Ma fille, est Sacrée...
Pense toujours, Ma fille, ~ la pauvreté de la crèche et à l'humilité
sur la Croix. Je te dévoilerai un secret d~ ton enfance, Ma fille.., To~ seule, pourras le comprendre. (Elle- parle une langue inconnue). Vois comme tu imitais Jésus sans Le connaître, Ma fille, ~ ta naissance...

Maintenant tu sais; n'aie pas honte, Ma fille.
Bienheureux les pauvres, Ma fille, car le Royaume des Cieux est à eux!
Cette bénédiction aussi sera spéciale, Ma fille. Je vous bénirai tous avec une bénédiction spéciale.
Je vo~s bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termé~aire du Fils, et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !
 

MENSAJE DEL DÍA 25 DE DICIEMBRE DE 1984, LA NATIVIDAD DEL SEÑOR,

EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Mira, hija mía, el Verbo humanado en unas tristes pajas, en un pesebre pobre. Liado, hija mía, liado con un triste pañal.

     Pero vas a decir, hija mía, la misión de cada ángel.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Ay! ¡Ay, cuántos hay!; pero ¿esos tres...? Ése es san Miguel, ¿a dónde va ése?
 
 

     LA VIRGEN:

     Bajará, hija mía, a la profundidad del Limbo. Va a avisar a Joaquín, a Ana, a los Santos Padres y a todos los profetas.

     Mira, ¡cuántos santos hay en el Limbo!
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Huy! ¡Ay! ¡Ay!, ¿ésa, quién es?... Ésa es la madre de la Virgen, ése es el padre... ¿Qué le dicen al ángel? Le están diciendo... ¡Ay, qué lenguas! Y el ángel les está diciendo que ha nacido el Rey de Cielo y Tierra, que su hija lo ha mandado a avisarles.

     Le dice Ana que lleve el recado a su hija, y llama a todos los que hay en el Limbo, y se ponen a cantar un himno de alabanza para ese Niño.

     Pero, ¡si los muertos no se ven! ¡Ay, cuántos misterios! ¡Ay!, están de rodillas todos. Están cantando un himno, un himno ya: “Gloria al Rey que ha nacido encarnado en una doncella, humanado... —¡huy!— como Rey de Cielo y Tierra”.

     Todos... —¡ay!—, todos están cantando. ¡Qué estrechos están ahí! Parece un infierno eso.
 
 

     LA VIRGEN:

     Este Rey que ha nacido morirá en una cruz para redimir al mundo. “Gloria a Dios en el Cielo y en la Tierra paz a los hombres que aman a Dios”.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Ahora, hay otro ángel, que se va por un camino lleno de piedras. Hay un letrero que pone “Belén”; hay otro letrero que pone “Damasco”; hay otro letrero que pone “Palestina”.

     Va por un camino lleno de luz. ¡Ay!... Llega a una casa, que parece como un palacio. Hay un pozo. ¡Ay!, llama a la puerta. ¿Por qué el ángel puede llamar a la puerta? ¿Sí puede entrar?... ¡Ay! ¡Ay!, un cuerpo celeste...

     Sale una mujer mayor, con un velo en la cabeza dado dos vueltas, unas faldas muy largas.

     Lleva un niño en brazos como de seis meses. Habla con el ángel. Le abre la puerta. Hay como un jardín, y a la izquierda hay un pozo con un cubo. Esta mujer se sienta en un poyete de madera, y al niño le tiene encima. El ángel le dice que ha nacido el Redentor, que viene a avisarle porque María le manda. Cae de rodillas esta mujer. Ese niño también, tan pequeño, cae de rodillas. ¡Ay!, pero ¿cómo puede ser eso?

     Miran al cielo y están diciendo: “Bienaventurado Aquél que mandará en todas las generaciones”. “Yo estoy a tu servicio, mi Señor —le dice al ángel—. Dile a María que no se olvide de nosotros, que la seguiremos siempre hasta la muerte”.

     El ángel le dice: “Este Niño está muy pobre, ha nacido en un pesebre entre pajas”.

     Esta mujer pasa a una casa que parece un palacio. Coge ropa, la lía. Entre esa ropa hay ropa de un niño pequeño. Coge dinero, lo mete dentro del lío de la ropa, y se lo da al ángel. También hay ropa de mayores.

     Esta mujer le dice al ángel: “Dáselo a María para el pequeño y para su esposo y para Ella. Es un lienzo fino que el Rey de Cielos y Tierra se merece; no se merece estar entre pajas”.

     Hay otro ángel. Ese ángel va por un campo. Hay mucho ganado, muchas ovejas. Hay muchos chicos con pieles sobre la espalda. Viene una gran luz. Se caen al suelo asustados y gritan: “¿Quién es? ¿Quién hay ahí?”. El ángel les dice: “No tengáis miedo. Soy el ángel san Gabriel. Os vengo a avisar que ha nacido vuestro Mesías, el que estabais esperando. Id por este camino y en un pesebre habrá un Niño resplandeciente. Aquél que veáis lleno de luz, y entre pajas, es Jesús. Es Jesús, el Rey, el Salvador, el Rey, el Salvador[1], el Dios Omnipotente, Hijo de Dios vivo. Id y adoradle”.

     Van muchos de éstos que llevan la piel a la espalda. Llevan varas. Van por un camino. ¡Ay, cuántos! ¡Ay!, se van por otro camino. Viene una gran luz. Esa luz es como una flecha. Los guía hasta el portal. Se arrodillan y adoran al Niño.

     ¡Ay, qué grande eres! ¡Ay!

     Vuelven a cantar: “Gloria a Dios en el Cielo, y a los hombres, en la Tierra, de buena voluntad”.

     ¡Ah..., cuántos ángeles! ¡Ay, qué cosas! ¡Ay!

     En otra parte, hay hombres horribles. ¡Huy, qué horror! No se pueden arrimar ahí. ¡Ay!

     ¡Ay! Viene un ángel y van huyendo. ¡Ay, si ése es el de la otra vez! ¡Ay..., ay, si es el demonio! ¡Huy! ¡Ay! Se los lleva a todos. Están en una cueva profunda. Habla Satanás, les habla a todos y les dice: “Estad alerta, que no ha nacido el Hijo de Dios vivo todavía. Ha dado a luz una mujer, pero no es la Madre de Dios, porque ha nacido en un pesebre, entre pajas. Y si Dios es Creador y rico, no permitirá que nazca su Hijo en un pesebre. Estad preparados, porque el tiempo ha llegado de que nazca ese Mesías. He hablado con Herodes. ¡Ay, qué risa! Herodes cree que es el Hijo de esa doncella, que es el Mesías; con esa pobreza no puede nacer ese Mesías. Hay que seguir buscando, buscando en ricos palacios, porque el Rey del Cielo nacerá en un palacio. ¡Estad preparados!”.

     ¡Qué horror! ¡Ay! Todos se ponen en fila y salen de esa caverna. ¡Ay!, se esparcen por todos sitios. ¡Ay! ¡Ay, qué horror! ¡Ay...!
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, adorad a Cristo. Adoradle, porque adorando y meditando, y siendo humildes, hijos míos, Satanás no podrá arrimarse.

     No pensaba Satanás que Dios, Redentor del mundo, podría nacer en una cueva. Fue tan grande la humildad de nuestros Corazones, que quisimos dar ejemplo a la Humanidad.

     Sí, hija mía; por eso te pido que seas humilde, muy humilde, pues con la humildad no podrá Lucifer arrimarse.

     Has visto las maravillas más grandes de Dios Creador, hija mía...

     Lo mismo que los ángeles fueron a evangelizar el Nacimiento, os pido, hijos míos, que vayáis a evangelizar el Evangelio por todos los rincones de la Tierra.

     Hijos míos, humildad pido, humildad; sed humildes, muy humildes.

     Besa el suelo, hija mía, para que seas humilde...

     Satanás no podrá con la humildad. Lucifer puede con los soberbios, pero con los humildes no puede, hija mía.

     No os abandonéis en la oración ni en el sacrificio, hijos míos.

     Y tú, hija mía, refúgiate en nuestros Corazones. Refúgiate en esta Familia; esta Familia, hija mía, es Sagrada...

     Siempre piensa, hija mía, en la pobreza en el Pesebre y en la humildad en la Cruz.

     Te revelaré un secreto, hija mía, de tu infancia. Sólo tú podrás comprenderlo... (Habla en un idioma desconocido). Mira si imitabas a Jesús sin conocerle, hija mía, naciendo... ya sabes; no te avergüences, hija mía.

     ¡Bienaventurados los pobres, hija mía, porque de ellos es el Reino de los Cielos!

     Esta bendición también será especial, hija mía. Os bendeciré a todos con una bendición especial.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Así en la grabación; se repite: “...el Rey, el Salvador”.
 

30 décembre 1984

La Sainte Vierge: Ma fille, ces Fêtes sont très importantes et Je ne puis vous laisser sans bénédiction.
Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'in- termédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir !

MENSAJE DEL DÍA 30 DE DICIEMBRE DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Hija mía, son unas fiestas muy importantes y no os puedo dejar de bendecir.

     Os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!
 

31 décembre 1984

La Vierge révèle à saint Joseph que son fils mourra crucifié.
Amparo voit la circoncision.

La Sainte Vierge: Voici Votre Mère, Mes enfants; Je viens comme Mère et amie. Confiez-vous à Mon Cœur. Comme Mère, car Je suis Votre Mère, M~ enfants; c'est pourquoi je continue à vous donner des avertissements.
Tu vas voir, Ma fille, une autre scène de la Vie de Jésus. Raconte
ce que tu vois.
 Amparo: L'Enfant est dans la crèche; ah, dans cette grotte. Il est toujours là. Il y a Saint Joseph et la Vierge, Sa Mère.
La Vierge prend l'Enfant et Lui dit : "Mon Roi, Roi du Ciel et de la
Terre, étoile de Mes entrailles, amour du Père, amour du Fils et amour de l'Esprit-Saint. Dieu Eternel qui as donné la beauté à cet Enfant, ton premier-né et le Mien, Roi."
La Vierge Le caresse et dit à Joseph: joseph, Je n'ai pas voulu Te révéler un secret avant que Dieu le Père Me le communique. Le moment de Te le dévoiler est arrivé. Sais-Tu que Notre Fils, Ton Fils adoptif et Mon Fils naturel doit être circoncis ?"
Qu'est-ce que c'est? Ah ! Circoncis! Joseph se montre très.. .oh ! Comme s'il ne le comprenait pas. La Vierge lui dit : "Nous devons obéir aux Lois de Moïse; la Loi dit que tous les enfants doivent être circoncis, et Notre Fils doit l'être aussi. Quelle douleur Je ressens dans Mon Cœur, Joseph! il commence tôt à verser son sang pour l'Humanité! il est innocent. il n'a pas de péché comme tous ceux qui vont être circoncis, mais il faut le faire. Nous devons donner l'exemple, Joseph."
Saint Joseph regarde le Ciel et dit : "Que Ta Volonté soit faite, Dieu Sage, Dieu Tout-Puissant et Dieu Créateur".
La Vierge prend l'Enfant, Le caresse et Lui dit : "Fils de Mon âme, Tu dois être circoncis. il faut donner l'exemple au genre humain."
L'Enfant répond: "Ma Mère bien-aimée, Je suis venu pour souf- frir."
Ah, comme cet enfant parle! La Vierge caresse l'Enfant. Elle Le tient dans ses bras. Ah ! Quelle beauté! Que Tu ,es grande! il n'y a rien de plus beau que Toi! Ah ! Ma Mère! Ah! Quelle beauté! Ah !
La Vierge parle à Saint Joseph et Lui dit : 'Joseph, va et appelle le prêtre; qu'il vienne ici, à la grotte, pour pratiquer cette opération Je ne veux pas sortir l'Enfant de peur qu'il ne prenne froid. Va et avertis-le."
Saint Joseph s'en va; il entre dans un lieu où il y a une salle très grande. il y a un homme vêtu d'un habit rouge. il parle avec lui. Qui est cet homme? Ah ! "Grand Prêtre - lui dit Joseph - Mon épouse désire que vous veniez chez nous pour circoncire Mon Fils."
Cet homme, celui qui lui a dit qu'il était le Gtand, Prêtre, en appelle deux autres et ils s'en vont avec Joseph. / /
 

Ils arrivent à l'endroit où se trouve la Vierge. La Vierge se tient sur le seuil. Elle baise leurs mains et les invite à entrer. Ils pénètrent à l'intérieur en regardant partout. Celui qui est en arrière dit à celui qui est devant: "Quelle pauvreté chez cette femme! Ici on ne va pas pouvoir faire la circoncision. Ce lieu est très pauvre."
Les trois sont à l'intérieur. La Vierge s'adresse 11 Dieu le Père, Elle s'agenouille et Lui demande que Son Fils ne soit pas cir- concis; Elle demande à avoir une autre souffrance en échange de celle-ci... Elle entend la Voix du Père qui Lui dit : "Marie, quand Ton Fils est né, Je T'ai dit de L'allaiter, de Le nourrir et de Lui par...
.1
(1er j~squ'à ce que Je vienne Le chercher. C'est une épreuve de plus, 1 Mane,c'est un Sacrement."
La Vierge met les mains sur sa poitrine, incline la tête jusqu'au sol et Lui dit : "Que Ta Volonté soit faite, sur la Terre comme au Ciel."
La Vierge parle avec le Prêtre et lui dit : "S'il vous plaît! Que le couteau soit le plus doux possible. Que l'on ne fasse pas beaucoup de mal à l'Enfant."
La Vierge dit en regardant le Ciel: "Ah , Saintes Lois, que de douleur vous causez à Mon Cœur! Que Mon Fils innocent doive payer comme un pé~eur !".
Ils disent à la Vierge de Q,e pas entrer et La laissent à l'extérieur. Ils prennent l'Enfant, mais la Vierge s'agenouille et leur demande de Lui permettre de La laisser avec Son Fils jusqu'à la fin de la cir- concision. Ceux-ci refusent...
Celui qui est en arrière sort et L'appelle. Il donne l'Enfant à l'autre. 'Ah , oui, ils La laissent entrer. Et la Vierge passe dans une toute petite pièce de la grotte.
Il y a une sorte d'autel avec un drap blanc et deux cierges.. .La Vierge enlève les vêtements à l'Enfant. Comme Elle Lui enlève Ses vêtements! "Oh, quel Enfant gracieux! Mais, que vont-ils Lui faire avec ce couteau ?"
 

La Vierge demande que l'on ne fasse pas trop de mal à Son Fils ! La Vierge prend une serviette qu'Elle porte à la ceinture et place un récipient en-dessous. Trois gouttes de sang tombent. Elle prend l'Enfant, Lui met la serviette, Le caresse et dit : "Mon Bien, Mon bien aimé! Tu commences déjà à sbuffrir."
Ah ! Comme l'enfant pleure! Ne pleure pas Mon Amour. Ah ! Quelle peine! Pauvre Petit. Comment peuvent-ils Lui faire cela? Ah ! Ma Mère 1 Pauvre Petit, qu'Il ne pleure pas! Ah !...
Il Y a beaucoup d'Anges. Oh ! Combien d'Anges! Il Y en a beau- coup, beaucoup! Combien sont-Ils? On ne peut les dénombrer! Dis-moi, combien ils sont. Donne-moi un chiffre. Douze mille ? Comme ils sont nombreux! Oh ! Comme Ils chantent! La Vierge
rIeur demande de chanter pour consoler l'Enfant. Comme Ils
chantent! Ah, quelle beauté! Ah, qudie beauté! Ah, qudie beauté !
La Vierge ne quitte pas l'Enfant. Elle L'a dans Ses bras. La Vierge pleure beaucoup. Elle apprend à souffrir.
La Sainte Vierge: Un autre jour, Ma fille, tu verras une autre scène de la Vie du Christ.
 Amparo: Le Pauvre!
La Sainte Vierge: Maintenant, Je vais bénir tous les objets. Levez tous les objets. Il&'ont tous été bénis.
Je vais vous donner Ma sainte bénédiction: Je vous bénis, Mes enfants, comme le Père vous bénit, par l'intermédiaire du Fils et avec le Saint Esprit.
Au revoir, Mes enfants. Au revoir.
 
 
 

MENSAJE DEL DÍA 31 DE DICIEMBRE DE 1984
EN PRADO NUEVO DE EL ESCORIAL (MADRID)
 
 

     LA VIRGEN:

     Aquí está vuestra Madre, hijos míos, como Madre y como amiga. Confiaos a mi Corazón. Como Madre, porque soy vuestra Madre, hijos míos; por eso os sigo avisando.

     Vas a ver, hija mía, otra escena de la vida de Jesús, hija mía. Cuenta lo que ves.
 
 

     LUZ AMPARO:

     Está el Niño en el Portal; ¡ay!, en esa cueva. Sigue ahí. Está san José y la Virgen, su Madre.

     Coge al Niño la Virgen; le dice: “Rey mío, Rey de Cielo y Tierra, lucero de mis entrañas, amor del Padre, amor del Hijo y amor del Espíritu Santo. Dios Eterno, que has dado la hermosura a este Niño, primogénito tuyo y mío, Rey”.

     La Virgen le acaricia, y le dice a José: “José, no te he querido revelar un secreto hasta que Dios Padre no me lo comunicase. Ha llegado el momento de comunicártelo. ¿Sabes que nuestro Hijo, tuyo adoptivo y mío natural, tiene que ser circuncidado...?”.

     ¿Qué es eso? ¡Ay!, circuncidado, ¡ah!

     José pone la cara muy... —¡huy!—, como si no lo entendiera.

     La Virgen le dice: “Tenemos que obedecer a las leyes de Moisés, es la ley de que todos los niños sean circuncidados, y nuestro Hijo tiene que hacerlo también. ¡Qué dolor siento, José, en mi Corazón!, porque pronto empieza a derramar la Sangre por la Humanidad. Es inocente. No tiene pecado como todos los que van a circuncidarse, pero hay que hacerlo. Tenemos que dar ejemplo, José”.

     ¡Ay!, san José mira al cielo y dice: “Que se haga tu voluntad, Dios Sabio, Dios Omnipotente y Dios Creador”.

     La Virgen coge al Niño, le acaricia y le dice: “Hijo de mi alma, tienes que ser circuncidado, hijo mío. Hay que dar ejemplo al ser humano”.

     El Niño responde: “Madre amada mía, yo he venido a sufrir”.

     ¡Ay, cómo habla ese Niño!

     Acaricia la Virgen al Niño. Lo tiene en sus brazos. ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay, qué grande eres! ¡No hay otra cosa más bonita que Tú! ¡Ay, Madre mía! ¡Ay, qué hermosura! ¡Ay!

     Habla la Virgen a san José y le dice: “José, vete y llama al sacerdote; que venga aquí a la cueva, para que haga el sacramento[1]. No quiero sacar al Niño, para que no se enfríe. Vete y avísale”.

     ¡Ay!, va san José, se mete en un sitio, en una sala muy grande. Hay un hombre vestido con una cosa colorada. Habla con él. ¿Quién es ese hombre? ¡Ah!... “Sumo Sacerdote —le dice José—, mi esposa quiere que vayáis a casa a circuncidar a mi Hijo”.

     Coge ese señor, el que le ha dicho que era el Sumo Sacerdote, llama a otros dos y se van con José.

     Llegan a donde está la Virgen —¡ay!—. La Virgen sale a la entrada. Besa sus manos. Les dice que pasen. Pasan dentro mirando a todas las partes. El de atrás le dice al de delante: “¡Qué pobreza tiene esta mujer! Aquí no se va a poder hacer la circuncisión. Está muy pobre este lugar”.

     Llegan los tres dentro. La Virgen le dice a Dios Padre, se arrodilla y le pide que no sea su Hijo circuncidado, que si Ella puede pasar otro dolor por ése... Oye la voz del Padre que le dice: “María, cuando tu Hijo nació, te dije que le amamantaras, que le alimentaras, y le hablaras hasta que yo viniese a por Él. Esta es otra prueba, María, es un sacramento[2]”.

     La Virgen se coge el pecho y se agacha con la cabeza en el suelo, y dice: “Hágase tu voluntad, así en la Tierra como en el Cielo”.

     Habla la Virgen con el sacerdote y le dice: “¡Por favor!, que el cuchillo sea lo más suave posible. Que no se haga mucho daño al Infante”.

     La Virgen dice mirando al cielo: “¡Ay, leyes santas, cuánto dolor causáis a mi Corazón! ¡Que mi Hijo inocente tenga que pagar como un pecador!”.

     Dicen a la Virgen que no entre. No la dejan entrar. Cogen al Niño, pero la Virgen se arrodilla y les pide que le dejen, que la dejen estar con su Hijo hasta el último momento de la circuncisión. Ésos no le dejan...

     Sale el que hay atrás y la llama. Le da el Niño al otro. ¡Ay, que sí que la dejan! ¡Ay!, pasa la Virgen a una habitación de la cueva, muy pequeñita.

     Hay como un altar con un paño blanco, dos velas... ¡Ay! La Virgen quita la ropa al Niño, ¡cómo le quita la ropa! ¡Ay, qué Niño más rico! ¡Ay! ¡Ay!, pero, ¿qué le van a hacer con ese cuchillo?

     La Virgen pide: “¡Que no le hagan mucho daño a mi Hijo!”.

     ¡Ay!, coge la Virgen una toalla que lleva a la cintura, ¡ay!... Y pone un cacharrito debajo. Caen tres gotas de sangre. Coge al Niño, ¡ay...!, le pone la toalla, le acaricia y le dice: “¡Bien mío! ¡Amado mío!, ya empiezas a sufrir”.

     ¡Ay, cómo llora el Niño! No llores, amor mío. ¡Ay, qué pena! ¡Pobrecito! Pero, ¿cómo le pueden hacer eso? ¡Ay! ¡Ay, Madre mía! ¡Ay, ay, pobrecito, que no llore! ¡Ay...!

     Hay muchos ángeles, ¡huy, cuántos ángeles! ¡Muchos, muchos! ¿Cuántos son? ¡Huy, no se pueden contar! ¡Ay! Dime cuántos hay. Ponme un número. ¡Ay! Doce mil. ¡Ay, cuántos! ¡Ay, cómo cantan! Les dice la Virgen que canten para consolar al Niño. ¡Cómo cantan! ¡Ay, qué hermosura!, ¡ay, qué hermosura!, ¡ay, qué hermosura!

     La Virgen no deja al Niño. Lo tiene en brazos. Llora mucho la Virgen... Aprende a sufrir.
 
 

     LA VIRGEN:

     Otro día, hija mía, verás otra escena de la vida de Cristo.
 
 

     LUZ AMPARO:

     ¡Pobrecito!
 
 

     LA VIRGEN:

     Ahora, os voy a bendecir todos los objetos. Levantad todos los objetos... Todos han sido bendecidos.

     Os voy a dar mi santa bendición: os bendigo, hijos míos, como el Padre os bendice por medio del Hijo y con el Espíritu Santo.

     Adiós, hijos míos. ¡Adiós!

[1] Tomada aquí la palabra en su tercera acepción castellana, que significa “misterio, cosa arcana”.

[2] Ibíd. nota anterior.
 

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